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« Passavant-sur-Layon » : différence entre les versions

14 172 octets ajoutés ,  11 février 2017
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{{Infobox commune
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| commune = Passavant-sur-Layon
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La commune a changé de nom en 1922, ''Passavant'' devenant ''Passavant-sur-Layon''.
La commune a changé de nom en 1922, ''Passavant'' devenant ''Passavant-sur-Layon''.


Jusqu'au 31 décembre 2015 elle est intégrée à la [[communauté de communes du Vihiersois-Haut-Layon]], intercommunalité, qui disparait à cette date<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, [[Communauté de communes du Vihiersois-Haut-Layon|Arrêté préfectoral DRCL/BCL 2015 n° 67]], du 30 octobre 2015.</ref>.
Jusqu'au 31 décembre 2015 elle est intégrée à la [[communauté de communes du Vihiersois-Haut-Layon]], intercommunalité qui disparait à cette date<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''[[Communauté de communes du Vihiersois-Haut-Layon|Arrêté préfectoral DRCL/BCL 2015 n° 67]]'', du 30 octobre 2015.</ref>.


== Histoire et patrimoine ==
== Histoire et patrimoine ==
Édifices sur la communes :
Édifices sur la communes<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Passavant-sur-Layon)'', juillet 2012</ref> :
* Chapelle Notre-Dame-de-Pitié ;
* Chapelle Notre-Dame-de-Pitié ;
* [[Liste des châteaux de Maine-et-Loire|Château]] de Passavant (MH), des {{XIe}}, {{XIIIe}} et {{XVs}}s. ;
* [[Liste des châteaux de Maine-et-Loire|Château]] de Passavant (MH), des {{XIe}}, {{XIIIe}} et {{XVs}}s ;
* [[Liste des églises et chapelles de Maine-et-Loire|Église]] Saint-Étienne (MH), chœur des {{XIe}} et {{XIIs}}s ;
* [[Liste des églises et chapelles de Maine-et-Loire|Église]] Saint-Étienne (MH), chœur des {{XIe}} et {{XIIs}}s ;
* [[Liste des moulins de Maine-et-Loire|Moulin à eau]] de l’Étang ;
* [[Liste des moulins de Maine-et-Loire|Moulin à eau]] de l’Étang ;
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== Commune viticole ==
== Commune viticole ==
La commune se situe dans l'appellation viticole des [[Vins du Layon|Coteaux-du-Layon (AOC)]].
La commune se situe dans l'appellation viticole des [[Vins du Layon|Coteaux-du-Layon (AOC)]]<ref>[[Vins du Layon]], mars 2010</ref>.


== Espace et territoire ==
== Espace et territoire ==
En aval de [[Cléré-sur-Layon]], la rivière le [[Layon]] traverse son territoire.
En aval de [[Cléré-sur-Layon]], la rivière le [[Layon]] traverse son territoire<ref>[[Layon|Rivière du Layon]], mars 2010</ref>.
 
== Célestin Port (1878) ==
<!-- Reproduction du texte de Célestin Port. Ne peut être modifié. -->
Passavant dans le [[dictionnaire Célestin Port]] de 1878<ref>Célestin Port, ''Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire'', t. 3 (N-Z), Lachèse & Dolbeau, 1878, pages [[Dictionnaire Célestin Port/1878 - Tome 3 - Page 56|56]], [[Dictionnaire Célestin Port/1878 - Tome 3 - Page 57|57]] et [[Dictionnaire Célestin Port/1878 - Tome 3 - Page 58|58]]</ref> :
 
{{citation|
'''Passavant''', canton de Vihiers (14 kil), arr.
de Saumur (33 kil.) ; — à 54 kil. d’Angers. —
''Passavantum'' 1060 circa (Topogr. Grille). —
''W. de Passavante Castro'', ''W. de Passavante''
1061 (L. N., ch. 119 et 165). — ''Castrum,''
''stagnum de Passavant'' 1092 (Dénezé, ch. or.
et Liv. d’A., f. 69). — ''Ecclesia Sancte Marie''
''de Passavanto cum capella Sancti Stephani''
1156 (Liv. d’A., f. 4 et 6). — ''Senscallia''
''de Passavento'' 1236 (Ch. or.). — ''La ville de''
''Passavant'' 1571 (Aveu de la Cure). — Entre Cléré
(3 kil.) à l’O., Nueil (2 kil.) à l’E. et au N., le
département des Deux-Sèvres, au S.
 
Sous le bourg aborde la tête du vaste étang,
qui en prend le nom, quoique dépendant presque
tout entier de Cléré, — et d’où sort, en animant
un moulin, la rivière du Layon. Son affluent la
Suère forme en partie limite vers S.
 
Les chemins d’intérêt commun de Tigné et de
Nueil s’entrecroisent dans le bourg même.
 
