« Saint-Sigismond » : différence entre les versions

Une cure est présente au {{XIs}}, tenue par des laïques. La moitié des revenus sont donnés pour moitié à Saint-Serge. La dîme est percue par l'abbaye de Pontron, abbaye cistercienne située dans le Béconnais. La terre est vendue au {{XVIe}}, et la seigneurie est réunie, avec celle de Villemoisan, au Vivier. L'église, édifice rustique composée d'une nef à gros contreforts, est restaurée aux {{XVIIIe}} et {{XIXs}}. À la veille de la Révolution, Saint-Sigismond dépend du doyenné de Candé et de l'élection d'Angers<ref>Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', 1966, H. Siraudeau & Cie (Angers), {{t.|IV}} (S-Z), 2e éd. (1re éd. 1878), {{p.|238-240}}</ref>.