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'''Chazé-sur-Argos''' est une commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de [[Maine-et-Loire]] (49), dans le [[Segréen]], au nord-ouest de [[Vern-d'Anjou]] et au nord-est de [[Candé]].
'''Chazé-sur-Argos''' est une commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de [[Maine-et-Loire]] (49), dans le [[Segréen]], au nord-ouest de [[Vern-d'Anjou]] et au nord-est de [[Candé]].


Deux communes du [[Segréen]] portent le nom de  « Chazé », Chazé-sur-Argos et [[Chazé-Henry]].


== Situation administrative ==
La commune angevine de Chazé-sur-Argos est membre de la communauté de communes [[Communauté de communes Anjou Bleu Communauté|d'Anjou-Bleu-Communauté]], et se trouve dans le canton [[Canton de Segré-en-Anjou Bleu|de Segré-en-Anjou Bleu]] (Vern en 1793, [[Canton de Candé|Candé]] en 1801<ref>École des hautes études en sciences sociales (EHESS), ''Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Chazé-sur-Argos'', 2007</ref>), et l'arrondissement [[Arrondissement de Segré|de Segré-en-Anjou-Bleu]]<ref name="insee-gae">Insee, ''Géographie administrative et d'étude - Commune de Chazé-sur-Argos (49089)'', 2020</ref>.


== Situation administrative ==
Son code commune (Insee) est 49089 et son code postal est 49500. Les habitants se nomment les Chazéens et les Chazéennes. Sa population est de 841 habitants en 1999, {{formatnum:1043}} en 2012 et {{formatnum:1053}} en 2019<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1793|1793]], [[Population de Maine-et-Loire/1800|1800]], [[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2012|2012]], [[Population de Maine-et-Loire/2019|2019]])</ref>. La commune de Chazé-sur-Argos appartient à l'Aire d'attraction des villes d'Angers, à la Zone d'emploi de Segré-en-Anjou Bleu et au bassin de vie de Segré<ref name="insee-gae" />.
La commune de Chazé-sur-Argos est membre de la communauté de communes de [[Communauté de communes Anjou Bleu Communauté|Anjou-Bleu-Communauté]], et se trouve dans le canton de [[Canton de Segré|Segré]] et l'arrondissement de [[Arrondissement de Segré|Segré-en-Anjou-Bleu]].


Mairie : Place Saint-Julien, 49500 Chazé-sur-Argos (tél. 02 41 61 41 82, courriel [mailto:mairie.chazesurargos@wanadoo.fr chazesurargos]).
Mairie : Place Saint-Julien, 49500 Chazé-sur-Argos (tél. 02 41 61 41 82, courriel [mailto:mairie.chazesurargos@wanadoo.fr chazesurargos]).
Deux communes du [[Segréen]] portent le nom de « [[Chazé (homonymie)|Chazé]] », Chazé-sur-Argos et Chazé-Henry.


== Histoire et patrimoine ==
== Histoire et patrimoine ==
À voir sur la commune<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Chazé-sur-Argos)'', 2012</ref> :
Le village se développe autour d'un domaine gallo-romain. Le fief est un centre qui s'étend aussi sur Sainte-Gemmes-d'Andigné, Aviré, Loiré et le Bourg-d'Iré. L'église appartient au {{XIs}} au seigneur Bernier Grafin, qui la donne en 1072 à l'abbaye Saint-Serge d'Angers. Chazé-sur-Argos dépend au {{XVIIIe}} de l'élection d'Angers, du grenier à sel de Candé, et fait partie en 1788 du district de Segré<ref name="cport1965">Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|I}} (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, 2e éd. (1re éd. 1874), {{p.|710-711}}</ref>{{,}}<ref>Philippe Dain, ''Les frontières de la Cité des Andes'', dans ''Annales de Bretagne'', tome 75, numéro 1, 1968, p. 184</ref>{{,}}<ref>Ministère de la Culture ([[Christian  Cussonneau]]), ''Patrimoine architectural (Mérimée) - Village (IA49001854)'', 11 juillet 2005</ref>{{,}}<ref name="IA49001850">Ministère de la Culture (Christian Cussonneau), ''Patrimoine architectural (Mérimée) - Présentation de la commune de Chazé-sur-Argos (IA49001850)'', 2 avril 2007</ref>.
* Chapelle de l'Espérance ;
 