En dépendent le vill. de Laigné (11 mais.,
30 hab.), les ham. de Guinchereau (4 mais., 14 h.),
du Chatellier (6 mais., 18 h.), de Guinefolle
(3 mais., 11 hab.), partie du Chêne-Rond (3 mais.,
10 h.), 7 fermes ou écarts dont un de 2 maisons.
Superficie : 468 hect. dont 46 hect. de vignes,
arrachées, puis replantées depuis 30 ans, 35 hect.
de bois.
 
Population : 65 feux en 1697. — 75 feux,
339 hab. en 1720-1726. — 343 hab. en 1790. —
374 hab. en 1831. — 375 hab. en 1841. — 345 h.
en 1851. — 309 hab. en 1861. — 303 hab. en
1866. — 298 hab. en 1872, dont 168 (65 mais.,
70 mén.) au bourg, qu’étreignent Cléré et Nueil,
partie même de la rue vis-à-vis la mairie dépendant
de Nueil, — en décroissance d’ailleurs rapide
et profonde.
 
Foires : le mardi de Pâques et le 29 septembre
jusqu’en 1820, plus le 26 décembre depuis 1825
jusqu’en 1854, — déchues depuis en simples
assemblées, celle du 29 septembre transférée au
lundi de la Pentecôte ; — les marchés même sont
perdus. — La mesure locale comptait 16 boisseaux
pour 13 boisseaux 1/3 des Ponts-de-Cé.
 
Bureau de Poste de Nueil. — Perception
de Trémont.
 
Ecole mixte dans une maison acquise par
autorisation du 10 janvier 1842 par acte des
2 mars 1841 et 27 février 1841. — Un cabinet,
auprès du grenier y sert de salle de Mairie.
 
L’Eglise, dédiée à St Etienne, fut réduite au
rang d’oratoire par arrêté du 18 octobre 1791 et
rétablie en titre de succursale le 26 décembre
1804. La nef de 3 travées a été reconstruite, avec
une réduction en largeur et en longueur de deux
mètres, par adjudication du 12 janvier 1862, dont
les travaux étaient terminés dès le mois d’avril
1863 (archit. Bonnet, d’Angers). — Elle était alors
presque tout entière pavée de tombes plates, avec
inscriptions, de René Lemaignan, 1637, J. Gautreau,
1749, Catherine Gillot, femme du chirurgien
Jacq. Cirot, 1751, Marie Nau, 1770,
Franç. Pihoné, 1775, Rose Neau, 1781. — La
partie antique comprend le chœur, qui abrite
l’autel, la voûte en berceau soutenue par deux
larges bandeaux plats saillants entrecroisés
({{XIe}} s.), que portent deux bizarres et curieux
chapiteaux romans, formés d’entrelacs de têtes
d’hommes et de rinceaux variés ; — suit l’abside
voûtée intérieurement en cul-de-four, mais qui
ressort à fond plat carré, en moyen appareil
régulier, avec fenêtres plein cintre à claveaux
nus, sans moulures ni saillies, le pignon et tout
le toit du chœur porté autrefois sur une ligne de
modillons, têtes et animaux grotesques, la plupart
tombés ({{XIe}} s.). — Deux chapelles (dont une
de 7 mèt. sur 4, l’autre de 4 m. sur 3 m. 50), formaient
les bras de la croix, celle de St François,
transformée en sacristie, où sont réfugiées, avec
deux statuettes {{XVIIe}} s. de la Vierge et de saint
Etienne, les tombes de haute et puissante dame
Louise-Françoise de l’Estang, † le 19 novembre
1735, avec l’écu double à ses armes et à celles de
Caravas, — de Louise-Antoinette Gouffîer, morte
âgée de 2 ans, le 9 juillet 1731 — et de Pierre-Marc-Antoine
Gouffier, † en mai 1740. On retrouva
en 1833 leurs statues dans la terre, devant le
porche de l’église, où elles avaient été transportées
pour étayer le pied de l’arbre de la liberté
planté dans le cimetière, qui surplombe le chemin
en pente ravinée vers la vallée de l’O.
 
Sur l’autre bord du Layon s’élève, attenant à
un petit logis, les restes de la chapelle Saint-Martin,
ancienne aumônerie, qui appartenait
en dernier lieu à l’hospice de Montreuil-Bellay.
La façade en est tombée. An fond du chœur,
entre les trois murs, domine encore une jolie
statuette de St Sébastien, du {{XVIIIe}} s., comme
la construction même.
 
Aux alentours, dont les champs sont encombrés
de fondations, au Chatellier, sur la rive
droite du Layon, la tradition, encore accréditée
dans le pays, place — et non sans vraisemblance
— le centre antique. La voie d’Argenton-Château
se frayait là son passage en droite ligne par Tigné
jusqu’à Brissac, croisée sur la rive gauche du
Layon par la voie montant de Maulévrier à Nueil.
C’est Foulques-Nerra, croit-on, qui à ce point
même transféra le bourg et l’église en y construisant
une forteresse.
 
