« Saint-André-de-la-Marche » : différence entre les versions

De Wiki-Anjou
mAucun résumé des modifications
 
(34 versions intermédiaires par 2 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Infobox commune
{{Infobox quartier
| commune=Saint-André-de-la-Marche
| qualité = commune déléguée
| image=
| image = <!-- blason ou logo -->
| préfecture=Sous-préfecture de Cholet
| territoire = [[Mauges]]
| territoire=[[Mauges]]
| commune = [[Sèvremoine]]
| intercom=[[Communauté de communes de Moine-et-Sèvre]]
| libre = Regroupement <br>du 15 décembre 2015
| codepostal=49450
| carte = [[Fichier:Carte situation commune saintandredelamarche.png|300px|center|Situation dans le département]]
| habitants=Les Andréatain(e)s
{{osm14|n=47.0955|o=-1.0120}}
| siteweb=[http://www.saint-andre-de-la-marche.fr Site de la commune]
| carte=[[Fichier:Carte situation commune saintandredelamarche.png|300px|center|Situation dans le département]]
}}
}}
'''Saint André de la Marche''' est une commune de l'ouest de la France, qui se situe dans le département de [[Maine-et-Loire]] (49), à 10 km au nord-ouest de [[Cholet]]<ref name="geoportail">IGN et BRGM, Géoportail, et, Lion1906, Distances à vol d'oiseau, 20 mai 2012</ref>.


Les communes les plus proches sont [[Saint-Macaire-en-Mauges]], [[La Romagne]], [[Roussay]], [[La Renaudière]] et [[La Séguinière]]<ref name="geoportail" />.
'''Saint André de la Marche''' est une ancienne commune de l'ouest de la France située dans le département de [[Maine-et-Loire]] (49), à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de [[Cholet]]<ref name="geoportail">IGN et BRGM, ''Géoportail (Saint-André-de-la-Marche 49)'', mai 2012</ref>{{,}}<ref name="distances">Lion1906 (Lionel Delvarre), ''Distances à partir de Saint-André-de-la-Marche (49)'', juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).</ref>. Elle est intégrée depuis 2015 à [[Sèvremoine]].


Ses habitants s'appellent les Andréatain(e)s.


== Présentation ==
Saint-André-de-la-Marche se trouve dans le quart sud-ouest du département ([[Mauges]]). Cette commune appartient à l'[[Liste des cantons de Maine-et-Loire|arrondissement de Cholet]] (canton de Montfaucon-Montigné) et au [[Syndicat mixte du Pays des Mauges]].


La commune est intégrée à la [[Communauté_de_communes_de_Moine-et-Sèvre|communauté de communes de Moine et Sèvres]], intercommunalité qui regroupe neuf autres communes : [[Saint-Macaire-en-Mauges]], [[La Renaudière]], [[Roussay]], [[Torfou]], [[Le Longeron]], [[Montfaucon-Montigné]], [[Saint-Germain-sur-Moine]], [[Saint-Crespin-sur-Moine]], et [[Tillières]].
== Situation administrative ==
[[André|Saint-André]] en 1793, puis Saint-André-de-la-Marche<ref name="ehess" />.


; Repères historiques
Le 15 décembre 2015, la [[Création de la nouvelle commune de Sèvremoine (2015)|commune nouvelle]] de [[Sèvremoine]] est créée du regroupement de [[Le Longeron]], [[Montfaucon-Montigné]], [[La Renaudière]], [[Roussay]], Saint-André-de-la-Marche, [[Saint-Crespin-sur-Moine]], [[Saint-Germain-sur-Moine]], [[Saint-Macaire-en-Mauges]], [[Tillières]] et [[Torfou]]. Saint-André-de-la-Marche devient une commune déléguée<ref>Préfecture de Maine-et-Loire, ''Arrêté préfectoral n° DRCL-BCL-2015-60'', du 5 octobre 2015 — Voir [[création de la nouvelle commune de Sèvremoine (2015)]].</ref>.
Originellement rattachée au Poitou, Saint-André-de-la-Marche fut ensuite incorporée à l’Anjou. Les frontières entre les trois régions d’[[Anjou]], du Poitou et de Bretagne furent, durant de nombreux siècles, flottantes et imprécises, ceci de part les luttes répétées entre les différents suzerains de ces régions, pour agrandir leur territoire. Ainsi, il fut constitué, au fil du temps, des zones appelées « marches séparantes » entre ces régions, de part et d’autre de ses frontières fluctuantes ; elles avaient un statut juridique d’indivision. Ces statuts particuliers ont été consignés par écrit dans une chartre (1265) ou des pactes (1406 et 1426) entre ces régions. Ces statuts furent abolis à la Révolution française. Saint-André-de-la-Marche était située dans les « marches communes » du Poitou et de l’Anjou, d’où le qualitatif de son nom<ref>E. Chenon, ''Les Marches séparantes d’Anjou, Bretagne, Poitou'', 1892</ref>.