* Chapelle Notre-Dame, dite de la Croix-Marie ;
Patrimoine architectural<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Chazé-sur-Argos)'', 2012</ref> :
* Château des Peltrais ;
* Chapelle de l'Espérance, du {{XIXs}}s ;
* [[Liste des châteaux de Maine-et-Loire|Château]] du Raguin (MH), manoir mentionné pour la première fois en 1417 ;
* Chapelle Notre-Dame, dite de la Croix-Marie, des {{XVIIe}} et {{XIXs}}s ;
* Église Saint-Julien ;
* Château des Peltrais, du {{XIXs}}, succédant à une demeure plus ancienne ;
* Maison de maître dite château des Borderies ;
* [[Liste des châteaux de Maine-et-Loire|Château]] du Raguin (classé MH), manoir inspiré du style Renaissance avec tourelles coiffées de bulbes d'ardoises, puis château, des {{XVe}}, {{XVIIe}}, {{XVIIIe}}, {{XIXe}} et {{XXs}}s, mentionné pour la première fois en 1417<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée - Château du Raguin (IA49001858, PA00109038)'', 13 septembre 2012-15 mai 2019</ref>{{,}}<ref>Patrick Planchenault, ''Mysterieux Haut-Anjou'', 1984, p. 54</ref> ;
* Église Saint-Julien des {{XIIe}} et {{XIXs}}s ;
* Fermes du Launay-Rottier ({{XVIIe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXe}}), de La Blotinière ({{XVIIIe}} et {{XIXe}}), du Jalmain ({{XVIIIe}} et {{XIXe}}), des Paillardières ({{XVIIIe}} et {{XIXe}}) ;
* Maisons, 1 rue du 19 mars 1962 ({{XVIe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXe}}), 8 rue du 19 mars 1962 ({{XVe}}et {{XIXe}}), 8 place de la Mairie ({{XVIe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXe}}), 9 place Saint-Julien ({{XVIIe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXe}}), du Saule ({{XVIIIe}} ;
* Maison de maître, 3 et 5 route de Vern, des {{XVe}}, {{XVIIIe}}, {{XIXe}} et {{XXs}}s ;
* Maison de maître dite château des Borderies, des {{XVIIIe}}, {{XIXe}} et {{XXs}}s ;
* Manoir de La Chabosselais, des {{XVe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXs}}s ;
* Manoir des Chaufournais, des {{XVIe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXs}}s ;
* Manoir puis château de Raguin (classé MH), des {{XVe}}, {{XVIIe}}, {{XVIIIe}}, {{XIXe}} et {{XXs}}s ;
* [[Liste des moulins de Maine-et-Loire|Moulins]], dont à eau (hydrographie l'Argos, ruisseau de Biscaye) ;
* [[Liste des moulins de Maine-et-Loire|Moulins]], dont à eau (hydrographie l'Argos, ruisseau de Biscaye) ;
* Prieuré-cure Saint-Julien, de bénédictins puis de chanoines réguliers.
* Prieuré-cure Saint-Julien, de bénédictins puis de chanoines réguliers, grand bâtiment de plan rectangulaire du {{XVIIIs}}s.
 
[[File:chazesurargos_mairie_2016a.jpg|thumb|alt=Photographie de la mairie.|La mairie]]
Il a existé une quinzaine de moulins sur la commune, détruits pour la plupart aux {{XIXe}} et {{XXs}}s<ref>Ministère de la Culture (Christian Cussonneau), ''Patrimoine architectural (Mérimée) - Moulins (IA49001852)'', 11 juillet 2005</ref>. Une petite industrie de fabrication de chaux existait aussi au sud de la commune<ref name="IA49001850" />.
 
== Loisirs et culture ==
Le cercle Saint-Joseph, qui compte une soixante-dizaine de sociétaires, propose des jeux de cartes et de pétanques<ref>Ouest-France, ''Un nouveau président au cercle Saint-Joseph'', 28 février 2018</ref>. On y trouve également une formation musicale, la fanfare Chazéenne-Lorétaine, et une compagnie théâtrale, la troupe du théâtre des Saules<ref>Ouest-France, ''Sainte-Cécile : les musiciens font « vivre la musique »'', 22 novembre 2017</ref>{{,}}<ref>Ouest-France, ''La troupe de théâtre présente Quadrille'', 24 mars 2017</ref>. La bibliothèque est membre du réseau [[Bibliothèque de Candé|Histoire de lire]], constitué des cinq bibliothèques de l'intercommunalité candéenne<ref>Syndicat Intercommunal du Candéen, ''Réseau des bibliothèques "Histoire de lire", juin 2018</ref>.


Il a existé, au sud de la commune, une petite industrie de fabrication de chaux.
Pendant les Journées du patrimoine de septembre 2018, le château de Raguin a organisé une exposition artistique de photographies, peintures et sculptures, et un concert de musique classique<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Chazé-sur-Argos Peinture et musique au château de Raguin'', 12 septembre 2018</ref>.
 
