« Marienne » : différence entre les versions
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* Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 2, p. 14 | * Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 2, p. 14 | ||
* Dominique Fournier, ''Mots d'Galarne'', Cheminements, 1998, p. 259 | * Dominique Fournier, ''Mots d'Galarne'', Cheminements, 1998, p. 259 | ||
* Hippolyte-François Jaubert, ''Glossaire du | * Hippolyte-François Jaubert, ''Glossaire du centre de la France'', N. Chaix et C<sup>ie</sup>, 1864, p. 423 | ||
Version du 12 janvier 2019 à 03:56
En Anjou
- marienne, marienn’
Étymologie
Contraction de méridienne, le temps qui suit le repas du midi.
Mot
Nom commun, féminin singulier.
En Anjou, marienne désigne faire la sieste après le repas du midi, sommeil du milieu du jour.
Exemple : Après un bon repas, une bonne marienne !
On trouve ce mot dans d'autres régions, comme le Centre.
Citation
« Et les môrts, en son grand voisinage, Pour la grand’ marienn’ v’naient s’coucher. » (É. Joulain)
Notes
- Voir aussi ressiée, tantôt, lourbi.
- Charles Ménière, Glossaire angevin étymologique comparé avec différents dialectes, Lachèse et Dolbeau, 1880, p. 429
- Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou, Germain & Grassin, 1908, t. 2, p. 14
- Dominique Fournier, Mots d'Galarne, Cheminements, 1998, p. 259
- Hippolyte-François Jaubert, Glossaire du centre de la France, N. Chaix et Cie, 1864, p. 423