== La commune ==
Jusqu'alors la commune est intégrée à la communauté de communes [[Communauté de communes de Moine-et-Sèvre|de Moine-et-Sèvre]], intercommunalité qui disparait à la création de la nouvelle commune, et se trouve dans le canton [[Canton de Saint-Macaire-en-Mauges|Saint-Macaire-en-Mauges]] (Saint André en 1793, [[Canton de Montfaucon-Montigné|Montfaucon]] en 1801<ref name="ehess">École des hautes études en sciences sociales (EHESS), ''Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Saint-André-de-la-Marche'', 2007</ref>) et l'[[arrondissement de Cholet]]. L'établissement public de coopération intercommunale (EPCI) de Moine-et-Sèvre comprend alors neuf autres communes : [[Saint-Macaire-en-Mauges]], [[La Renaudière]], [[Roussay]], [[Torfou]], [[Le Longeron]], [[Montfaucon-Montigné]], [[Saint-Germain-sur-Moine]], [[Saint-Crespin-sur-Moine]], et [[Tillières]].
La mairie se situe 6 place de l'aire du four, BP 60209, 49450 Saint André de la Marche - Tél. 02 41 55 32 07


La commune est jumelée avec un village d'Angleterre (Nassington, dans le comté du Northamptonshire) et un village de Roumanie (Marasu)<ref name="ville">Mairie de Saint André de la Marche, site de la commune, 20 mai 2012</ref>.
Son code commune (Insee) est 49264 et son code postal est 49450. Ses habitants se nomment (gentilé) Andréatain, Andréatainne. Sa population est de {{formatnum:2296}} habitants en 1999, {{formatnum:2552}} en 2006 et {{formatnum:3080}} en 2016<ref>[[Population de Maine-et-Loire]] ([[Population de Maine-et-Loire/1793|1793]], [[Population de Maine-et-Loire/1800|1800]], [[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2006|2006]], [[Population de Maine-et-Loire/2016|2016]])</ref>.


== À voir ==
La commune est jumelée avec un village d'Angleterre (Nassington, dans le comté du Northamptonshire) et un village de Roumanie (Marasu)<ref name="ville">Mairie de Saint-André-de-la-Marche, ''Site de la commune'', mai 2012</ref>.
* MUSÉE DES MÉTIERS DE LA CHAUSSURE, rue Saint-Paul. Dans un ancien atelier de fabrication de chaussures, découvrez des collections de chaussures, d'outils et de machines, ainsi que des animations.
 
* MAISON DE L'APICULTEUR, Beau-rivage. Espace muséeographique sur les abeilles et l'apiculture.
== De la marche ==
* LAVOIR communal, "Le Douet des prés". Situé dans l'espace de loisirs, à proximité de l'étang, il date du XIXe siècle. Il a été entièrement restauré en 2005/2006.  
Originellement rattachée au Poitou, Saint-André-de-la-Marche est ensuite incorporée à l'Anjou. Les frontières entre les trois régions d'Anjou, du Poitou et de Bretagne sont, durant de nombreux siècles, flottantes et imprécises ; ceci du fait des luttes répétées entre les différents suzerains de ces régions, pour agrandir leur territoire. Il est ainsi constitué, au fil du temps, des zones appelées « marches séparantes » entre ces régions, de part et d'autre de ses frontières fluctuantes ; elles ont un statut juridique d'indivision. Ces statuts particuliers sont consignés par écrit dans une charte (1265) ou des pactes (1406 et 1426) entre ces régions. Ils sont abolis à la Révolution française.
* CHAPELLE "Notre-Dame-de-Pitié". Depuis plusieurs siècles une chapelle existe au 2 rue Jeanne d'Arc. L'actuelle chapelle a été construite au XIXe siècle.
 