Aucun titre ne parle de la fondation de la paroisse.
L’église date évidemment des premières
années du {{XIe}} s., comme le château primitif.
Foulques en avait confié la garde à un vaillant
soldat, vir strenuus, du nom de Sigebrand,
dont le fils Guillaume appela, auprès de lui,
comme l’avait fait son père à Vihiers, les moines
de St-Florent, en leur assurant des revenus suffisants
pour vivre. On y voit constituée ainsi au
{{XIIe}} s. l’église ou chapelle St-Etienne, chapelle
du château proprement dit, plus tard érigée en
cure paroissiale, dont est titulaire Franç. Bouchet,
1494, Jean Rivaut, 1505, Urb. Rallier,
1581, Eustache Foullard, 1611, 1620 ; elle s’élevait
dans la cour basse et fut rasée en 1626. —
Tout au méme temps et dès le {{XIIe}} s. le faubourg
du Rondray, attenant au château, forme une
autre paroisse avec l’église de Notre-Dame,
desservie par les moines, et auprès de laquelle
l’abbé de St-Florent avait pris en 1236 l’engagement
d’entretenir quatre religieux prêtres. — Le
service en passa bientôt à la charge d’un curé,
qui, lors de la destruction de St-Etienne, eut à
régir « les deux paroisses réunies et incorporées
ensemble de Notre-Dame et de St-Etienne »,
double vocable que les titres rappellent longtemps.
 
Prieurs : Girard, 1180. — Geoflfroi de St-Gondon,
1184. — Simon Malard, 1210, 1224.
— Guill. de la Barre, 1286. — Guill. de Sulié,
1292. — Jean Bienassis, 1486. — Jean Du
Vau, 1487. — Jean Amadou, 1495. —Jean Du
Vau, 1504. — Jean Bouvereau, 1579. — Denis
Thévenard, aussi prieur d’Allonnes, 1679, 1686.
— Jean Péan, 1720, † à Angers le 25 août 1729.
— André Gasnier, 1758.
 
Curés de Notre-Dame : Philibert Lebeau,
1464. —Jean Boireau, 1571. — Joachim Lamy,
1608 — René Pelletier, 1620. — Franc. Pèlerin,
1625. — Jacques Portier, 1626, 1639. —
Boussion, 1640. — Pierre de Grangère, 1643.
— Ambroise Rousseau, 1634. — Jean de Signy,
1650. — Simon Couronné, 1664, 1668. — Nic.
Portier, 1671. — Noël Foumier, 1682, † le
19 septembre 1707, comme l’indique son épitaphe
dans l’église. — Gendrot, novembre 1707. —
Louis Delaunay, 1708, 1725. — Le Pousset,
1728. — Salomon Nau, 1735, † le 24 février 1775,
âgé de 71 ans. — J.-B.-Claude Desfossés, mai
1775, qui résigne en janvier 1790. — Louis-César-François
Dubled, vicaire de Vernantes, installé
le 16 novembre 1790, jusqu’au 7 avril 1792.
 
Le fief appartenait à la fin du {{XIIe}} s. à Geoffroi
de la Troche, mari d’Agnès de Passavant. C’est
son fils Geoffroi qui fit reconstruire le château
vers 1210 sur remplacement actuel, alors occupé
par le four du prieuré qu’il indemnisa largement.
Sa fille aînée Isabelle épousa vers 1230 Guillaume
de la Haie en Touraine, mort avant 1255. Il devient
le chef en Anjou d’une puissante famille,
qui domine bientôt tout le pays de Vihiers,
Coron, Chemillé et partie des Mauges. Elle portait
d’or à 2 faces de gueules à l’orle de
9 merlettes de gueules sur les faces, 4 en
chef, 2 en face, 3 en pointe. Une charte française
de 1280 des Archives de M.-et-L. conserve
un très-beau sceau de Barthélémy de la Haie. —
En 1359 et 1360 on y voit installée une garnison
anglaise, dont le traité de Brétigny stipula l’expulsion.
— Ant. de la Haie, fils de Louis de la
Haie et de Marie d’Orléans, est élu abbé de St-Denis
en France en 1498, où sa tombe figure
encore. On la trouve reproduite dans le recueil de
M. de Guilhermy, t. II, p. 182-184.— Le mariage de
sa sœur Yolande porta la terre dans la maison d’Armagnac
de Nemours qui allait s’éteindre à Cérignoles
(1503). A défaut d’héritiers, elle revint à
Renée de la Haie, fille de François et de Catherine
de Clermont qui épousa Joachim de Montespédon.
— C’est sans doute de son union pendant
un demi-siècle avec le marquisat, puis duché de
Beaupréau, qu’elle retint le titre de baronnie qui
lui est attribué dans les documents postérieurs
au {{XVIe}} s. — Guy III de Scépeaux, légataire de
Philippe de Montespédon, aliéna vers 1570 le
château de Passavant, que dès 1579 possédait
Gilbert Gouffier, marquis de Boisy, — et sa famille
jusqu’aux approches de la Révolution.
Charles-Jean de la Vallée Rarecourt, marquis de
Pimodan, baron de Buxière, en est seigneur en
1783-1788.
 
