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Le pays est habité dès les temps antiques. Il se trouve à l'époque gallo-romaine sur la voie de Poitiers à Nantes. Les moines de Saint-Serge établissent une chapelle vers le {{Xs}} et la transforme au siècle suivant en prieuré. Son histoire féodale se confond avec celle de [[Beaupréau]], la plupart des biens de la cure et de l'ancien prieuré relevant du comté. Au {{XVIIIe}}, La Chapelle-du-Genêt dépend de l'élection et de la sénéchaussée d'Angers, et du grenier à sel de Saint-Florent. Ce village rural, situé en plein cœur du bocage angevin des Mauges, compte 800 habitants à la veille de la Révolution, peuplé en partie d'agriculteurs et en partie de tisserands<ref name="cport-1965">Célestin Port (révisé par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|I}} (A-C), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1965, 2e éd. (1re éd. 1874), {{p.|651-653}}</ref>{{,}}<ref>Claude Langlois, ''Parole de Dieu et Révolution. Les Sermons d'un curé angevin avant et pendant la guerre de Vendée'', dans ''Archives de sciences sociales des religions'', n° 51/2, 1981, p. 254</ref>{{,}}<ref>François Lebrun, ''Une famille très ordinaire au XVIIIe siècle'', dans ''Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest'', tome 88, numéro 2, 1981, p. 225-226</ref>.

Éléments du patrimoine<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (La Chapelle-du-Genêt)'', 2012</ref> : Église Notre-Dame, du {{XIXs}}, comportant un ciboire (coupe sacrée) classé au titre des objets.