« Nyoiseau » : différence entre les versions

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'''Nyoiseau''' est une ancienne commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de [[Maine-et-Loire]] (49), au nord-ouest de [[Segré]] et au sud-ouest de [[L'Hôtellerie-de-Flée]]. Elle est intégrée depuis 2016 à [[Segré-en-Anjou Bleu]].


[[Catégorie:commune]]
Ses habitants se nomment les Nyoisien(ne)s.
 
 
== Situation administrative ==
En 1833, Nyoiseau absorbe une partie de la commune de [[Saint-Aubin-du-Pavoil]] (ordonnance du 12 juin 1833)<ref>Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', t. IV (S-Z), H. Siraudeau, 1996, p. 20 (Saint-Aubin-du-Pavoil)</ref>{{,}}<ref>Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), ''Base Mérimée - Présentation de la commune de Nyoiseau (IA49002163)'', 2 avril 2007</ref>.
 
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Jusqu'alors la commune de Nyoiseau fait partie de la communauté de communes [[Communauté de communes du canton de Segré|du canton de Segré]], et se trouve dans le canton [[Canton de Segré|de Segré]] (Bouillé Ménard en 1793, [[Canton de Segré (ancien)|Segré]] en 1801<ref>École des hautes études en sciences sociales (EHESS), ''Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Nyoiseau'', 2007</ref>) et l'arrondissement [[Arrondissement de Segré|de Segré]].
 
Son code commune (Insee) est 49233 et son code postal est 49500. Ses habitants se nomment Nyoisien, Nyoisienne<ref name="mairie-2016">Mairie de Nyoiseau, 2007-2016</ref>. Sa population est de {{formatnum:1261}} habitants en 1999, {{formatnum:1306}} en 2006 et de {{formatnum:1202}} en 2016<ref>([[Population de Maine-et-Loire/1793|1793]], [[Population de Maine-et-Loire/1800|1800]], [[Population de Maine-et-Loire/1999|1999]], [[Population de Maine-et-Loire/2006|2006]], [[Population de Maine-et-Loire/2016|2016]])</ref>.
 
== Histoire et patrimoine ==
Plusieurs voies traversent le pays au {{XIs}}, qui dépend de Saint-Aubin-du-Pavoil. Une abbaye est fondée en 1109 sur les bords de l'Oudon par un disciple de Robert d'Arbrissel. Le village se développe autour de l'abbaye et principalement sur le coteau qui domine la rivière. L'histoire de Nyoiseau reste attachée à l'abbaye jusqu'au {{XVIIIs}}. Elle dépend alors de la sénéchaussée, de l'élection et de la subdélégation d'Angers, et du grenier à sel de Châteaugontier<ref name="cport-1989">Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), ''Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou'', t. III (N-R), H. Siraudeau, 1989, p. 49-52</ref>{{,}}<ref name="IA49002132">Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), ''Base Mérimée - Abbaye de bénédictins Notre-Dame dite abbaye de Nyoiseau (IA49002132)'', 13 septembre 2012</ref>{{,}}<ref>Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), ''Base Mérimée - Village (IA49002164)'', 18 février 2003</ref>.
 
Éléments du patrimoine<ref name="merimee">Ministère de la Culture, ''Base Mérimée (Nyoiseau)'', 2012</ref> :
* Vestiges de l'ancien couvent bénédictin Notre-Dame (inscrit MH), abbaye de bénédictins Notre-Dame dite abbaye de Nyoiseau, des {{XIIe}}, {{XIIIe}} et {{XVIIs}}s, modifiée aux siècles suivants<ref>Ministère de la Culture, ''Base Mérimée - Ancien couvent bénédictin Notre-Dame (PA00132831)'', 17 novembre 2020</ref>{{,}}<ref name="IA49002132" /> ;
* Chapelle du Sacré-Cœur, des {{XVIIIe}} et {{XIXs}}s ;
* Chapelle Sainte-Barbe (lieu-dit Le Bois II), du {{XXs}} ;
* Château d'Orveaux (actuellement école Notre-Dame d'Orveaux), des {{XIXe}} et {{XXs}}s ;
* Église Saint-Pierre, des {{XVIIe}} et {{XIXs}}s ;
* Maison de maître de La Fraudais, des {{XVIIIe}} et {{XIXs}}s ;
* Maison de maître de la Haute-Rue, du {{XVIIIs}} ;
* Maison de maître La Rivière-Brault, des {{XVIIe}}, {{XVIIIe}} et {{XIXs}}s ;
* Manoir la Lande-Chevreuse ;
* Manoir le Petit-ville-Prouvé, du {{XVIIIs}} ;
* Moulin à eau la Bondrairie (ruisseau de Misengrain), du {{XIXs}}, existant probablement dès l'époque médiévale ;
* Moulin à eau Margerie (l'Oudon), du {{XIXs}} ;
* Oratoire de Notre-Dame d'Orveaux, du {{XIXs}}.
 
