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Artiste [[Liste des personnalités de Maine-et-Loire|angevin]], '''Pierre-Jean David d'Angers''' est un sculpteur et graveur-médailleur du {{XIXs}}. La ville d'Angers a offert à sa galerie le cadre de l'[[Architecture et patrimoine d'Angers|abbatiale Toussaint]] ({{XIIIe}}) restaurée.
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Né à [[Angers]] ([[Maine-et-Loire]]) le 12 mars 1788 et mort à Paris le 5 janvier 1856, David d'Angers est un sculpteur et graveur-médailleur français [[Liste des personnalités de Maine-et-Loire|angevin]] du XIX{{s}}. La ville d'Angers a offert à sa galerie le cadre de l’[[Architecture et patrimoine Angers|abbatiale Toussaint]] (XIII{{s}}) restaurée.


== L'artiste ==
Pierre-Jean David<ref>David, Pierre-Jean (1788-1856)</ref>, dit David d'Angers, naît à [[Angers]], en [[Maine-et-Loire]], le {{date|12 mars [[1788]]}}. Il manifeste de l'intérêt pour les arts dès son plus jeune âge, mais son père, le sculpteur Pierre-Louis David, ne l'encourage pas dans cette voie. Il finit par obtenir l'autorisation de suivre des cours à l'École centrale d'Angers. L'école est supprimée et Pierre-Jean se rend à Paris en 1808 pour continuer de suivre les cours du dessinateur et peintre Jean-Jacques Delusse. Il suit l'enseignement d'anatomie, de dessin et de sculpture. Pour subvenir à ses besoins, il exécute des travaux d'ornementation pour l'arc de triomphe du Carrousel et pour le palais du Louvre<ref name="benezit">''Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs'', Emmanuel Bénézit dir., tome second (D-K), Ernest Gründ éditeur (Paris), 1924, p. 34-35</ref>{{,}}<ref name="cport-1978">Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', t. II (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, p. 13-15</ref>.
Pour éviter la confusion avec l'illustre peintre David, Pierre-Jean décide d'ajouter à son nom celui de sa ville natale, Angers<ref name="cport-1978" />.
David d'Angers remporte plusieurs prix dès le concours d'essai de l'Académie en 1809. Il obtient le Grand prix de Rome en 1811 et part en Italie pour la villa Médicis où il reste pendant cinq ans. Revenu en France, il quitte la capitale pour Londres avant d'y retourner en 1818. Il reçoit la commande d'un monument commémoratif de la bataille de Waterloo, puis celle de l'achèvement de la statue de Condé commencée par le sculpteur Philippe-Laurent Roland, dont il a suivi l'enseignement. Il réalise, entre 1825 et 1850, quelque sept cents médaillons-portraits représentant des personnalités de son époque. Après 1825, il se consacre aux œuvres monumentales : monument de Bonchamps (église de Saint-Florent-le-Vieil), monument à Fénelon (cathédrale de Cambrai), monument au général Foy (cimetière du Père-Lachaise, Paris), etc. Le sculpteur réalise ensuite de très nombreuses pièces de 1830 à 1848<ref name="benezit" />{{,}}<ref name="cport-1978" />{{,}}<ref>Jacques de Caso, ''David d'Angers Pierre-Jean David dit (1788-1856)'', dans ''Encyclopædia Universalis'', éd. Encyclopædia Universalis France, 2010-2020</ref>{{,}}<ref>''Pierre-Jean David d'Angers'', dans ''Encyclopédie Larousse'', Société des Éditions Larousse, 2013-2020</ref>.
Il est élu membre de l'Institut de France en 1826 et nommé professeur à l'École de peinture et de sculpture. Il sculpte une importante série de portraits de personnalités contemporaines littéraires, artistiques et scientifiques<ref name="cport-1978" />.
En [[1848]], Pierre-Jean David est élu représentant du peuple par le département de Maine-et-Loire et entre à l'Assemblée nationale, mais en 1852, après le coup d'État de Napoléon III, il doit quitter la France et s'exiler en Grèce<ref name="benezit" />{{,}}<ref name="cport-1978"/>.


