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'''Les Jubeaux''' est un hameau situé sur le territoire de la commune de [[Denée]] ([[Maine-et-Loire]]), au nord du bourg, entre la [[Loire]] et le bras du [[Louet]]<ref name="geoportail">Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), ''Géoportail - Denée'', avril 2015</ref>.
'''Les Jubeaux''' (ou Les Jobeaux) est un hameau situé sur le territoire de la commune de [[Denée]] ([[Maine-et-Loire]]), au nord du bourg, entre la [[Loire]] et le bras du [[Louet]]<ref name="geoportail">Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), ''Géoportail - Denée'', avril 2015</ref>. On y trouve un jeu de boule de fort en plein-air.




On y trouve la chapelle Saint-André, du {{XVIs}}<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Chapelle Saint-André,  IA49004063)'', 2003</ref>, et des vestiges de constructions gallo-romaines<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire'', 1874-1878, Édition révisée de 1978 par J. Levron, P. d'Herbécourt, R. Favreau et C. Souchon, t. 2 p. 28</ref>.
== Généralités ==
L'habitat du village est très ancien. Des vestiges de constructions gallo-romaines ont été retrouvés aux Jubeaux, comme au Dicechien, aux Grands Moulins et à [[Denée - Mantelon|Mantelon]]<ref name="cport-1978">Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|II}} (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), {{p.|28-31}} (Denée)</ref>.


Deux sociétés de [[boule de fort]] se trouvent à Denée, dont l'une, ''la société Le Rivage'', située aux Jubeaux, a son terrain dont la particularité est d’être le dernier terrain de plein-air de Maine-et-Loire<ref>Mairie de Denée, ''Associations sportives'', avril 2015</ref>.
Située dans la grande île de la Loire, son territoire est autrefois revendiqué par [[Saint-Jean-de-la-Croix]], mais les habitants s'y opposant, il reste sur le territoire de Denée. Longtemps dénommé ''Les Jobeaux'' ({{XIXe}}-{{XXe}})<ref>Dict. Célestin Port 1978, ''op. cit.'', p. 308 (Jobeaux, Les)</ref>, du nom des frères Jobeau qui fondèrent la chapelle au {{XVIs}}<ref>Pierre-Louis Augereau, ''Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire'', Cheminements (Le Coudray-Macouard), 2004, p. 292</ref>, il est aujourd'hui appelé ''Les Jubeaux''<ref>Mairie de Denée, ''Découvrir Denée'', 2020-2024</ref>. Le hameau compte {{unité|94|habitants}} au milieu des années 2010<ref name="of-3aout2016">Ouest-France, ''La tradition du hameau solidaire perdure'', 3 août 2016</ref>.


Patrimoine : chapelle Saint-André du {{XVIs}}<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Chapelle Saint-André, IA49004063)'', 2003</ref>, pont du Port-qui-Tremble de la fin du {{XIXs}}, détruit pendant la Seconde Guerre mondiale puis reconstruit dans les années 1950<ref>Ouest-France (Marianne Deumié), ''Les secrets du pont du Port-qui-tremble'', 16 juillet 2017</ref>. Deux sociétés de [[boule de fort]] se trouvent à Denée, dont l'une, ''la société Le Rivage'' située aux Jubeaux, a son terrain dont la particularité est d'être le dernier terrain de plein-air de Maine-et-Loire<ref>Mairie de Denée, ''Associations sportives'', avril 2015</ref>{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest (Vincent Boucault), ''Tradition. Aux Jubeaux, on joue à la boule de fort « dehors »'', 29 août 2020</ref>. Denée se trouve dans la zone du Val de Loire inscrite au patrimoine mondial de l'[[Val de Loire angevin classé à l'UNESCO|UNESCO]]<ref>DREAL Pays de la Loire (Ministère de l'Écologie), ''Données communales - 933 Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes'', juin 2017</ref>.


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Son territoire est soumis aux crues<ref name="of-3aout2016" />.
'''Notes'''


Sur le même sujet
[[File:denee jubeaux loire 2019.jpg|center|thumb|alt=Photographie de la Loire aux Jubeaux.]]
 