[[File:nyoiseau cite bois ii 2009a.jpg|thumb|alt=Photographie du site minier.]]
== Cité minière ==
Les mines de fer seront une importante activité du territoire segréen pendant près d'une centaine d'années. L'exploitation du fer à Nyoiseau par la Société des mines de fer de Segré a son apogée entre les années 1930 et 1950. Elle décline ensuite pour se terminer en 1985 avec la fermeture du Bois II, dernier puits en activité<ref name="cport-1989" />{{,}}<ref>Ouest-France (Juliette Oriot), ''Segréen. Un passé minier qui a laissé des traces'', 3 août 2019</ref>.
Vestiges des mines de fer à Nyoiseau<ref name="merimee" /> :
* Mine de fer de la Société des mines de fer de Segré, concession du Bois II ({{XXs}}) ;
* Mine de fer de la Société des mines de fer de Segré, concession de la Ferrière, dite mine de Charmont ({{XXe}}) ;
* Arche de Bois II, culminant à 17 mètres de hauteur<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Segré-en-Anjou-Bleu. Patrimoine : quand l'arche du Bois II inondait « Germinal »'', 14 novembre 2020</ref>.
 
* Cité ouvrière du Bois II, implantée au début du {{XXs}} au sud-est de la mine de fer, en bordure du plateau ;
* Cité ouvrière de Brèges, construite au début du {{XXs}} suite à l'exploitation du puits d'extraction des Aulnais ;
* Cité ouvrière de Charmont, créée au début du {{XXs}} suite à l'exploitation de la mine de Charmont.
 
Le carreau de Bois II participe aux Journées du patrimoine<ref>Ouest-France, ''Nyoiseau. Centrale7 : du monde pour les Journées du patrimoine'', 22 septembre 2020</ref>.
 
== Loisirs et culture ==
Un collectif artistique de la friche minière de Bois II anime l'espace culturel Centrale 7, village d'art de Nyoiseau proposant des activités artistiques, comme des concerts et des spectacles en août 2020<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Nyoiseau. Le collectif Centrale 7 propose des activités artistiques'', 16 août 2020</ref>, et des expositions, comme celle des œuvres du plasticien Tim Naish durant l'été 2020<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Près de Segré. La psyché de Tim Naish tout l'été à Centrale 7'', 31 juillet 2020</ref>. L'association a fêtée ses 10 ans d'existence en 2016<ref>Le Courrier de l'Ouest, ''Nyoiseau. Le collectif artistique Centrale 7 fête ses 10 ans ce samedi'', 21 mai 2016</ref>.
 
On y trouve plusieurs associations en 2008 : l'association Phényx, avec pour objectif la promotion du patrimoine local, l'association Bulletin d'information, pour la publication du ''Petit Nyoisien'', et l'association Centrale 7, organisant la vie artistique de l'atelier. Au grenier de la mairie, une exposition permanente ''Nyoiseau au fil du temps'' : abbaye Notre-Dame, mineurs de fer, curé de campagne, vie de soldat, bourg et campagne, moulin sur l'Oudon<ref>Mairie de Nyoiseau, ''Culture'', 2008</ref>.
 