== L'artiste ==
L'artiste meurt à Paris le 5 janvier [[1856]]<ref name="benezit" />. La [[Galerie David-d'Angers]] est consacrée à son œuvre.
En 1811, il remporte le Grand prix de Rome, et part pour la villa Médicis où il reste pendant cinq ans ; il y rencontre notamment Ingres ; il fait ensuite un séjour à Londres et revient à Paris en 1818.<br />
En 1826, il est élu membre de l'Institut de France et nommé professeur à l'École de Peinture et de Sculpture ; Il sculpte une importante série de portraits de personnalités contemporaines littéraires, artistiques et scientifiques.<br />
En 1848, il est élu représentant du peuple par le département de Maine-et-Loire, mais en 1852, après le coup d'État de Napoléon III, il doit quitter la France et s'exiler en Grèce.


== Ses œuvres ==
== Ses œuvres ==
Son succès est paradoxal ; il a évité la voie de l'hagiographie en s'attachant à une représentation réaliste de ses modèles ou des détails de leur coiffure, vêtement ou accessoires, tout en "idéalisant" leurs traits ou leurs gestes suivant l'école de la phrénologie<ref>Exposition sur Les formes de l'âme, présentée à la galerie David d'Angers du 6 juin au 18 octobre 2015.</ref>.<br />
Son succès est paradoxal ; il évite la voie de l'hagiographie en s'attachant à une représentation réaliste de ses modèles ou des détails de leur coiffure, vêtement ou accessoires, tout en idéalisant leurs traits ou leurs gestes suivant l'école de la phrénologie<ref>Exposition sur ''Les formes de l'âme'', présentée à la galerie David d'Angers du 6 juin au 18 octobre 2015.</ref>.  
De plus, au lieu de créer des œuvres uniques dans un matériau noble, le bronze, il a choisi de reproduire ses modèles par des procédés et dans des dimensions qui leur permettaient d’être placés en tous lieux ou de circuler de main en main<ref>Exposition sur les visages du romantisme, BnF, 22 novembre 2011 au 25 mars 2012.</ref>.


On peut retrouver ses œuvres :
Au lieu de créer des œuvres uniques dans un matériau noble, le bronze, il choisi de reproduire ses modèles par des procédés et dans des dimensions qui leur permettent d'être placés en tous lieux ou de circuler de main en main<ref name="bnf-2011-2012">Exposition ''David d'Angers, les visages du romantisme'', BnF, 22 novembre 2011 au 25 mars 2012.</ref>.
* Galerie Toussaint à Angers,
 
* Musée du Louvre : statues en marbre et en bronze,
On peut retrouver ses œuvres<ref>[http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/joconde_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=DAVID%20Pierre%20Jean&DOM=All&REL_SPECIFIC=3 ''David Pierre Jean'' sur la base Joconde] du ministère de la Culture</ref> :
* École nationale supérieure des beaux-arts à Paris : médaillons en bronze,
* [[Galerie David-d'Angers|Galerie Toussaint à Angers]] ;
* Musée de la vie romantique : médaillons en bronze,
* Musée du Louvre, statues en marbre et en bronze ;
* Musée des Monnaies, médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France,
* École nationale supérieure des beaux-arts à Paris, médaillons en bronze ;
* Cimetière du Père-Lachaise, de Montparnasse et de Montmartre,
* Musée de la vie romantique, médaillons en bronze ;
* Musée des Monnaies, médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France ;
* Cimetière du Père-Lachaise, de Montparnasse et de Montmartre ;
* dans une vingtaine de villes françaises.
* dans une vingtaine de villes françaises.
La statue du roi René située à Angers, au rond-point de la place du président Kennedy et des boulevards, est une œuvre de l'artiste réalisée en 1822<ref name="bnf-2011-2012" />.
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File:Galerie David d'Angers - vue d'ensemble.jpg
File:David d'Angers - statue de Gutenberg - 2014a.jpg|link=Œuvres de Pierre-Jean David d'Angers
File:David d'Angers - trois bustes féminins.jpg|link=Œuvres de Pierre-Jean David d'Angers
File:David d'Angers - sculpteur et ses outils.jpg|link=Œuvres de Pierre-Jean David d'Angers
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== Bibliographie ==
== Bibliographie ==
* Henri Jouin, ''David D'Angers, sa vie, son œuvre, ses écrits et ses contemporains'', [http://data.bnf.fr/12731869/henry_jouin/ sur data BnF].
* ''Roland et ses ouvrages'' par David (d'Angers), Pagnerre éditeur (Paris), 1847 ([https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57874221 sur Gallica]).
* Henri Delaborde, ''David d'Angers, ses œuvres et ses doctrines'', Revue des Deux Mondes, tome 27, 1878 [http://fr.wikisource.org/wiki/David_d%E2%80%99Angers,_ses_%C5%93uvres_et_ses_doctrines sur Wikisource].
* ''Collection de portraits des contemporains d'après les médaillons de P.-J. David, d'Angers'', publiée sous la direction de MM. P.-J. David, Paul Delaroche et Henriquel-Dupont, Bureau du trésor de numismatique et de glyptique, 1838 ([https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9625780t sur Gallica]).
* Henri Jouin, ''David D'Angers, sa vie, son œuvre, ses écrits et ses contemporains'', E. Plon et {{cie}} (Paris), 1878 ([https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k99832t sur Gallica]).
* Henri Delaborde, ''David d'Angers, ses œuvres et ses doctrines'', ''Revue des Deux Mondes'', tome 27, 1878 ([https://fr.wikisource.org/wiki/David_d’Angers,_ses_œuvres_et_ses_doctrines sur Wikisource]).
* Henry Jouin, ''David d'Angers et ses relations littéraires'', extrait de ''La nouvelle revue'' du 15 octobre 1890 (Paris), 1890 ([https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k875330n sur Gallica]).
* Henry Jouin, ''David d'Angers et la catastrophe du pont de la Basse-Chaîne (16 avril 1850)'', extrait de ''La revue de l'Anjou'', Germain & G. Grassin impr.-libr. (Angers), 1903 ([https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k8596565 sur Gallica]).