== Espace et territoire ==
Chazé-sur-Argos se situe sur le plateau du Segréen<ref>''Atlas des paysages de Maine et Loire'', voir [[Liste des unités paysagères de Maine-et-Loire|unités paysagères]].</ref>. Sa superficie est de {{unité|30.82|km|2}} ({{unité|3082|hectares}}) et son altitude varie de 27 à 83 mètres<ref>IGN, ''Répertoire géographique des communes (RGC)'', données 2014 ([[Altitude des communes de Maine-et-Loire|altitude]], [[Superficie des communes de Maine-et-Loire|superficie]])</ref>. Venant de [[Loiré]], la rivière l'Argos traverse son territoire<ref>Obervatoire de l'eau (Département de Maine-et-Loire), ''Argos (bassin de l'Oudon)'', 2012 — Sur ce sujet, voir la [[Verzée]].</ref>.
 
Chazé-sur-Argos est une commune rurale où la principale activité est l'agriculture. Dans les années 1960, on y trouvait 125 exploitations (polyculture et élevage)<ref name="cport1965" />.
 
Localités aux alentours : [[Marans]], [[Vern-d'Anjou]], [[Sainte-Gemmes-d'Andigné]], [[Loiré]], [[Gené]], [[Segré]], [[Angrie]], [[La Chapelle-sur-Oudon]], [[Le Bourg-d'Iré]] et [[La Pouëze]]<ref>Lion1906 (Lionel Delvarre), ''Distances à partir de Chazé-sur-Argos (49)'', juin 2010</ref>.


== Notes ==
== Notes ==
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: Les [[Charezé-sur-Argos|formes anciennes]] du nom.


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[[Catégorie:Chazé-sur-Argos]]

Dernière version du 20 juin 2024 à 17:41

Chazé-sur-Argos
Département Maine-et-Loire
Territoire Segréen
Arrondissement arr. Segré-en-Anjou Bleu
Canton cant. de Segré
Intercommunalité cc Anjou Bleu Communauté
Code Insee, postal 49089, 49500
Habitants Les Chazéen(ne)s
Données locales altitudes, coordonnées, populations, superficies
Site web page officielle
Situation dans le département

Situer sur OpenStreetmap

Chazé-sur-Argos est une commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de Maine-et-Loire (49), dans le Segréen, au nord-ouest de Vern-d'Anjou et au nord-est de Candé.


Situation administrative

La commune angevine de Chazé-sur-Argos est membre de la communauté de communes d'Anjou-Bleu-Communauté, et se trouve dans le canton de Segré-en-Anjou Bleu (Vern en 1793, Candé en 1801[1]), et l'arrondissement de Segré-en-Anjou-Bleu[2].

Son code commune (Insee) est 49089 et son code postal est 49500. Les habitants se nomment les Chazéens et les Chazéennes. Sa population est de 841 habitants en 1999, 1 043 en 2012 et 1 053 en 2019[3]. La commune de Chazé-sur-Argos appartient à l'Aire d'attraction des villes d'Angers, à la Zone d'emploi de Segré-en-Anjou Bleu et au bassin de vie de Segré[2].

Mairie : Place Saint-Julien, 49500 Chazé-sur-Argos (tél. 02 41 61 41 82, courriel chazesurargos).

Deux communes du Segréen portent le nom de « Chazé », Chazé-sur-Argos et Chazé-Henry.

Histoire et patrimoine

Le village se développe autour d'un domaine gallo-romain. Le fief est un centre qui s'étend aussi sur Sainte-Gemmes-d'Andigné, Aviré, Loiré et le Bourg-d'Iré. L'église appartient au XIe siècle au seigneur Bernier Grafin, qui la donne en 1072 à l'abbaye Saint-Serge d'Angers. Chazé-sur-Argos dépend au XVIIIe de l'élection d'Angers, du grenier à sel de Candé, et fait partie en 1788 du district de Segré[4],[5],[6],[7].

Patrimoine architectural[8] :

  • Chapelle de l'Espérance, du XIXe siècles ;
  • Chapelle Notre-Dame, dite de la Croix-Marie, des XVIIe et XIXe siècles ;
  • Château des Peltrais, du XIXe siècle, succédant à une demeure plus ancienne ;
  • Château du Raguin (classé MH), manoir inspiré du style Renaissance avec tourelles coiffées de bulbes d'ardoises, puis château, des XVe, XVIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles, mentionné pour la première fois en 1417[9],[10] ;
  • Église Saint-Julien des XIIe et XIXe siècles ;
  • Fermes du Launay-Rottier (XVIIe, XVIIIe et XIXe), de La Blotinière (XVIIIe et XIXe), du Jalmain (XVIIIe et XIXe), des Paillardières (XVIIIe et XIXe) ;
  • Maisons, 1 rue du 19 mars 1962 (XVIe, XVIIIe et XIXe), 8 rue du 19 mars 1962 (XVeet XIXe), 8 place de la Mairie (XVIe, XVIIIe et XIXe), 9 place Saint-Julien (XVIIe, XVIIIe et XIXe), du Saule (XVIIIe ;
  • Maison de maître, 3 et 5 route de Vern, des XVe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles ;
  • Maison de maître dite château des Borderies, des XVIIIe, XIXe et XXe siècles ;
  • Manoir de La Chabosselais, des XVe, XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Manoir des Chaufournais, des XVIe, XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Manoir puis château de Raguin (classé MH), des XVe, XVIIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles ;
  • Moulins, dont à eau (hydrographie l'Argos, ruisseau de Biscaye) ;
  • Prieuré-cure Saint-Julien, de bénédictins puis de chanoines réguliers, grand bâtiment de plan rectangulaire du XVIIIe siècles.
 