== Espace et territoire ==
Nyoiseau s'étend dans le [[Segréen]] sur {{unité|15.55|km|2}} ({{unité|1555|hectares}}) et son altitude varie de 22 à {{unité|97|mètres}}<ref>IGN, ''Répertoire géographique des communes (RGC)'', données 2014 ([[Altitude des communes de Maine-et-Loire|altitude]], [[Superficie des communes de Maine-et-Loire|superficie]])</ref>. Son territoire se situe sur le plateau du Segréen<ref>''Atlas des paysages de Maine et Loire'', voir [[Liste des unités paysagères de Maine-et-Loire|unités paysagères]].</ref> et son bourg au creux de collines<ref name="mairie-2016" />. Venant de la commune voisine de [[L'Hôtellerie-de-Flée]], la rivière l'[[Oudon]] traverse son territoire<ref>[[Oudon|Oudon (rivière)]], 2013</ref>. Le ruisseau le Misengrain, qui coule sur la commune, est un affluent de l'Oudon<ref>Ouest-France (Emmanuel Esseul), ''Segré. À Nyoiseau, le cours d'eau le Misengrain se refait une beauté'', 13 décembre 2019</ref>.
 
La zone du Site minier du vallon de Misengrain est classée [[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire|espace naturel sensible]] (ENS)<ref>[[Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire]], 2018</ref>.
 
Localités aux alentours : [[L'Hôtellerie-de-Flée]] ({{unité|3.6|km}}), [[Noyant-la-Gravoyère]] ({{unité|3.9|km}}), [[Châtelais]] ({{unité|4.7|km}}), [[Segré]] ({{unité|4.8|km}}), [[Bouillé-Ménard]] ({{unité|4.9|km}}), [[Sainte-Gemmes-d'Andigné]] ({{unité|5.3|km}}), [[La Ferrière-de-Flée]] ({{unité|5.5|km}}), [[Le Bourg-d'Iré]] ({{unité|5.7|km}}), [[Saint-Quentin-les-Anges (Mayenne) ({{unité|6.5|km}}) et [[Bourg-l'Évêque]] ({{unité|7.5|km}})<ref>Lion1906 (Lionel Delvarre), ''Distances à partir de Nyoiseau (49)'', juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).</ref>.
 
Une société exploite à Nyoiseau une carrière de sable à ciel ouvert depuis 1986, d'où est extrait chaque année {{unité|150000|tonnes}} de sable<ref>Ouest-France, ''Carrière de sable : une route moins bruyante'', 15 décembre 2016</ref>.
 
== Notes ==
Bibliographie
:• Pierre Suteau, ''Notre-Dame de Nyoiseau : une abbaye royale en Haut-Anjou'', Siloë, 1997 (ISBN 2-84231-043-8)
 
Sources et annotations
{{Références}}
 
{{BasPage Communes2016}}
 
[[Catégorie:Commune déléguée]]
[[Catégorie:Segréen]]

Dernière version du 15 novembre 2024 à 16:22

Nyoiseau
(commune déléguée)
Département Maine-et-Loire
Territoire Segréen
Commune Segré-en-Anjou Bleu
Note(s) Regroupement
du 15 décembre 2016
Situation dans le département

Situer sur OpenStreetmap

Aide à la rédaction.
Anciennes communes

Nyoiseau est une ancienne commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de Maine-et-Loire (49), au nord-ouest de Segré et au sud-ouest de L'Hôtellerie-de-Flée. Elle est intégrée depuis 2016 à Segré-en-Anjou Bleu.

Ses habitants se nomment les Nyoisien(ne)s.


Situation administrative

En 1833, Nyoiseau absorbe une partie de la commune de Saint-Aubin-du-Pavoil (ordonnance du 12 juin 1833)[1],[2].

Un rapprochement intervient le 15 décembre 2016 avec la création de la commune nouvelle de Segré-en-Anjou Bleu issue du regroupement des communes de Aviré, Le Bourg-d'Iré, La Chapelle-sur-Oudon, Châtelais, La Ferrière-de-Flée, L'Hôtellerie-de-Flée, Louvaines, Marans, Montguillon, Noyant-la-Gravoyère, Nyoiseau, Sainte-Gemmes-d'Andigné, Saint-Martin-du-Bois, Saint-Sauveur-de-Flée et Segré. Nyoiseau devient une commune déléguée au sein de la nouvelle commune[3].

Jusqu'alors la commune de Nyoiseau fait partie de la communauté de communes du canton de Segré, et se trouve dans le canton de Segré (Bouillé Ménard en 1793, Segré en 1801[4]) et l'arrondissement de Segré.

Son code commune (Insee) est 49233 et son code postal est 49500. Ses habitants se nomment Nyoisien, Nyoisienne[5]. Sa population est de 1 261 habitants en 1999, 1 306 en 2006 et de 1 202 en 2016[6].