== Notes ==
== Notes ==
Sur le même sujet
Sur le même sujet
:- [[Liste des musées d'art d'Angers|Galerie David-d'Angers]]
:[[Œuvres de Pierre-Jean David d'Angers|Quelques œuvres de David d'Angers]]
:- [[Architecture et patrimoine Angers|Musée David d'Angers]]
:[[Galerie David-d'Angers]]
:- [[Liste des personnalités de Maine-et-Loire|Pierre-Jean David d'Angers, sculpteur et statuaire du XIXe siècle]]
:• [[Étienne-Hippolyte Maindron]] et [[Liste_des_personnalités_de_Maine-et-Loire#Beaux-arts|autres artistes angevins]]
:- [[Noms des rues|Angers, rue David d'Angers]]
:[[Noms des rues|Angers, rue David d'Angers]]
:- [[Patrimoine angevin|Les hommes qui ont marqué l'Anjou, comme le sculpteur David d'Angers]].
:[[Patrimoine angevin|Les hommes qui ont marqué l'Anjou]]


Sources et annotations
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Portrait de l'artiste.

Artiste angevin, Pierre-Jean David d'Angers est un sculpteur et graveur-médailleur du XIXe siècle. La ville d'Angers a offert à sa galerie le cadre de l'abbatiale Toussaint (XIIIe) restaurée.


L'artiste

Pierre-Jean David[1], dit David d'Angers, naît à Angers, en Maine-et-Loire, le 12 mars 1788. Il manifeste de l'intérêt pour les arts dès son plus jeune âge, mais son père, le sculpteur Pierre-Louis David, ne l'encourage pas dans cette voie. Il finit par obtenir l'autorisation de suivre des cours à l'École centrale d'Angers. L'école est supprimée et Pierre-Jean se rend à Paris en 1808 pour continuer de suivre les cours du dessinateur et peintre Jean-Jacques Delusse. Il suit l'enseignement d'anatomie, de dessin et de sculpture. Pour subvenir à ses besoins, il exécute des travaux d'ornementation pour l'arc de triomphe du Carrousel et pour le palais du Louvre[2],[3].

Pour éviter la confusion avec l'illustre peintre David, Pierre-Jean décide d'ajouter à son nom celui de sa ville natale, Angers[3].

David d'Angers remporte plusieurs prix dès le concours d'essai de l'Académie en 1809. Il obtient le Grand prix de Rome en 1811 et part en Italie pour la villa Médicis où il reste pendant cinq ans. Revenu en France, il quitte la capitale pour Londres avant d'y retourner en 1818. Il reçoit la commande d'un monument commémoratif de la bataille de Waterloo, puis celle de l'achèvement de la statue de Condé commencée par le sculpteur Philippe-Laurent Roland, dont il a suivi l'enseignement. Il réalise, entre 1825 et 1850, quelque sept cents médaillons-portraits représentant des personnalités de son époque. Après 1825, il se consacre aux œuvres monumentales : monument de Bonchamps (église de Saint-Florent-le-Vieil), monument à Fénelon (cathédrale de Cambrai), monument au général Foy (cimetière du Père-Lachaise, Paris), etc. Le sculpteur réalise ensuite de très nombreuses pièces de 1830 à 1848[2],[3],[4],[5].

