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* Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin, 1908, t. 2, p. 165 | * Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, ''Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou'', Germain & Grassin (Angers), 1908, t. 2, p. 165 | ||
* Jean-Baptiste-Charles Vial, ''Une faute par amour'', comédie en un acte et en prose, chez la citoyenne Toubon, 1795, p. 7 | * Jean-Baptiste-Charles Vial, ''Une faute par amour'', comédie en un acte et en prose, chez la citoyenne Toubon, 1795, p. 7 | ||
* François Guillaume Ducray-Duminil, ''Les soirées de la chaumière, ou les leçons du vieux Père'', tome 6, Berlin-Leprieur libraire, 1826, p. 41 | * François Guillaume Ducray-Duminil, ''Les soirées de la chaumière, ou les leçons du vieux Père'', tome 6, Berlin-Leprieur libraire, 1826, p. 41 |
Version du 5 juin 2021 à 05:53
En Anjou
- queuquefois
Mot
Adverbe. Se prononce parfois quéquefois.
En Anjou, queuquefois pour
- quelquefois, parfois, à certains moments ;
- toutefois, cependant (ex. si queuquefois il voulait).
Également, queuquefois que pour si toutefois, si par hasard (ex. faut que j’aille à sa redevance, queuquefois qu’alle arriverait).
Notes
- Voir aussi queun, tourniolant, queuquepart, kékcékça.
- Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou, Germain & Grassin (Angers), 1908, t. 2, p. 165
- Jean-Baptiste-Charles Vial, Une faute par amour, comédie en un acte et en prose, chez la citoyenne Toubon, 1795, p. 7
- François Guillaume Ducray-Duminil, Les soirées de la chaumière, ou les leçons du vieux Père, tome 6, Berlin-Leprieur libraire, 1826, p. 41
- Cahier des plaintes et doléances des dames de la halle et des marchés de Paris, rédigé au grand salon des Porcherons pour être présenté à messieux les États-Généraux, 1789, p. 20