Histoire et patrimoine

Plusieurs voies traversent le pays au XIe siècle, qui dépend de Saint-Aubin-du-Pavoil. Une abbaye est fondée en 1109 sur les bords de l'Oudon par un disciple de Robert d'Arbrissel. Le village se développe autour de l'abbaye et principalement sur le coteau qui domine la rivière. L'histoire de Nyoiseau reste attachée à l'abbaye jusqu'au XVIIIe siècle. Elle dépend alors de la sénéchaussée, de l'élection et de la subdélégation d'Angers, et du grenier à sel de Châteaugontier[7],[8],[9].

Éléments du patrimoine[10] :

  • Vestiges de l'ancien couvent bénédictin Notre-Dame (inscrit MH), abbaye de bénédictins Notre-Dame dite abbaye de Nyoiseau, des XIIe, XIIIe et XVIIe siècles, modifiée aux siècles suivants[11],[8] ;
  • Chapelle du Sacré-Cœur, des XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Chapelle Sainte-Barbe (lieu-dit Le Bois II), du XXe siècle ;
  • Château d'Orveaux (actuellement école Notre-Dame d'Orveaux), des XIXe et XXe siècles ;
  • Église Saint-Pierre, des XVIIe et XIXe siècles ;
  • Maison de maître de La Fraudais, des XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Maison de maître de la Haute-Rue, du XVIIIe siècle ;
  • Maison de maître La Rivière-Brault, des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles ;
  • Manoir la Lande-Chevreuse ;
  • Manoir le Petit-ville-Prouvé, du XVIIIe siècle ;
  • Moulin à eau la Bondrairie (ruisseau de Misengrain), du XIXe siècle, existant probablement dès l'époque médiévale ;
  • Moulin à eau Margerie (l'Oudon), du XIXe siècle ;
  • Oratoire de Notre-Dame d'Orveaux, du XIXe siècle.
Photographie du site minier.

Cité minière

Les mines de fer seront une importante activité du territoire segréen pendant près d'une centaine d'années. L'exploitation du fer à Nyoiseau par la Société des mines de fer de Segré a son apogée entre les années 1930 et 1950. Elle décline ensuite pour se terminer en 1985 avec la fermeture du Bois II, dernier puits en activité[7],[12].

Vestiges des mines de fer à Nyoiseau[10] :

  • Mine de fer de la Société des mines de fer de Segré, concession du Bois II (XXe siècle) ;
  • Mine de fer de la Société des mines de fer de Segré, concession de la Ferrière, dite mine de Charmont (XXe) ;
  • Arche de Bois II, culminant à 17 mètres de hauteur[13].
  • Cité ouvrière du Bois II, implantée au début du XXe siècle au sud-est de la mine de fer, en bordure du plateau ;
  • Cité ouvrière de Brèges, construite au début du XXe siècle suite à l'exploitation du puits d'extraction des Aulnais ;
  • Cité ouvrière de Charmont, créée au début du XXe siècle suite à l'exploitation de la mine de Charmont.

Le carreau de Bois II participe aux Journées du patrimoine[14].

Loisirs et culture

Un collectif artistique de la friche minière de Bois II anime l'espace culturel Centrale 7, village d'art de Nyoiseau proposant des activités artistiques, comme des concerts et des spectacles en août 2020[15], et des expositions, comme celle des œuvres du plasticien Tim Naish durant l'été 2020[16]. L'association a fêtée ses 10 ans d'existence en 2016[17].

On y trouve plusieurs associations en 2008 : l'association Phényx, avec pour objectif la promotion du patrimoine local, l'association Bulletin d'information, pour la publication du Petit Nyoisien, et l'association Centrale 7, organisant la vie artistique de l'atelier. Au grenier de la mairie, une exposition permanente Nyoiseau au fil du temps : abbaye Notre-Dame, mineurs de fer, curé de campagne, vie de soldat, bourg et campagne, moulin sur l'Oudon[18].

Espace et territoire

Nyoiseau s'étend dans le Segréen sur 15,55 km2 (1 555 hectares) et son altitude varie de 22 à 97 mètres[19]. Son territoire se situe sur le plateau du Segréen[20] et son bourg au creux de collines[5]. Venant de la commune voisine de L'Hôtellerie-de-Flée, la rivière l'Oudon traverse son territoire[21]. Le ruisseau le Misengrain, qui coule sur la commune, est un affluent de l'Oudon[22].