* ÉGLISE "Saint-André, apôtre". XIXe siècle.
Saint-André-de-la-Marche était située dans les « marches communes » du Poitou et de l'Anjou, d'où le qualitatif de son nom<ref>Émile Chénon, ''Les Marches séparantes d'Anjou, Bretagne, Poitou'', L. Larose et Forcel (Paris), 1892</ref>{{,}}<ref>Pierre-Louis Augereau, ''Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire'', Cheminements (Le Coudray-Macouard), 2004, p. 144-145</ref>.
 
[[File:saintandredelamarche_parc_2009a.jpg|thumb|alt=Photographie du parc.|Le parc]]
== Histoire et patrimoine ==
De nombreuses traces indiquent l'existence d'un centre préhistorique. Au Moyen Âge, la terre dépend de la seigneurie de la Treille puis au milieu du {{XVIIIe}} au marquisat de Beauvau. Située en marches communes, elle dépend du présidial et de la sénéchaussée d'Angers, de l'élection et des aides de Montreuil-Bellay<ref name="cport-1996">Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', {{t.|IV}} (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996, 2e éd. (1re éd. 1878), {{p.|8-13}}</ref>.
 
À voir à Saint-André-de-la-Marche :
* [[Musée de la chaussure de Saint-André-de-la-Marche|Musée des métiers de la chaussure]], rue Saint-Paul : Dans un ancien atelier de fabrication de chaussures où l'on peut découvrir des collections de chaussures, des outils et machines, ainsi que des animations<ref>[[Musée de la chaussure de Saint-André-de-la-Marche|Musée de l'industrie de la chaussure]], 2013-2020</ref>.
* Maison de l'apiculteur, Beau-rivage : Espace muséographique sur les abeilles et l'apiculture.
* Lavoir communal, le Douet des prés : Situé dans l'espace de loisirs, à proximité de l'étang, il date du {{XIXs}} et a été entièrement restauré en 2005 et 2006.  
* Chapelle Notre-Dame-de-Pitié : Depuis plusieurs siècles une chapelle existe au 2 rue Jeanne d'Arc. L'actuelle a été construite au {{XIXs}}.
* Église Saint-André, apôtre : Sa construction date du {{XIXs}}, reconstruite à l'emplacement d'une ancienne devenue trop petite<ref name="cport-1996" />.


== Loisirs et culture ==
== Loisirs et culture ==
On trouve sur la commune plusieurs associations (EDM Football, EDM Basketball, EDM Tennis de table, EDM Théâtre, EDM Danse, etc), ainsi que plusieurs infrastructures (bibliothèque, maison de l'enfance, espace jeunes, stade avec deux terrains de football et deux salles de sports, etc)<ref name="ville" />.
Présence sur la commune plusieurs associations (EDM Football, EDM Basketball, EDM Tennis de table, EDM Théâtre, EDM Danse, etc.), ainsi que plusieurs infrastructures (bibliothèque, maison de l'enfance, espace jeunes, stade avec deux terrains de football et deux salles de sports, etc)<ref name="ville" />. La bibliothèque fait partie du réseau des [[Bibliothèque de Saint-Macaire-en-Mauges|bibliothèques Sèvremoine]]<ref>Réseau des bibliothèques Sèvremoine, ''Mes bibliothèques'', juillet 2016</ref>.
 
Il existe au centre de l'agglomération un espace de loisirs, avec un étang, des jeux pour enfants, des tables de pique-nique et des espaces verts pour la promenade.
Il existe au centre de l'agglomération un espace de loisirs, avec un étang, des jeux pour enfants, des tables de pique-nique et des espaces verts pour la promenade.
== Espace et territoire ==
Saint-André-de-la-Marche se trouve dans le quart sud-ouest du département<ref name="geoportail" />. Elle s'étend sur {{unité|11.03|km|2}} ({{unité|1103|hectares}}) et son altitude varie de 43 à 114 mètres<ref>IGN, ''Répertoire géographique des communes (RGC)'', données 2014 ([[Altitude des communes de Maine-et-Loire|altitude]], [[Superficie des communes de Maine-et-Loire|superficie]])</ref>. Son territoire se situe sur le plateau des Mauges<ref>''Atlas des paysages de Maine et Loire'', voir [[Liste des unités paysagères de Maine-et-Loire|unités paysagères]].</ref>. Venant de la commune voisine de [[La Romagne]], la rivière la [[Moine]] traverse son territoire<ref>[[Moine|Moine (rivière)]], avril 2013</ref>.
L'office de tourisme le plus proche se trouve à [[Cholet]] (office de tourisme du Choletais).
Localités aux alentours : [[Saint-Macaire-en-Mauges]] ({{unité|2.7|km}}), [[La Romagne]] ({{unité|4.8|km}}), [[Roussay]] ({{unité|5.4|km}}), [[La Renaudière]] ({{unité|5.6|km}}), [[La Séguinière]] ({{unité|5.8|km}}), [[Saint-Philbert-en-Mauges]] ({{unité|6.0|km}}), [[Saint-Léger-sous-Cholet]] ({{unité|6.2|km}}), [[Bégrolles-en-Mauges]] ({{unité|6.3|km}}), [[Villedieu-la-Blouère]] ({{unité|7.4|km}}) et [[Andrezé]] ({{unité|8.7|km}})<ref name="distances" />{{,}}<ref name="geoportail" />.