Il est élu membre de l'Institut de France en 1826 et nommé professeur à l'École de peinture et de sculpture. Il sculpte une importante série de portraits de personnalités contemporaines littéraires, artistiques et scientifiques[3].

En 1848, Pierre-Jean David est élu représentant du peuple par le département de Maine-et-Loire et entre à l'Assemblée nationale, mais en 1852, après le coup d'État de Napoléon III, il doit quitter la France et s'exiler en Grèce[2],[3].

L'artiste meurt à Paris le 5 janvier 1856[2]. La Galerie David-d'Angers est consacrée à son œuvre.

Ses œuvres

Son succès est paradoxal ; il évite la voie de l'hagiographie en s'attachant à une représentation réaliste de ses modèles ou des détails de leur coiffure, vêtement ou accessoires, tout en idéalisant leurs traits ou leurs gestes suivant l'école de la phrénologie[6].

Au lieu de créer des œuvres uniques dans un matériau noble, le bronze, il choisi de reproduire ses modèles par des procédés et dans des dimensions qui leur permettent d'être placés en tous lieux ou de circuler de main en main[7].

On peut retrouver ses œuvres[8] :

  • Galerie Toussaint à Angers ;
  • Musée du Louvre, statues en marbre et en bronze ;
  • École nationale supérieure des beaux-arts à Paris, médaillons en bronze ;
  • Musée de la vie romantique, médaillons en bronze ;
  • Musée des Monnaies, médailles et antiques de la Bibliothèque nationale de France ;
  • Cimetière du Père-Lachaise, de Montparnasse et de Montmartre ;
  • dans une vingtaine de villes françaises.

La statue du roi René située à Angers, au rond-point de la place du président Kennedy et des boulevards, est une œuvre de l'artiste réalisée en 1822[7].

Bibliographie

  • Roland et ses ouvrages par David (d'Angers), Pagnerre éditeur (Paris), 1847 (sur Gallica).
  • Collection de portraits des contemporains d'après les médaillons de P.-J. David, d'Angers, publiée sous la direction de MM. P.-J. David, Paul Delaroche et Henriquel-Dupont, Bureau du trésor de numismatique et de glyptique, 1838 (sur Gallica).
  • Henri Jouin, David D'Angers, sa vie, son œuvre, ses écrits et ses contemporains, E. Plon et Cie (Paris), 1878 (sur Gallica).
  • Henri Delaborde, David d'Angers, ses œuvres et ses doctrines, Revue des Deux Mondes, tome 27, 1878 (sur Wikisource).
  • Henry Jouin, David d'Angers et ses relations littéraires, extrait de La nouvelle revue du 15 octobre 1890 (Paris), 1890 (sur Gallica).
  • Henry Jouin, David d'Angers et la catastrophe du pont de la Basse-Chaîne (16 avril 1850), extrait de La revue de l'Anjou, Germain & G. Grassin impr.-libr. (Angers), 1903 (sur Gallica).

Notes

Sur le même sujet

Quelques œuvres de David d'Angers
Galerie David-d'Angers
Étienne-Hippolyte Maindron et autres artistes angevins
Angers, rue David d'Angers
Les hommes qui ont marqué l'Anjou

Sources et annotations

  1. David, Pierre-Jean (1788-1856)
  2. a b c et d Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Emmanuel Bénézit dir., tome second (D-K), Ernest Gründ éditeur (Paris), 1924, p. 34-35
  3. a b c d et e Célestin Port (révisé par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. II (D-M), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1978, p. 13-15
  4. Jacques de Caso, David d'Angers Pierre-Jean David dit (1788-1856), dans Encyclopædia Universalis, éd. Encyclopædia Universalis France, 2010-2020
  5. Pierre-Jean David d'Angers, dans Encyclopédie Larousse, Société des Éditions Larousse, 2013-2020
  6. Exposition sur Les formes de l'âme, présentée à la galerie David d'Angers du 6 juin au 18 octobre 2015.
  7. a et b Exposition David d'Angers, les visages du romantisme, BnF, 22 novembre 2011 au 25 mars 2012.
  8. David Pierre Jean sur la base Joconde du ministère de la Culture