La mairie

Il a existé une quinzaine de moulins sur la commune, détruits pour la plupart aux XIXe et XXe siècles[11]. Une petite industrie de fabrication de chaux existait aussi au sud de la commune[7].

Loisirs et culture

Le cercle Saint-Joseph, qui compte une soixante-dizaine de sociétaires, propose des jeux de cartes et de pétanques[12]. On y trouve également une formation musicale, la fanfare Chazéenne-Lorétaine, et une compagnie théâtrale, la troupe du théâtre des Saules[13],[14]. La bibliothèque est membre du réseau Histoire de lire, constitué des cinq bibliothèques de l'intercommunalité candéenne[15].

Pendant les Journées du patrimoine de septembre 2018, le château de Raguin a organisé une exposition artistique de photographies, peintures et sculptures, et un concert de musique classique[16].

Espace et territoire

Chazé-sur-Argos se situe sur le plateau du Segréen[17]. Sa superficie est de 30,82 km2 (3 082 hectares) et son altitude varie de 27 à 83 mètres[18]. Venant de Loiré, la rivière l'Argos traverse son territoire[19].

Chazé-sur-Argos est une commune rurale où la principale activité est l'agriculture. Dans les années 1960, on y trouvait 125 exploitations (polyculture et élevage)[4].

Localités aux alentours : Marans, Vern-d'Anjou, Sainte-Gemmes-d'Andigné, Loiré, Gené, Segré, Angrie, La Chapelle-sur-Oudon, Le Bourg-d'Iré et La Pouëze[20].

Notes

  1. ↑ École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Chazé-sur-Argos, 2007
  2. ↑ a et b Insee, Géographie administrative et d'étude - Commune de Chazé-sur-Argos (49089), 2020
  3. ↑ Population de Maine-et-Loire (1793, 1800, 1999, 2012, 2019)
  4. ↑ a et b Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. I (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, 2e éd. (1re éd. 1874), p. 710-711
  5. ↑ Philippe Dain, Les frontières de la Cité des Andes, dans Annales de Bretagne, tome 75, numéro 1, 1968, p. 184
  6. ↑ Ministère de la Culture (Christian Cussonneau), Patrimoine architectural (Mérimée) - Village (IA49001854), 11 juillet 2005
  7. ↑ a et b Ministère de la Culture (Christian Cussonneau), Patrimoine architectural (Mérimée) - Présentation de la commune de Chazé-sur-Argos (IA49001850), 2 avril 2007
  8. ↑ Ministère de la Culture, Base Mérimée (Chazé-sur-Argos), 2012
  9. ↑ Ministère de la Culture, Base Mérimée - Château du Raguin (IA49001858, PA00109038), 13 septembre 2012-15 mai 2019
  10. ↑ Patrick Planchenault, Mysterieux Haut-Anjou, 1984, p. 54
  11. ↑ Ministère de la Culture (Christian Cussonneau), Patrimoine architectural (Mérimée) - Moulins (IA49001852), 11 juillet 2005
  12. ↑ Ouest-France, Un nouveau président au cercle Saint-Joseph, 28 février 2018
  13. ↑ Ouest-France, Sainte-Cécile : les musiciens font « vivre la musique », 22 novembre 2017
  14. ↑ Ouest-France, La troupe de théâtre présente Quadrille, 24 mars 2017
  15. ↑ Syndicat Intercommunal du Candéen, Réseau des bibliothèques "Histoire de lire", juin 2018
  16. ↑ Le Courrier de l'Ouest, Chazé-sur-Argos Peinture et musique au château de Raguin, 12 septembre 2018
  17. ↑ Atlas des paysages de Maine et Loire, voir unités paysagères.
  18. ↑ IGN, Répertoire géographique des communes (RGC), données 2014 (altitude, superficie)
  19. ↑ Obervatoire de l'eau (Département de Maine-et-Loire), Argos (bassin de l'Oudon), 2012 — Sur ce sujet, voir la Verzée.
  20. ↑ Lion1906 (Lionel Delvarre), Distances à partir de Chazé-sur-Argos (49), juin 2010
Les formes anciennes du nom.


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