Saint-Clément-des-Levées

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Saint-Clément-des-Levées
Département Maine-et-Loire
Territoire Baugeois
Arrondissement arr. de Saumur
Canton cant. de Longué-Jumelles
Intercommunalité ca Saumur Val de Loire
Code Insee, postal 49272, 49350
Habitants Saint-Clémentais(es)
Données locales altitudes, coordonnées, populations, superficies
Site web site officiel
Situation dans le département

Situer sur OpenStreetmap

Saint-Clément-des-Levées est une commune ligérienne (rive droite) de l'ouest de la France qui se situe dans le département de Maine-et-Loire (49), au sud-est des Rosiers-sur-Loire et au sud-ouest de Longué-Jumelles, et dans la zone du Val de Loire inscrite au patrimoine mondial.


Situation administrative

La commune angevine de Saint-Clément-des-Levées est membre de la communauté d'agglomération de Saumur-Val-de-Loire, et se trouve dans le canton de Longué-Jumelles (Les Rosiers en 1793, Saumur-N.O. en 1801 puis Saumur-N.[1]) et l'arrondissement de Saumur[2].

Son code commune (Insee) est 49272 et son code postal est 49350. Les habitants se nomment les Saint-Clémentais[3] et Saint-Clémentaises. Sa population est de 1 005 habitants en 1999, de 1 151 en 2012 et de 1 086 en 2019[4]. La commune de Saint-Clément-des-Levées appartient à l'Aire d'attraction de Saumur, à la Zone d'emploi de Saumur et au bassin de vie des Rosiers-sur-Loire[2].

Mairie : Place Michel Pruvost, 49350 Saint-Clément-des-Levées (tél. 02 41 38 40 13, courriel stclementdeslevees).

Deux communes du département portent le nom de « Saint-Clément » : Saint-Clément-de-la-Place et Saint-Clément-des-Levées.

Histoire et patrimoine

Le territoire est inhabité à peu près jusqu'au XIIe siècle, et dépend de la seigneurie de Trèves, sur la rive opposée de la Loire. Un groupe de maisons se forme après la construction de la levée au XIIe. Le village de Saint-Clément-des-Levées se constitue au carrefour du chemin venant de Longué et de la Grande Levée d'Anjou. Un chapelle y est édifiée au XVIe, dédiée à saint Clément, protecteur des bateliers. La population augmente à la suite de l'activité de la navigation. On y trouve aux XVIIIe et XIXe siècles une importante présence de mariniers. Plusieurs d'entre eux participeront à la guerre d'indépendance américaine[5],[6].

Patrimoine architectural[7] :

  • Le château de Combres, du XVIIIe siècle ;
  • L'église Saint-Clément (inscrite MH), des XVIe et milieu du XIXe siècle ;
  • la grange aux dîmes de bénédictins dite La Grange de Cunault, des XVIe et XIXe siècles ;
  • La laiterie industrielle dite Laiterie de la vallée de la Loire, créée en 1909 (maison patronale et dépendances, bâtiment d'affinage, logement d'ouvrier) ;
  • Le manoir des Granges, des XVIe et XXe siècles ;
  • Le manoir dit Le Gâtz, des XVIe et XIXe siècles ;
  • L'oratoire Saint-François (XIXe) et l'oratoire Sainte-Marie (XIXe).

Son territoire se trouve dans la zone du Val de Loire, entre Sully-sur-Loire et Chalonnes, inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO[8].

Cité ligérienne

Cet ancien village de mariniers s'étire le long de la rive nord de la Loire face à la tour de Trèves[6],[9] :

  • Levée de la Loire ;
  • Maison de marinier Port-Cunault ;
  • Musée Loire et métiers, où l'on peut voir des objets et des outils liés à la vie des mariniers[3] ;
  • Port fluvial dit le Port-Poisson.

Grande Levée d'Anjou : Aménagement en bord de Loire dont l'origine est médiévale (XIIe s. à Saint-Clément). Cette digue, qui s'étire de Langeais en Indre-et-Loire aux Pont-de-Cé en Maine-et-Loire, fut construite dans le but de protéger les vals des crues du fleuve[10],[5].

Le musée Loire et métiers de Saint-Clément-des-Levées œuvre à faire connaitre le patrimoine ligérien. Il présente une collection de grandes maquettes de bateaux de Loire et des expositions temporaires. L'association a organisée en 2020 une exposition temporaire sur les mariniers de Loire combattants Outre-Atlantique au XVIIIe siècle ; une soixantaine d'habitants de Saint-Clément, mariniers de Loire, prenant part à la guerre d'indépendance des États-Unis de 1775 à 1783[11],[12].

Loisirs et culture

La bibliothèque municipale est gérée par une équipe de bénévoles, l'association Lire à Saint-Clément, qui y organise des activités : cercle de lecture, passage du bibliobus, spectacle, etc[13]. La structure complète ses fonds auprès du bibliopole départemental[14].

