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« 1955 » : différence entre les versions

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(Montigné, Bouyer-Leroux)
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'''Communes''' : ''Montigné'' devient ''[[Montigné-lès-Rairies]]''.
'''Communes''' : [[Tilliers]] devient Tillières par décret du {{date|8 août 1955}}<ref>Décret du 8 août 1955 portant changement de nom de la commune de Tilliers, ''Journal officiel de la République française'', 96{{e}} année, n° 192, Imprimerie des Journaux officiels (Paris), 14 août 1955, p. 8172</ref> et [[Montigné]] devient Montigné-lès-Rairies par décret du {{date|29 août 1955}}<ref>Décret du 29 août 1955 portant changement de nom de la commune de Montigné, ''Journal officiel de la République française'', 97{{e}} année, n° 207, Imprimerie des Journaux officiels (Paris), 2 septembre 1955, p. 8743</ref>.


'''Transports''' : Mis en service en [[1893]], le réseau de chemin de fer secondaire du département ''Le Petit-Anjou'', voit disparaitre son dernier tronçon exploité (Angers et Bécon-les-Granits) le 22 février 1955.
'''Transports''' : Mis en service en [[1893]], le réseau de chemin de fer secondaire du [[Petit-Anjou]], mis en service de [[1893]] à 1910, voit disparaître son dernier tronçon exploité (Angers et Bécon-les-Granits) le {{date|22 février 1955}}<ref>Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|III}} (N-R), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1989, {{p.|153}}</ref>{{,}}<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Maine-et-Loire. La renaissance du Petit Anjou'', 28 et 29 juillet 2019</ref>.


'''Industrie''' : Les familles Bouyer et Leroux créent en 1995 une [[Terre cuite Bouyer-Leroux|fabrique de terre cuite]]. Elle deviendra, au début du {{XXIs}}, le leader français de la brique terre cuite.
'''Industrie''' : Les familles Bouyer et Leroux créent en 1995 une [[Briqueterie Bouyer-Leroux|fabrique de terre cuite]]. Elle deviendra, au début du {{XXIs}}, le leader français de la brique terre cuite.
 
[[Thomson Angers|Thomson]] choisit Angers en 1955 pour installer son usine qui doit produire des postes de télévision, des appareils de radio et des rasoirs électriques<ref>Ouest-France (Jean-Philippe Nicoleau), ''Et un jour, en 1955, Thomson choisit Angers pour installer son usine et écrire son histoire'', 14 mai 2022</ref>. L'unité de production sera mise en service en [[1957]]<ref>Ouest-France (Jean-Philippe Nicoleau), ''Les salaires au cœur de la première grève au sein de l'usine Thomson à Angers, en juin 1960'', 15 mai 2022</ref>.
 
== Notes ==
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