== Célestin Port (1876) ==
<!-- Reproduction du texte de Célestin Port. Ne peut être modifié. -->
Les Jubeaux dans le [[dictionnaire Célestin Port]] de 1876<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire'', t. 2 (D-M), P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau (Angers), 1876, p. 420, 407-408 (Jobeaux, Les)</ref> :
 
{{citation|'''Jubeaux''' (les), — V. les ''Jobeaux''. }}
 
{{citation|'''Jobeaux''' (les), {{abréviation|vill.|village}}, {{cne}} de Denée, à la partie
occidentale de la grande île, dont le centre forme
la commune de St-Jean-de-la-Croix, qui a longtemps
disputé à Denée cette dépendance, malgré l’opposition
unanime des habitants, restée enfin victorieuse.
Cette région s’appelait jusqu’au XVII{{e}} s. ''la Vallée-de-Fosses'',
et comprenait dès avant le X{{e}} s.
un important domaine, tout au moins une villa
dépendant du fisc des comtes d’Anjou : ''Villa''
''quam nominant Fossas'' 1009 (Ch. de Saint-Laud
d’A.). — ''Ad Fossas super Ligerim'' 1028
(Ibid.). — ''Apud Fossas, villam fiscalem'' 1028
(Cartul. du Ronceray, Rot. 1, ch. 1). — ''In loco''
''qui dicitur ad Fossas'' 1080 circa (Id., Rot. 5,
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— On y a trouvé, en tirant de la pierre pour la
construction de l’église de St-Jean-de-la-Croix,
an point le plus élevé, qui n’est couvert que par les
grandes crues, des amas de briques à rebord et
an débris de hache en fer. — Le comte Foulques y
donna vers le commencement du XI{{e}} s. 40 arpents
de vignes, trois arpents de pré et une pêcherie
importante, ''vivarium optime piscationis'', au
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de pêche sur presque toute la rive gauche jusqu’au
delà de Rochefort. — Le 16 novembre 1526
les deux fils d’André Jobeau, tous deux nommés
Jean et prêtres tous deux, fondèrent « au lieu
appelé la Vallée de Pousses » une chapelle en
l’honneur de Dieu, de la Vierge et de St André,
à l’usage des domestiques, pour que les maîtres
pussent aller plus librement à la paroisse, « à ce
que deument et plus facillement lesd. paroissiens
de Denée puissent vacquer et aller à leur
grande messe parochiale audit Denée, mesmement
au temps des inondations des grandes
eaux et impétuosité des vents qui surviennent
souventes fois ». — « La chapelle St-André
alias des Jobeaux » 1653, — « la chapelle St-André
de la vallée de Fosses » 1677 (Denée
Et-C.), — « la chapelle de la vallée de Fosse
modo les Jobeaux » 1713 (Ibid.) était desservie
par la famille des fondateurs et devait le mercredi
de la Pentecôte vigiles et messes de ''Requiem'' à
note au seigneur de la Roche de Serrant, seigneur
du fief et propriétaire de la closerie voisine. —
Les communs s’appellent encore {{abréviation|aujourd’hui|1876}} les
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Chapelains : Zacharie Jobeau, 1548, qui
augmente les fondations. — Jean Thoret, 1636.
— René Thoret, † âgé de 61 ans, le 8 janvier
1715. — Franç. Baudonnière, 1716. — Jacques
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— René-Jean Gamier, † âgé de 42 ans, le 4 octobre
1775. — Louis-Urbain-René Edin de la
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Pierre Lancelot, 1782-1791. Ce dernier, dont il
est beaucoup parlé dans les journaux et les mémoires
du temps, passait pour faire la contrebande
du sel et du tabac. Il refusa le serment et
resta dans le pays, réfugié à Souvigné, d’où il envoyait
son chien dans les villages avec une sonnette
attachée à son collier, pour annoncer les messes.
En septembre 1792, compris dans le convoi des
prêtres déportés pour l’Espagne, il fit la route de
Nantes attaché par les reins à la gueule d’un canon
et séparé du cortège, à la prière même de
ses compagnons de roule qui le méprisaient. Il
revint, aussitôt qu’il put, d’Espagne et fut nommé
curé de Beauvau en l’an XI.
 
