« Angers - La Roseraie » : différence entre les versions
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== Notes == | |||
Sur le même sujet | |||
:* [[Saint-Augustin-lès-Angers]]. | |||
Sources et annotations | |||
{{Références}} | |||
Lien externe | |||
:* [https://www.angers.fr/vivre-a-angers/quartiers/roseraie/index.html Roseraie (ville d'Angers)] | |||
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[[Catégorie:Quartier|Angers - Roseraie, La]] | |||
[[Catégorie:Angers|Roseraie, La]] | |||
Dernière version du 7 novembre 2025 à 18:30
| Angers - La Roseraie (quartier) | |
|---|---|
| Département | Maine-et-Loire |
| Territoire | Région d'Angers |
| Commune | Angers |
| Note(s) | Quartier de la ville d'Angers |
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La Roseraie - Orgemont est un quartier du sud de la ville d'Angers (Maine-et-Loire), qui se compose des zones du Château d'Orgemont, de Maurice Tardat, Jan Pallach, Luther King, Jean Vilar, Bouché Thomas, Robert d'Arbrissel, Dumont d'Urville, et de la zone naturelle des Gillettes.
Angers bénéficie d'un premier plan d'urbanisme approuvé en 1934. Il n'est pas véritablement pas appliqué du fait du second conflit mondial et des nouveaux enjeux de la reconstruction qui suivent. Cependant, certaines orientations sont suivies dans les documents d'urbanisme élaborés jusque dans les années 1970[1].
À la fin des années 1950, la zone de La Roseraie est une vaste étendue dédiée à la culture, une zone horticole maraîchère pour l'essentiel. C'est l'époque des grands ensembles promus par les zones à urbaniser en priorité (ZUP) créées par un décret de 1958[2],[3].
La ville d'Angers inaugure quatre nouveaux quartiers périphériques au début des années 1960, dont celui de La Roseraie. De grands ensembles de logements collectifs sortent de terre à Belle-Beille et Monplaisir. En réaction au gigantisme, la deuxième moitié des années 1960 voit s'amorcer un retour vers les logements individuels. 6 000 premiers logements sont programmés dans le nouveau quartier de La Roseraie. En 1968, il accueille ses premiers habitants, et son urbanisation s'y développe dans les années 1970[2],[3].
Le nombre de logement atteint environ 20 000 à la fin des années 1980, qui devient alors l'un des plus habités des quartiers de la ville[2],[4]. Une usine d'incinération, financée par le district urbain d'Angers, est installée à la Roseraie en 1975[5].
Le quartier s'étend de la Baumette à la ZAC d'Orgemont, une très importante zone d'emplois, jusqu'aux confins du parc d'Hutreau[4]. On y trouve l'une des bibliothèques municipales de la ville, et le quartier est desservit par le tramway[6]. Un nouveau relais-mairie ouvre ses portes en mars 2025 à l'espace Frédéric-Mistral[7].
Autres quartiers de la ville d'Angers : Lac de Maine, Belle-Beille, centre-ville (dont la Cité, La Fayette Eblé), Doutre - St Jacques - Nazareth (dont la Doutre), les Hauts de Saint-Aubin (dont les Capucins et Verneau), St Serge - Ney - Chalouère, Monplaisir, Deux Croix Blanchais et Justices Madeleine[8],[9].
Notes
Sur le même sujet
Sources et annotations
- ↑ Jean Soumagne, Le premier plan d'urbanisme d'Angers: 1934-1936, dans Atlas Social d'Angers, ESO - UMR 6590 de l'Université d'Angers, 10 mars 2025
- ↑ a b et c Mairie d'Angers, Roseraie : Histoire du quartier, 2018-2024
- ↑ a et b Archives patrimoniales de la ville d'Angers (Mairie d'Angers), Village-Anjou, le premier village expérimental par Sylvain Bertoldi, dans Vivre à Angers n° 399, avril 2016
- ↑ a et b Ouest-France (Mathilde Leclerc), À Angers, le poumon tertiaire d'Orgemont tire vers le haut le quartier prioritaire de La Roseraie, 12 août 2024
- ↑ Le Courrier de l'Ouest (Sylvain Bertoldi), Histoire. Comment se débarrasser des ordures ménagères à Angers ?, 12 octobre 2025
- ↑ Ouest-France (Kévin Meziere), Tramway à Angers : depuis la Roseraie, « c'est un vrai gain de temps pour rejoindre le centre », 2 mars 2023
- ↑ Angers VillActu (Netprestation), Le quartier de la Roseraie dispose désormais de son propre relais-mairie, 23 juillet 2019
- ↑ Insee, Cartes de positionnement par commune des Iris de l'agglomération (unité urbaine), janvier 2013
- ↑ Mairie d'Angers, Quartiers, 2015-2025
Lien externe