« Apoèt » : différence entre les versions
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Désigne un tuteur, une tige de bois qui fichée en terre servira à une plante à s'appuyer au cours de sa croissance. | Désigne un tuteur, une tige de bois qui fichée en terre servira à une plante à s'appuyer au cours de sa croissance. | ||
Exemple : {{citation|Il y a un viticulteur qui utilise des brins de bambou en guise d’apoèt, au bout ’un moment ils les arrache et les met l’[[hivâr]] o ses sarments pour les [[brayer]] en même temps.}} (Il y a un viticulteur qui utilise des tiges de bambou en guise de tuteur, au bout de quelques années ils les arrache et les met l'hiver avec ses sarments pour les broyer en même temps.) | Exemple : {{citation|Il y a un viticulteur qui utilise des brins de bambou en guise d’apoèt, au bout ’un moment ils les arrache et les met l’[[hivâr]] o ses sarments pour les [[brayer]] en même temps.}} (Il y a un viticulteur qui utilise des tiges de bambou en guise de tuteur, au bout de quelques années ils les arrache et les met l'hiver avec ses sarments pour les broyer en même temps.) |
Dernière version du 22 novembre 2024 à 17:58
En patois angevin
- apoèt
Mot
Nom commun, masculin singulier. On prononce le « t » final.
Désigne un tuteur, une tige de bois qui fichée en terre servira à une plante à s'appuyer au cours de sa croissance.
Exemple : « Il y a un viticulteur qui utilise des brins de bambou en guise d’apoèt, au bout ’un moment ils les arrache et les met l’hivâr o ses sarments pour les brayer en même temps. » (Il y a un viticulteur qui utilise des tiges de bambou en guise de tuteur, au bout de quelques années ils les arrache et les met l'hiver avec ses sarments pour les broyer en même temps.)
Notes
- Prononciation du « t » final, biot, Ernot, malagit, sourit'.
- Voir aussi paux, diguet, sus-bouter, termes de viticulture.
- Se dit à Rochefort (source).
- Pas de mention dans le Glossaire étymologique et historique des parlers et patois de l'Anjou de Verrier et Onillon (1908), ni dans le Glossaire angevin étymologique comparé avec différents dialectes de Ménière (1880).