La chapelle contenait en 1791 un tabernacle de
bois doré, plusieurs tableaux et statues, avec un
calice portant gravé sur le pied : ''M. J. Jobeaux''.
— ''P. M. J. Thoret 1648''. Elle sert aujourd’hui
de grange, sauf au printemps, où l’on pare l’autel
durant le mois de Marie.
 
<small>Arch. de M.-et-L. E 493-494 ; G Cures — Arch. mun. de Denée et de Ste-Gemmes-s.-L. Et.-C. — ''Répert. arch.'', 1853, p. 20 — Berthe, Mss. 909. p. 16. — Leclerc, ''Chron. d’un petit village'', Mss., p. 197. — D. Chamard, t. III, p. 477. — Tresvaux, t. II. p. 430. </small> }}
 
== Notes ==
Article connexe
:* [[Denée - Mantelon|Mantelon]]
:* [[Denée - Mantelon|Mantelon]]



Dernière version du 24 juillet 2025 à 17:28

Les Jubeaux
(hameau)
Département Maine-et-Loire
Territoire Saumurois
Commune Denée
Note(s) Village situé au nord de la commune
Situation dans le département

Situer sur OpenStreetmap

Aide à la rédaction.
Anciennes communes

Les Jubeaux (ou Les Jobeaux) est un hameau situé sur le territoire de la commune de Denée (Maine-et-Loire), au nord du bourg, entre la Loire et le bras du Louet[1]. On y trouve un jeu de boule de fort en plein-air.


Généralités

L'habitat du village est très ancien. Des vestiges de constructions gallo-romaines ont été retrouvés aux Jubeaux, comme au Dicechien, aux Grands Moulins et à Mantelon[2].

Située dans la grande île de la Loire, son territoire est autrefois revendiqué par Saint-Jean-de-la-Croix, mais les habitants s'y opposant, il reste sur le territoire de Denée. Longtemps dénommé Les Jobeaux (XIXe-XXe)[3], du nom des frères Jobeau qui fondèrent la chapelle au XVIe siècle[4], il est aujourd'hui appelé Les Jubeaux[5]. Le hameau compte 94 habitants au milieu des années 2010[6].

Patrimoine : chapelle Saint-André du XVIe siècle[7], pont du Port-qui-Tremble de la fin du XIXe siècle, détruit pendant la Seconde Guerre mondiale puis reconstruit dans les années 1950[8]. Deux sociétés de boule de fort se trouvent à Denée, dont l'une, la société Le Rivage située aux Jubeaux, a son terrain dont la particularité est d'être le dernier terrain de plein-air de Maine-et-Loire[9],[10]. Denée se trouve dans la zone du Val de Loire inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO[11].

Son territoire est soumis aux crues[6].

Photographie de la Loire aux Jubeaux.

Célestin Port (1876)

Les Jubeaux dans le dictionnaire Célestin Port de 1876[12] :

« Jubeaux (les), — V. les Jobeaux. »

« Jobeaux (les), vill., cne de Denée, à la partie occidentale de la grande île, dont le centre forme la commune de St-Jean-de-la-Croix, qui a longtemps disputé à Denée cette dépendance, malgré l’opposition unanime des habitants, restée enfin victorieuse. Cette région s’appelait jusqu’au XVIIe s. la Vallée-de-Fosses, et comprenait dès avant le Xe s. un important domaine, tout au moins une villa dépendant du fisc des comtes d’Anjou : Villa quam nominant Fossas 1009 (Ch. de Saint-Laud d’A.). — Ad Fossas super Ligerim 1028 (Ibid.). — Apud Fossas, villam fiscalem 1028 (Cartul. du Ronceray, Rot. 1, ch. 1). — In loco qui dicitur ad Fossas 1080 circa (Id., Rot. 5, ch. 66).— Fossenses coliberti (Id., Rot. 1, ch. 79). — On y a trouvé, en tirant de la pierre pour la construction de l’église de St-Jean-de-la-Croix, an point le plus élevé, qui n’est couvert que par les grandes crues, des amas de briques à rebord et an débris de hache en fer. — Le comte Foulques y donna vers le commencement du XIe s. 40 arpents de vignes, trois arpents de pré et une pêcherie importante, vivarium optime piscationis, au Ronceray, qui posséda dès lors le droit exclusif de pêche sur presque toute la rive gauche jusqu’au delà de Rochefort. — Le 16 novembre 1526 les deux fils d’André Jobeau, tous deux nommés Jean et prêtres tous deux, fondèrent « au lieu appelé la Vallée de Pousses » une chapelle en l’honneur de Dieu, de la Vierge et de St André, à l’usage des domestiques, pour que les maîtres pussent aller plus librement à la paroisse, « à ce que deument et plus facillement lesd. paroissiens de Denée puissent vacquer et aller à leur grande messe parochiale audit Denée, mesmement au temps des inondations des grandes eaux et impétuosité des vents qui surviennent souventes fois ». — « La chapelle St-André alias des Jobeaux » 1653, — « la chapelle St-André de la vallée de Fosses » 1677 (Denée Et-C.), — « la chapelle de la vallée de Fosse modo les Jobeaux » 1713 (Ibid.) était desservie par la famille des fondateurs et devait le mercredi de la Pentecôte vigiles et messes de Requiem à note au seigneur de la Roche de Serrant, seigneur du fief et propriétaire de la closerie voisine. — Les communs s’appellent encore aujourd’hui les communs de Serrant.

