« Ressiée » : différence entre les versions

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; ressiée, d'ressiée
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=== Mot ===
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Nom, féminin singulier.
Nom commun, féminin singulier.


En Anjou, ''ressiée'' désigne l'après-midi, ''d'ressiée'' pour cet après-midi.
En Anjou, ''ressiée'' désigne l'après-midi, ''d’ressiée'' pour cet après-midi.


Exemples :  
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* Voir aussi [[tantôt]], [[marienne]].
* Voir aussi [[anuit]], [[tantôt]], [[marienne]].
* Se dit à Rochefort-sur-Loire ({{mot de Leclerc}}).
* Se dit à Rochefort-sur-Loire ({{mot de Leclerc}}).
* A.-J. Verrier et R. Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 2, p. 204-205
* Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 2, p. 204-205
* Jean Chauvigné, ''Ma galiote Marie'', Cheminements, 1994, p. 175
* Jean Chauvigné, ''Ma galiote Marie'', Cheminements, 1994, p. 175
* Charles Briant, ''On cause comm'ça icitt'', Cheminements, 2002, p. 147
* Charles Briant, ''On cause comm'ça icitt'', Cheminements, 2002, p. 147

Version du 8 mars 2018 à 19:20


Parler angevin

Dictionnaire angevin

Mots concernant le parler angevin.

Aide à la rédaction


Patois angevin (dictionnaire) En patois angevin

ressiée, d’ressiée

Mot

Nom commun, féminin singulier.

En Anjou, ressiée désigne l'après-midi, d’ressiée pour cet après-midi.

Exemples :

  • « je n’ons point eu le temps à matin, j’irons d’ressiée » (je n'ai pas eu le temps ce matin, j'irai cet après-midi).
  • « La ressiée, c’est le moment d’rester à l’omb’, quitt’ à fair’ marrienn’. »

On trouve aussi les formes rêssiée, raissiée, reissier, ression, retion.

Patois et parler angevin (ressources) Notes

  • Voir aussi anuit, tantôt, marienne.
  • Se dit à Rochefort-sur-Loire (source).
  • Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou, Germain & Grassin, 1908, t. 2, p. 204-205
  • Jean Chauvigné, Ma galiote Marie, Cheminements, 1994, p. 175
  • Charles Briant, On cause comm'ça icitt, Cheminements, 2002, p. 147