== Notes ==
== Notes ==
<references />
Sources et annotations
 
{{Références}}
: Les [[André|formes anciennes]] du nom.


{{Modèle:BasPage Communes}}
{{BasPage Communes2015}}


[[Catégorie:Commune|Saint-Andre-de-la-Marche]]
[[Catégorie:Commune déléguée|Saint-Andre-de-la-Marche]]
[[Catégorie:Mauges|Saint-Andre-de-la-Marche]]
[[Catégorie:Saint-André-de-la-Marche]]

Dernière version du 13 juin 2024 à 16:55

Saint-André-de-la-Marche
(commune déléguée)
Département Maine-et-Loire
Territoire Mauges
Commune Sèvremoine
Note(s) Regroupement
du 15 décembre 2015
Situation dans le département

Situer sur OpenStreetmap

Aide à la rédaction.
Anciennes communes

Saint André de la Marche est une ancienne commune de l'ouest de la France située dans le département de Maine-et-Loire (49), à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de Cholet[1],[2]. Elle est intégrée depuis 2015 à Sèvremoine.

Ses habitants s'appellent les Andréatain(e)s.


Situation administrative

Saint-André en 1793, puis Saint-André-de-la-Marche[3].

Le 15 décembre 2015, la commune nouvelle de Sèvremoine est créée du regroupement de Le Longeron, Montfaucon-Montigné, La Renaudière, Roussay, Saint-André-de-la-Marche, Saint-Crespin-sur-Moine, Saint-Germain-sur-Moine, Saint-Macaire-en-Mauges, Tillières et Torfou. Saint-André-de-la-Marche devient une commune déléguée[4].

Jusqu'alors la commune est intégrée à la communauté de communes de Moine-et-Sèvre, intercommunalité qui disparait à la création de la nouvelle commune, et se trouve dans le canton Saint-Macaire-en-Mauges (Saint André en 1793, Montfaucon en 1801[3]) et l'arrondissement de Cholet. L'établissement public de coopération intercommunale (EPCI) de Moine-et-Sèvre comprend alors neuf autres communes : Saint-Macaire-en-Mauges, La Renaudière, Roussay, Torfou, Le Longeron, Montfaucon-Montigné, Saint-Germain-sur-Moine, Saint-Crespin-sur-Moine, et Tillières.

Son code commune (Insee) est 49264 et son code postal est 49450. Ses habitants se nomment (gentilé) Andréatain, Andréatainne. Sa population est de 2 296 habitants en 1999, 2 552 en 2006 et 3 080 en 2016[5].

La commune est jumelée avec un village d'Angleterre (Nassington, dans le comté du Northamptonshire) et un village de Roumanie (Marasu)[6].

De la marche

Originellement rattachée au Poitou, Saint-André-de-la-Marche est ensuite incorporée à l'Anjou. Les frontières entre les trois régions d'Anjou, du Poitou et de Bretagne sont, durant de nombreux siècles, flottantes et imprécises ; ceci du fait des luttes répétées entre les différents suzerains de ces régions, pour agrandir leur territoire. Il est ainsi constitué, au fil du temps, des zones appelées « marches séparantes » entre ces régions, de part et d'autre de ses frontières fluctuantes ; elles ont un statut juridique d'indivision. Ces statuts particuliers sont consignés par écrit dans une charte (1265) ou des pactes (1406 et 1426) entre ces régions. Ils sont abolis à la Révolution française.

Saint-André-de-la-Marche était située dans les « marches communes » du Poitou et de l'Anjou, d'où le qualitatif de son nom[7],[8].

