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On y trouve plusieurs équipements culturels : un théâtre, des bibliothèques, un cinéma et une école intercommunale de musique<ref>Mairie de Doué-la-Fontaine, ''Vie culturelle'', novembre 2016</ref>. | |||
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* le site des Perrières, constitué de galeries souterraines (troglodytes). | |||
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Version du 26 novembre 2016 à 08:11
| Doué-la-Fontaine | |
|---|---|
| Département | Maine-et-Loire |
| Territoire | Saumurois |
| Arrondissement | {{{arrondissement}}} |
| Canton | {{{canton}}} |
| Intercommunalité | Communauté de communes de la région de Doué-la-Fontaine |
| Code Insee, postal | 49125, 49700 |
| Habitants | Les Douessin(e)s |
| Données locales | altitudes, coordonnées, populations, superficies |
| Site web | Site officiel de Doué-la-Fontaine |
 | |
Doué-la-Fontaine est une commune de l'ouest de la France, qui se situe dans le département de Maine-et-Loire (49)[1].
Après avoir absorbée La Chapelle-sous-Doué en 1841, Doué-la-Fontaine (1933, Doué > Doué-la-Fontaine) a fusionné en 1964 avec Douces et Soulanger.
La commune est bureau centralisateur du canton de Doué-la-Fontaine.
Patrimoine
On peut y voir[2] :
- les arènes ;
- les cathédrales troglo des Perrières ;
- la chapelle Saint-Gilles ;
- Château de Soulanger ou château des Basses-Minières (classé MH), du XVIIIe siècle, et dont il ne reste plus que le soubassement et les écuries ;
- les ruines de l'église Saint-Denis (classée MH) du XVIIIe siècle ;
- les fontaines ;
- les fours à chaux ;
- les maisons d'horticulteurs ;
- les manoir dit la Cour de Douces, manoir de la Crilloire, manoir de la Galonnière ou du Petit Riou, manoir de la Saulaie ;
- les restes d'une motte féodale et d'un donjon (inscrit MH), des IXe, Xe et XVe siècles ;
- les moulin à vent de Douces, moulin à blé dit Moulin Cartier ;
- la sablière.
Capitale des roses
Les pépinières et les roseraies se développent à Doué au XVIIIe siècle[3]. Dans les années 1970 la production annuelle de rosiers est d'environ 3,5 millions de plants[4], et au début du XXIe siècle entre cinq et sept millions de rosiers par an[5],[6], ce qui en fait le premier centre de production de plants de rosiers en Europe.
À voir :
- Chemins de la rose, roseraie située au parc de Courcilpleu, jardin à l'anglaise sur 4 hectares ;
- En juillet, journées de la Rose.
Loisirs et culture
On y trouve plusieurs équipements culturels : un théâtre, des bibliothèques, un cinéma et une école intercommunale de musique[7].
On y trouve également plusieurs sites à visiter comme[8] :
- le Bioparc zoo, situé route de Cholet, parc animalier abritant plus de soixante-dix espèces animales ;
- le musée Aux anciens commerces, situé aux écuries du château des Basses-Minières, reconstitution de boutiques d'autrefois ;
- le site des Perrières, constitué de galeries souterraines (troglodytes).
Espace et territoire
Son territoire se situe dans le périmètre du parc naturel Loire-Anjou-Touraine.
Le Douet, affluent du Layon, prend sa source sur le territoire de la commune.
Notes
Sources et annotations
- ↑ IGN et BRGM, Géoportail (Doué-la-Fontaine 49), mai 2012
- ↑ Ministère de la Culture, Base Mérimée (Doué-la-Fontaine), août 2012
- ↑ Pépinières et roseraies au XVIIIe siècle, voir Joseph François Foullon.
- ↑ Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 2, édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt et Cécile Souchon, éd. H. Siraudeau, 1978, p. 56
- ↑ Ouest-France Entreprises, Cette cité produit cinq millions de rosiers par an, 11 juillet 2014 (cinq millions de rosiers)
- ↑ Ouest-France, Doué-la-Fontaine. La fête aux cent mille roses dans les caves troglo, 12 juillet 2015 (sept millions de rosiers)
- ↑ Mairie de Doué-la-Fontaine, Vie culturelle, novembre 2016
- ↑ Office de tourisme de Doué-la-Fontaine et sa région, Sites à visiter, novembre 2016
- Voir aussi les formes anciennes du nom.
- Sur le même sujet : La Chapelle-sous-Doué, Douces et Soulanger.