« Câbré » : différence entre les versions
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* Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 1, p. 154 (cabré, câbrer) et p. 218 (combrer) | * Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin (Angers), 1908, t. 1, p. 154 (cabré, câbrer) et p. 218 (combrer) | ||
* Louis Maucourt, ''Tiercé - Frontière des appâtis et de la chouanerie'', Imprimerie Paquereau Technographis, 1989, p. 379 (cabré = effondré, le souterrain s'est cabré, mot encore utilisé à Tiercé dans les années 1930) | * Louis Maucourt, ''Tiercé - Frontière des appâtis et de la chouanerie'', Imprimerie Paquereau Technographis (Angers), 1989, p. 379 (cabré = effondré, le souterrain s'est cabré, mot encore utilisé à Tiercé dans les années 1930) | ||
Dernière version du 3 septembre 2022 à 06:38
En patois angevin
- câbré, cabré
Mot
En Anjou,
- cabré, vieux mot angevin pour caché ;
- câbré, du verbe câbrer (synonyme de combrer), pour s'affaisser ou s'écrouler (ex. la voûte de la cave a câbré).
Notes
- Voir aussi guette, câbrer, combrer, arocher.
- Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou, Germain & Grassin (Angers), 1908, t. 1, p. 154 (cabré, câbrer) et p. 218 (combrer)
- Louis Maucourt, Tiercé - Frontière des appâtis et de la chouanerie, Imprimerie Paquereau Technographis (Angers), 1989, p. 379 (cabré = effondré, le souterrain s'est cabré, mot encore utilisé à Tiercé dans les années 1930)