« Dolmen de la Madeleine » : différence entre les versions
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Datant du | Datant du Néolithique, le '''dolmen de la Madeleine''' est un monument mégalithique angevin se trouvant à [[Gennes]], en [[Maine-et-Loire]], entre Angers et Saumur. | ||
Plusieurs sites mégalithiques sont présents | La commune de Gennes est située dans le val angevin, sur l'un des passages de la Loire<ref>Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), ''Géoportail (Gennes)'', juin 2017</ref>. L'Anjou est l'une des régions la plus anciennement habitée de France. Plusieurs sites mégalithiques y sont présents, à Torfou, Saint-Lambert-la-Potherie, Pontigné, Miré, Bagneux, Saint-Michel-et-Chanveaux, dont des dolmens ; constructions mégalithiques préhistoriques constituées d'une ou plusieurs dalles horizontales posées sur des pierres verticales<ref>Jacques Boussard, ''Histoire de l'Anjou'', dans ''Visages de l'Anjou'', coll. Provinciales, Horizons de France, 1951, pp. 51-52</ref>{{,}}<ref>Larousse, ''Dolmen'', 2017</ref>. Le sol du territoire de Gennes compte plusieurs vestiges de la Préhistoire avec plusieurs monuments mégalithiques : dolmens de la Forêt, de la Pierre couverte, de la Madeleine, menhir de Pierre Longue<ref name="merimee">Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Gennes)'', mai 2012</ref>. Le dolmen de la Madeleine (ou dolmen Pierre couverte de la Madeleine), situé au sud de Gennes, est édifié au Néolithique ({{Préhistoire}}). Il est constitué de plusieurs dalles en grès à sabals couvrant une superficie d'environ 80 {{m2}}. Il sera utilisé au {{XIXs}} comme remise à charrettes<ref name="PA00109121">Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Dolmen de la Madeleine, PA00109121)'', 13 octobre 2015</ref>{{,}}<ref>Mairie de Gennes, ''Dolmen de la Madeleine'', juin 2017</ref>{{,}}<ref>Adolphe Joanne, ''Dictionnaire géographique administratif, postal, statistique, archéologique, etc.'', Hachette, 1869, p. 924</ref>{{,}}<ref>Michel Gruet, ''Mégalithes en Anjou'', Cheminements, 2005, p. 129-131</ref>. | ||
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Datant du Néolithique, le dolmen de la Madeleine est un monument mégalithique angevin se trouvant à Gennes, en Maine-et-Loire, entre Angers et Saumur.
La commune de Gennes est située dans le val angevin, sur l'un des passages de la Loire[1]. L'Anjou est l'une des régions la plus anciennement habitée de France. Plusieurs sites mégalithiques y sont présents, à Torfou, Saint-Lambert-la-Potherie, Pontigné, Miré, Bagneux, Saint-Michel-et-Chanveaux, dont des dolmens ; constructions mégalithiques préhistoriques constituées d'une ou plusieurs dalles horizontales posées sur des pierres verticales[2],[3]. Le sol du territoire de Gennes compte plusieurs vestiges de la Préhistoire avec plusieurs monuments mégalithiques : dolmens de la Forêt, de la Pierre couverte, de la Madeleine, menhir de Pierre Longue[4]. Le dolmen de la Madeleine (ou dolmen Pierre couverte de la Madeleine), situé au sud de Gennes, est édifié au Néolithique (Préhistoire). Il est constitué de plusieurs dalles en grès à sabals couvrant une superficie d'environ 80 m2. Il sera utilisé au XIXe siècle comme remise à charrettes[5],[6],[7],[8].
L'édifice, propriété d'une personne privée, a été classé aux Monuments historiques par arrêté du 25 juillet 1930[5].
Présence également sur la commune de vestiges gallo-romains : nymphée sur la rive droite de l'Avort et théâtre-amphithéâtre des Chataigniers[4].
Notes
Sur le même sujet
Sources et annotations
- ↑ Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), Géoportail (Gennes), juin 2017
- ↑ Jacques Boussard, Histoire de l'Anjou, dans Visages de l'Anjou, coll. Provinciales, Horizons de France, 1951, pp. 51-52
- ↑ Larousse, Dolmen, 2017
- ↑ a et b Ministère de la Culture, Base Mérimée (Gennes), mai 2012
- ↑ a et b Ministère de la Culture, Base Mérimée (Dolmen de la Madeleine, PA00109121), 13 octobre 2015
- ↑ Mairie de Gennes, Dolmen de la Madeleine, juin 2017
- ↑ Adolphe Joanne, Dictionnaire géographique administratif, postal, statistique, archéologique, etc., Hachette, 1869, p. 924
- ↑ Michel Gruet, Mégalithes en Anjou, Cheminements, 2005, p. 129-131