La paroisse dépendait du Diocèse de Poitiers,
de l’Archiprêtré de Thouars, de l’Election de Montreuil-Bellay,
du Grenier à sel de Vihiers, du
District en 1788 de Montreuil-B., en 1790 de
Vihiers.
 
Le château antique n’est plus qu’une ruine,
dont certaines parties pourtant sont encore habitées
en ferme et dont l’ensemble reste imposant,
planté sur un escarpement de rocher de 20 à 25 m.
de hauteur, autour duquel circulaient d’immenses
douves, baignées par l’étang et par les eaux vives
du Layon. Un pont de pierre de 3 arches les
traverse, dont la dernière s’ouvrait à un pont-levis,
débouchant devant un large portail avec
guichet refait au {{XVIe}} s. ; — à distance, à droite,
un corps de logis s’avance sur les douves —
à gauche une tour ronde, formant sur la cour un
bâtiment rectangulaire à toit tronqué. La cour,
vaste cercle bordé par de hautes courtines
avec un large chemin de ronde, contient vers
N.-E. la fuie et se rétrécit dans un étroit passage,
défendu par une herse, qui donnait accès à l’habitation
seigneuriale, occupant en équerre les
faces vers l’O. et vers S., aujourd’hui ruinées ou
reconstruites, — avec 4 grosses tours, dont deux
accouplées à l’angle principal, la plus grosse couronnée
d’une salle ronde, avec 8 fenêtres ou
meurtrières et des cheminées du haut en bas. L’escalier
qui y mène forme une élégante cage en
limaçon, à trois pans coupés, dont la porte basse
en granit est surmontée d’une charmante et large
baie avec accolade et montants fleuronnés, le
cintre chargé de vignes et de raisins rampants.
On reconnaît encore la chapelle, voûtée de rinceaux
d’ogive en saillie retombant sur des culs-de-lampe
sculptés du {{XIIIe}} s., le fond rempli par
un large arceau autrefois décoré de peintures, —
l’écurie de 80 pieds de longueur ; — dans les soubassements,
les cuisines ; celle qui sert encore
conserve une plaque en fonte armoriée d’un
aigle éployée, avec le cordon de l’Ordre et deux
lions pour support ; — à part, à l’extrémité
vers S., la salle dite du Trésor ou du Parquet,
voûtée à six pans d’ogives, avec doubles tores
ronds accouplés sur des colonnettes à chapiteaux,
{{XIIIe}} s. —Un dessin des ruines a été donné
par Hawke, dans l’Anjou de M. Godard. — Des
jardins hauts et bas communiquaient par une
allée à la chaussée de l’étang ; — le tout vendu
nat<sup>t</sup> le 18 thermidor an IV pour la somme de
3,952 livres. — Quinze jours auparavant avaient
été vendus les moulins bannaux et le grand étang.
 
Maires : Pellu, 1{{er}} messidor an VIII, † le
9 messidor an XIII. — Jos. Frogier, 2 janvier
1808. — Armand Rabouin, 1832. — Gabriel-Félix
Binsse, 4 décembre 1840, installé le 8. —
Joseph Reclus, installé le 22 septembre 1855. —
René Moron, 1861. — Dittière-Gapy, 1866. —
Guittière, 1870. — Gaudicheau, 1871, en
fonctions, 1876.
 
Arch. de M.-et-L. C 193 et 202 ; E 2824 ; H Prieuré de Passavant,
dont le carton comprend sept chartes originales (<small>XI</small>-{{XIIIe}}
s.) ; Prieuré de la Rimonnière, 1280 ; Q Vent. Nat., 411,
509-510 et 731.— D. Huynes, Mss. 88, 177, p. 313.— Topogr.
Grille.— Arch. d’Anj., t. I, p. 66.— Affiches, 27 mai 1793.
— Répert. archéol., 1869, p. 2, 13, 16, 40, 45.— Bibl. Nat.,
Mss. franç. 704. — De Guilhermy, Inscript. de la France,
t. II, p. 182-184.— Bibl. de l’Ec. des Chartes, 1875, p. 385.
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== Notes ==
== Notes ==
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{{Commune à compléter}}
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[[Catégorie:Commune]]
[[Catégorie:Commune]]
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