Chapelains : Zacharie Jobeau, 1548, qui augmente les fondations. — Jean Thoret, 1636. — René Thoret, † âgé de 61 ans, le 8 janvier 1715. — Franç. Baudonnière, 1716. — Jacques Priet, † le 16 septembre 1756, âgé de 72 ans. — Mic. Hamel, † âgé de 48 ans, le 21 janvier 1771. — René-Jean Gamier, † âgé de 42 ans, le 4 octobre 1775. — Louis-Urbain-René Edin de la Touche, † âgé de 60 ans, le 29 juillet 1782. — Pierre Lancelot, 1782-1791. Ce dernier, dont il est beaucoup parlé dans les journaux et les mémoires du temps, passait pour faire la contrebande du sel et du tabac. Il refusa le serment et resta dans le pays, réfugié à Souvigné, d’où il envoyait son chien dans les villages avec une sonnette attachée à son collier, pour annoncer les messes. En septembre 1792, compris dans le convoi des prêtres déportés pour l’Espagne, il fit la route de Nantes attaché par les reins à la gueule d’un canon et séparé du cortège, à la prière même de ses compagnons de roule qui le méprisaient. Il revint, aussitôt qu’il put, d’Espagne et fut nommé curé de Beauvau en l’an XI.

La chapelle contenait en 1791 un tabernacle de bois doré, plusieurs tableaux et statues, avec un calice portant gravé sur le pied : M. J. Jobeaux. — P. M. J. Thoret 1648. Elle sert aujourd’hui de grange, sauf au printemps, où l’on pare l’autel durant le mois de Marie.

Arch. de M.-et-L. E 493-494 ; G Cures — Arch. mun. de Denée et de Ste-Gemmes-s.-L. Et.-C. — Répert. arch., 1853, p. 20 — Berthe, Mss. 909. p. 16. — Leclerc, Chron. d’un petit village, Mss., p. 197. — D. Chamard, t. III, p. 477. — Tresvaux, t. II. p. 430.  »

Notes

Article connexe

Sources et annotations

  1. Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), Géoportail - Denée, avril 2015
  2. Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. II (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, 2e éd. (1re éd. 1876), p. 28-31 (Denée)
  3. Dict. Célestin Port 1978, op. cit., p. 308 (Jobeaux, Les)
  4. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Cheminements (Le Coudray-Macouard), 2004, p. 292
  5. Mairie de Denée, Découvrir Denée, 2020-2024
  6. a et b Ouest-France, La tradition du hameau solidaire perdure, 3 août 2016
  7. Ministère de la Culture, Base Mérimée (Chapelle Saint-André, IA49004063), 2003
  8. Ouest-France (Marianne Deumié), Les secrets du pont du Port-qui-tremble, 16 juillet 2017
  9. Mairie de Denée, Associations sportives, avril 2015
  10. Le Courrier de l'Ouest (Vincent Boucault), Tradition. Aux Jubeaux, on joue à la boule de fort « dehors », 29 août 2020
  11. DREAL Pays de la Loire (Ministère de l'Écologie), Données communales - 933 Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes, juin 2017
  12. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 2 (D-M), P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau (Angers), 1876, p. 420, 407-408 (Jobeaux, Les)