Présence de plusieurs associations locales : Entente sportive Saint Martin-Saint Clément Section tennis, Section gymnastique, Section yoga, Union clémentaise de pétanque, Détente ligérienne, Vie la mienne, Société l'Avenir (boule de fort)[15].

Espace et territoire

Saint-Clément-des-Levées, située sur la rive droite de la Loire, s'étend sur 10,22 km2 (1 022 hectares) et son altitude varie de 20 à 27 mètres[16]. Son territoire se situe dans le val d'Anjou[17]. Venant de la commune voisine de Saint-Martin-de-la-Place, la rivière l'Authion marque la limite Nord de son territoire.

La commune est dans le périmètre du parc naturel Loire-Anjou-Touraine, zone de préservation et de protection située entre Tours et Angers[18]. La zone de la Vallée de la Loire amont, de Montsoreau aux Ponts-de-Cé, est classée espace naturel sensible (ENS)[19].

Localités aux alentours : Saint-Martin-de-la-Place (3,1 km), Chênehutte-Trèves-Cunault (3,4 km), Gennes (3,7 km), Les Rosiers-sur-Loire (3,9 km), Verrie (7,2 km), Longué-Jumelles (7,6 km), Le Thoureil (7,7 km), Saint-Georges-des-Sept-Voies (8,1 km), Vivy (9,6 km) et La Ménitré (10,0 km)[20].

Carte postale ancienne, le château.

Indicateur de M.-et-L. (1865)

Saint-Clément-des-Levées dans l'Indicateur de Maine et Loire de 1865[21] :

« Saint-Clément-des-Levées (arrondissement de Saumur, canton Nord-Ouest)

Chapitre premier — Aperçu géographique

Cette commune, comme toutes celles du même canton, est située au nord-ouest de Saumur, sur la rive droite de la Loire, entre ce fleuve et la rivière de l’Authion. Plusieurs îles sur la Loire en font partie. Le bourg, placé sur la levée, est traversé par la route impériale de Briare à Angers. Enfin, un bac ou passage d’eau sur la Loire, établit sur ce fleuve la communication d’une rive à l’autre.

Indépendamment de l’agriculture commune à tout le canton, il faut citer pour Saint-Clément-des-Levées, l’industrie séricicole, dont Mme Borien et autres personnes ont su tirer un parti avantageux.

Superficie : 1,022 hectares, dont 12 hectares 20 ares en vignes. Population : en 1856, 1,611 habitants ; en 1861, 1,593 habitants. Bureau de poste : les Rosiers.

Distances : de Saint-Martin-des-Levées, 3 kil. 1/4 ; de Saumur, 13 kil. ; d’Angers, 36 kil.

Chapitre II — Productions naturelles

Composition géologique.

Toute l’étendue de cette commune appartient au terrain d’alluvions. »

Célestin Port (1878)

Saint-Clément-des-Levées dans le dictionnaire Célestin Port de 1878[22] :

« Saint-Clément-des-Levées, canton N.-O. et arr. de Saumur (13 kil.) ; — à 36 kil. d’Angers. — La chapelle de St-Clément en Vallée 1685 (Pouillé, Mss.). — La chapelle St-Clément, enclave de Trèves 1696 (Et.-C.). — St-Clément de Trèves en Vallée 1721, 1769, Ecclesia Sti Clementis vulgo de Trèves 1785 (Et.-C.). Sur la levée qui borde la rive droite de la Loire et dans la vallée que borde au N. l’Authion, entre Trèves (1 kil.) au S. et sur la rive gauche, les Rosiers (4 kil.) au N. et à l’O., Longué (7 kil.) au N.-E., St-Martin-de-la-Place (3 kil.) à l’E.

La route nationale forme la levée, sur laquelle s’aligne le bourg en une rue presque ininterrompue jusqu’aux deux bouts du territoire et ou abordent quatre chemins vicinaux. Le chemin d’intérêt commun de Longué y aboutit devant l’église, reliant le groupe principal à la voie ferrée d’Orléans à Nantes, qui passe du N.-E. au S.-O. sur une longueur de 3 kil. voyageurs et marchandises y a été inaugurée le 1er juillet 1876, sur les instances de la commune, qui en avait combattu tout d’abord il y a 25 ans l’établissement, pour sauvegarder les intérêts de la marine, aujourd’hui absolument anéantie et par conséquent hors de cause.

En dépendent les vill. ou ham. des Sables (5 mais., 16 hab.), du Plessis (7 mais., 25 hab.), du Bout-des-Voies (16 mais., 39 hab.), de la RueThibault (10 mais., 24 h.), de l’Oussière (14 m., 47 hab.), des Pâtures (8 mais., 34 hab.), des Prés-Démion (15 mais., 55 hab.), des Granges (40 mais., 115 hab.), du Bourg-Joly (8 mais., 23 hab.), de Mallay (18 mais., 58 hab.), de la Béziotterie (7 mais., 25 hab.), des Buttes (6 m., 22 hab.), de Fosse-Morte (8 mais., 25 hab.), le chât. de Combres et 9 écarts.