La zone du Site minier du vallon de Misengrain est classée espace naturel sensible (ENS)[23].

Localités aux alentours : L'Hôtellerie-de-Flée (3,6 km), Noyant-la-Gravoyère (3,9 km), Châtelais (4,7 km), Segré (4,8 km), Bouillé-Ménard (4,9 km), Sainte-Gemmes-d'Andigné (5,3 km), La Ferrière-de-Flée (5,5 km), Le Bourg-d'Iré (5,7 km), [[Saint-Quentin-les-Anges (Mayenne) (6,5 km) et Bourg-l'Évêque (7,5 km)[24].

Une société exploite à Nyoiseau une carrière de sable à ciel ouvert depuis 1986, d'où est extrait chaque année 150 000 tonnes de sable[25].

Notes

Bibliographie

• Pierre Suteau, Notre-Dame de Nyoiseau : une abbaye royale en Haut-Anjou, Siloë, 1997 (ISBN 2-84231-043-8)

Sources et annotations

  1. ↑ Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. IV (S-Z), H. Siraudeau, 1996, p. 20 (Saint-Aubin-du-Pavoil)
  2. ↑ Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), Base Mérimée - Présentation de la commune de Nyoiseau (IA49002163), 2 avril 2007
  3. ↑ Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté préfectoral n° DRCL-BSFL-2016-126, du 28 septembre 2016 — Voir création de la nouvelle commune de Segré-en-Anjou bleu (2016).
  4. ↑ École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Nyoiseau, 2007
  5. ↑ a et b Mairie de Nyoiseau, 2007-2016
  6. ↑ (1793, 1800, 1999, 2006, 2016)
  7. ↑ a et b Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. III (N-R), H. Siraudeau, 1989, p. 49-52
  8. ↑ a et b Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), Base Mérimée - Abbaye de bénédictins Notre-Dame dite abbaye de Nyoiseau (IA49002132), 13 septembre 2012
  9. ↑ Ministère de la Culture (Thierry Pelloquet), Base Mérimée - Village (IA49002164), 18 février 2003
  10. ↑ a et b Ministère de la Culture, Base Mérimée (Nyoiseau), 2012
  11. ↑ Ministère de la Culture, Base Mérimée - Ancien couvent bénédictin Notre-Dame (PA00132831), 17 novembre 2020
  12. ↑ Ouest-France (Juliette Oriot), Segréen. Un passé minier qui a laissé des traces, 3 août 2019
  13. ↑ Le Courrier de l'Ouest, Segré-en-Anjou-Bleu. Patrimoine : quand l'arche du Bois II inondait « Germinal », 14 novembre 2020
  14. ↑ Ouest-France, Nyoiseau. Centrale7 : du monde pour les Journées du patrimoine, 22 septembre 2020
  15. ↑ Le Courrier de l'Ouest, Nyoiseau. Le collectif Centrale 7 propose des activités artistiques, 16 août 2020
  16. ↑ Le Courrier de l'Ouest, Près de Segré. La psyché de Tim Naish tout l'été à Centrale 7, 31 juillet 2020
  17. ↑ Le Courrier de l'Ouest, Nyoiseau. Le collectif artistique Centrale 7 fête ses 10 ans ce samedi, 21 mai 2016
  18. ↑ Mairie de Nyoiseau, Culture, 2008
  19. ↑ IGN, Répertoire géographique des communes (RGC), données 2014 (altitude, superficie)
  20. ↑ Atlas des paysages de Maine et Loire, voir unités paysagères.
  21. ↑ Oudon (rivière), 2013
  22. ↑ Ouest-France (Emmanuel Esseul), Segré. À Nyoiseau, le cours d'eau le Misengrain se refait une beauté, 13 décembre 2019
  23. ↑ Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire, 2018
  24. ↑ Lion1906 (Lionel Delvarre), Distances à partir de Nyoiseau (49), juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  25. ↑ Ouest-France, Carrière de sable : une route moins bruyante, 15 décembre 2016

Autres données

• Liste des communes en 2016
• Altitudes en 2014
• Populations 2013, en vigueur au 1er janvier 2016
• Superficies en 2014
• Divisions administratives et électorales en 2014


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