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Elle réalise ensuite une contre-performance, en février de l'année suivante durant les championnats de France Élite en salle à Miramas, perdant son titre de championne de France Élite du {{unité|400|mètres}}. Ses meilleures performances sont alors de {{nobr|52 s 65}} en février au meeting de Metz et de {{nobr|53 s 40}} ce même mois aux championnats de France en salle<ref name="co-28fevr2022" />{{,}}<ref>L'Équipe, ''Athlétisme, fiche d'athlète, Amandine Brossier'', avril 2022</ref>. En juin, l'Angevine participe aux Championnats de France d'athlétisme à Caen où elle conserve son titre sur {{unité|400|mètres}}, en {{nobr|52 s 02}}, et en juillet, elle termine 5 {{e}} aux Championnats du monde d'athlétisme, à Eugene aux États-Unis, sur {{nobr|4 x 400 m}}<ref>Ouest-France (Clément Hebert), ''Championnats de France d'athlétisme : l'Angevine Amandine Brossier conserve son titre sur 400 m'', 25 juin 2022</ref>{{,}}<ref>Conseil départemental de Maine-et-Loire, ''Dossier de presse Team Anjou'', 21 octobre 2022</ref>. | Elle réalise ensuite une contre-performance, en février de l'année suivante durant les championnats de France Élite en salle à Miramas, perdant son titre de championne de France Élite du {{unité|400|mètres}}. Ses meilleures performances sont alors de {{nobr|52 s 65}} en février au meeting de Metz et de {{nobr|53 s 40}} ce même mois aux championnats de France en salle<ref name="co-28fevr2022" />{{,}}<ref>L'Équipe, ''Athlétisme, fiche d'athlète, Amandine Brossier'', avril 2022</ref>. En juin, l'Angevine participe aux Championnats de France d'athlétisme à Caen où elle conserve son titre sur {{unité|400|mètres}}, en {{nobr|52 s 02}}, et en juillet, elle termine 5 {{e}} aux Championnats du monde d'athlétisme, à Eugene aux États-Unis, sur {{nobr|4 x 400 m}}<ref>Ouest-France (Clément Hebert), ''Championnats de France d'athlétisme : l'Angevine Amandine Brossier conserve son titre sur 400 m'', 25 juin 2022</ref>{{,}}<ref>Conseil départemental de Maine-et-Loire, ''Dossier de presse Team Anjou'', 21 octobre 2022</ref>. | ||
Vingt-quatre sportifs, dont Amandine Brossier, sont retenus en octobre 2022 par le [[conseil départemental de Maine-et-Loire]] pour constituer la Team Anjou avec un accompagnement spécifique de la collectivité dans le cadre de leur préparation aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris [[2024]]. L'athlète est alors licenciée au club d'Angers SCO Athlétisme<ref>Ouest-France (Emmanuel Esseul), ''Maine-et-Loire. Qui sont les membres de la Team Anjou candidats aux Jeux de Paris 2024 ?'', 21 octobre 2022</ref>{{,}}<ref> | Vingt-quatre sportifs, dont Amandine Brossier, sont retenus en octobre 2022 par le [[conseil départemental de Maine-et-Loire]] pour constituer la Team Anjou avec un accompagnement spécifique de la collectivité dans le cadre de leur préparation aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris [[2024]]. L'athlète est alors licenciée au club d'Angers SCO Athlétisme<ref>Ouest-France (Emmanuel Esseul), ''Maine-et-Loire. Qui sont les membres de la Team Anjou candidats aux Jeux de Paris 2024 ?'', 21 octobre 2022</ref>{{,}}<ref>Saumur Kiosque (IGNIS Communication, dir. Georges Chabrier), ''Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 : Le Département dévoile les noms des membres de la Team Anjou 2024'', 24 octobre 2022</ref>{{,}}<ref>Conseil départemental de Maine-et-Loire, ''Team Anjou 2024'', 21 octobre 2022</ref>. Le club, créé en 1919, est situé à [[Angers]], boulevard du Doyenné. Il dépend du Comité départemental d'Athlétisme, de la Ligue des Pays de la Loire et de l'autorité de la Fédération française d'athlétisme (FFA)<ref>SCO Athlétisme Angers Aubance Trélazé, ''Présentation'', novembre 2022</ref>. | ||
La sprinteuse conserve son titre de championne de France du {{unité|400|mètres}} en 2023 puis en 2024<ref name="co-29juin2024">Le Courrier de l'Ouest (Tristan Blaisonneau), ''Athlétisme. Amandine Brossier, championne de France du 400 mètres sans anneaux olympiques'', 29 juin 2024</ref>. Le {{date|12 juillet 2024}}, au meeting Herculis de Monaco, elle boucle son tour de piste en {{nobr|50 s 43}} et devient la deuxième Française la plus rapide de tous les temps sur {{unité|400|mètres}}. Cette performance arrive trop tard dans le calendrier pour la qualifier à l'épreuve individuelle des Jeux de Paris<ref>Le Courrier de l'Ouest (Tristan Blaisonneau), ''Athlétisme. Amandine Brossier, un record perso et les minima olympiques sur 400 m... trop tard'', 12 juillet 2024</ref>{{,}}<ref>Ouest-France (Raphaël Bonamy), ''Athlétisme. Une Amandine Brossier stratosphérique à Monaco !'', 12 juillet 2024</ref>. | La sprinteuse conserve son titre de championne de France du {{unité|400|mètres}} en 2023 puis en 2024<ref name="co-29juin2024">Le Courrier de l'Ouest (Tristan Blaisonneau), ''Athlétisme. Amandine Brossier, championne de France du 400 mètres sans anneaux olympiques'', 29 juin 2024</ref>. Le {{date|12 juillet 2024}}, au meeting Herculis de Monaco, elle boucle son tour de piste en {{nobr|50 s 43}} et devient la deuxième Française la plus rapide de tous les temps sur {{unité|400|mètres}}. Cette performance arrive trop tard dans le calendrier pour la qualifier à l'épreuve individuelle des Jeux de Paris<ref>Le Courrier de l'Ouest (Tristan Blaisonneau), ''Athlétisme. Amandine Brossier, un record perso et les minima olympiques sur 400 m... trop tard'', 12 juillet 2024</ref>{{,}}<ref>Ouest-France (Raphaël Bonamy), ''Athlétisme. Une Amandine Brossier stratosphérique à Monaco !'', 12 juillet 2024</ref>. | ||