Photographie du parc.
Le parc

Histoire et patrimoine

De nombreuses traces indiquent l'existence d'un centre préhistorique. Au Moyen Âge, la terre dépend de la seigneurie de la Treille puis au milieu du XVIIIe au marquisat de Beauvau. Située en marches communes, elle dépend du présidial et de la sénéchaussée d'Angers, de l'élection et des aides de Montreuil-Bellay[9].

À voir à Saint-André-de-la-Marche :

  • Musée des métiers de la chaussure, rue Saint-Paul : Dans un ancien atelier de fabrication de chaussures où l'on peut découvrir des collections de chaussures, des outils et machines, ainsi que des animations[10].
  • Maison de l'apiculteur, Beau-rivage : Espace muséographique sur les abeilles et l'apiculture.
  • Lavoir communal, le Douet des prés : Situé dans l'espace de loisirs, à proximité de l'étang, il date du XIXe siècle et a été entièrement restauré en 2005 et 2006.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Pitié : Depuis plusieurs siècles une chapelle existe au 2 rue Jeanne d'Arc. L'actuelle a été construite au XIXe siècle.
  • Église Saint-André, apôtre : Sa construction date du XIXe siècle, reconstruite à l'emplacement d'une ancienne devenue trop petite[9].

Loisirs et culture

Présence sur la commune plusieurs associations (EDM Football, EDM Basketball, EDM Tennis de table, EDM Théâtre, EDM Danse, etc.), ainsi que plusieurs infrastructures (bibliothèque, maison de l'enfance, espace jeunes, stade avec deux terrains de football et deux salles de sports, etc)[6]. La bibliothèque fait partie du réseau des bibliothèques Sèvremoine[11].

Il existe au centre de l'agglomération un espace de loisirs, avec un étang, des jeux pour enfants, des tables de pique-nique et des espaces verts pour la promenade.

Espace et territoire

Saint-André-de-la-Marche se trouve dans le quart sud-ouest du département[1]. Elle s'étend sur 11,03 km2 (1 103 hectares) et son altitude varie de 43 à 114 mètres[12]. Son territoire se situe sur le plateau des Mauges[13]. Venant de la commune voisine de La Romagne, la rivière la Moine traverse son territoire[14].

L'office de tourisme le plus proche se trouve à Cholet (office de tourisme du Choletais).

Localités aux alentours : Saint-Macaire-en-Mauges (2,7 km), La Romagne (4,8 km), Roussay (5,4 km), La Renaudière (5,6 km), La Séguinière (5,8 km), Saint-Philbert-en-Mauges (6,0 km), Saint-Léger-sous-Cholet (6,2 km), Bégrolles-en-Mauges (6,3 km), Villedieu-la-Blouère (7,4 km) et Andrezé (8,7 km)[2],[1].

Notes

Sources et annotations

  1. a b et c IGN et BRGM, Géoportail (Saint-André-de-la-Marche 49), mai 2012
  2. a et b Lion1906 (Lionel Delvarre), Distances à partir de Saint-André-de-la-Marche (49), juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  3. a et b École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Saint-André-de-la-Marche, 2007
  4. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté préfectoral n° DRCL-BCL-2015-60, du 5 octobre 2015 — Voir création de la nouvelle commune de Sèvremoine (2015).
  5. Population de Maine-et-Loire (1793, 1800, 1999, 2006, 2016)
  6. a et b Mairie de Saint-André-de-la-Marche, Site de la commune, mai 2012
  7. Émile Chénon, Les Marches séparantes d'Anjou, Bretagne, Poitou, L. Larose et Forcel (Paris), 1892
  8. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Cheminements (Le Coudray-Macouard), 2004, p. 144-145
  9. a et b Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. IV (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996, 2e éd. (1re éd. 1878), p. 8-13
  10. Musée de l'industrie de la chaussure, 2013-2020
  11. Réseau des bibliothèques Sèvremoine, Mes bibliothèques, juillet 2016
  12. IGN, Répertoire géographique des communes (RGC), données 2014 (altitude, superficie)
  13. Atlas des paysages de Maine et Loire, voir unités paysagères.
  14. Moine (rivière), avril 2013
Les formes anciennes du nom.

Autres données

Liste des communes en 2015
Anciennes communes 2015
Populations 2012, en vigueur au 1er janvier 2015
Altitudes en 2014
Superficies en 2014
Divisions administratives et électorales en 2014