Superficie : 1,022 hect., dont près de 800 ensemencés, la valeur de 14 hect. en vignes en rangées dans les champs ; — le reste en prairies.

Population : 1,731 hab. en 1830. — 1,746 h. en 1841. — 1,675 hab. en 1851. — 1,593 hab. en 1861. — 1,434 hab. en 1866. — 1,318 hab. en 1872. — 1,210 h. en 1876, dont plus de la moitié (631 hab., 244 mais., 264 mén.), agglomérés au bourg ou le long de la levée. Elle a déchu pour le moins du quart depuis l’ouverture du chemin de fer.

Culture de fèves, blé, chanvre, fruits en abondance ; — autrefois exportation importante de pommes par la marine, industrie à peu près disparue, quoique le port d’embarquement ait été agrandi en 1862.

Assemblée, depuis 1800, le dimanche qui suit le 15 août. Elle se tenait précédemment à Cunaud.

Bureau de poste des Rosiers. — Perception de St-Lambert.

Mairie avec Ecole de garçons, construite par adjudication du 11 septembre 1836. — Ecole de filles (Sœurs de Ste-Anne de Saumur), construite par adjudication du 20 septembre 1860.

Au fond de la principale place s’élève l’église neuve (succursale, 30 septembre 1807), attenant à droite, par un mur, à la mairie, à gauche au presbytère, reconstruit en 1843, et faisant face à la Loire, le sol remblayé d’un mètre au-dessus de la levée et de 5 mèt. 50 au-dessus de la vallée, sur un terrain acquis par actes des 26-29 juin 1843. L’adjudication des travaux date du 25 août 1844 et leur réception du 12 avril 1849 (archit. Joly-Leterme). Mais l’exhaussement de la construction première et la suppression des contreforts, qu’avait dû subir le projet par ordre du Conseil des bâtiments civils, sans tenir un compte suffisant de la mobilité du terrain tout d’alluvion, avaient si bien compromis la solidité de l’œuvre qu’elle dut être étayée dès 1851 et pour partie reconstruite, notamment la voûte, en 1854-1855. Elle fut inaugurée cette dernière année le 2 août. — Les boiseries, les stalles, le maitre-autel proviennent des ateliers Moisseron et Esnault d’Angers (décembre 1865-juillet 1867).

La modeste chapelle, qu’elle remplace, s’élevait orientée de l’E. à l’O., en contrebas de la levée. Allongée en septembre 1610, rebâtie presque entièrement en 1723, de nouveau en 1747 et on 1807, elle a été démolie en 1848. Tout ce pays de la rive droite de la Loire dépendait de la paroisse de Trèves, sur la rive gauche. Inhabité à peu près jusqu’au XIIe s., il était couvert presque entièrement par des bois, dont faisait partie la forêt de Mallay, appartenant partie au comte, partie aux religieux de Cunaud, qu’on voit occupés à défricher dès 1290-1300. Une chapelle ne tarda pas à y être construite pour l’usage des habitants, bientôt réunis en nombre sur le grand passage de la levée et que trop souvent les grandes eaux empêchaient de communiquer avec l’église paroissiale. Par acte du 15 septembre 1505, Etienne Girard, curé de N.-D. de Sablé et prieur commendataire de Trèves, en assura le service, en la dotant d’une maison et d’un petit domaine. Dès le XVIIe s. cette annexe comprenait dans son ressort près de 200 feux, tandis que la paroisse de Trèves en comptait à peine une trentaine, et une ordonnance épiscopale du 6 mars 1696 y autorisa, avec l’établissement d’un vicaire, tous les services d’une succursale régulière. Des fonts baptismaux y furent bénits le 3 avril suivant par l’abbé Gaspard de Contades. Les registres remontent même à 1691, mais tenus à cette date par le curé de Trèves. Le dernier desservant, Pierre Morigné, prêta le serment constitutionnel. Sommé par les Vendéens, lors de l’occupation de Saumur, de se rétracter, il protesta n’être pas sorti de l’église catholique romaine, et néanmoins, sous la menace d’être ramené pieds et poings liés dans sa paroisse, il monta en chaire : « Si je suis a sorti de l’église, dit-il, comme on m’en accuse, je me rétracte ». Il comparut le 11 septembre 1793, pour rendre compte de sa conduite, au Tribunal révolutionnaire.

On y trouve dès la fin du XVIIIe s. une Ecole tenue par Et. Milot en 1777, Jean-Franç. Lévêque en 1780.

Une partie du territoire dépendait de la Sénéchaussée de Beaufort, le reste de celle de Saumur.

Maires : Florent Cornilleau, 1er fructidor an VIII. — Héard de Boissimon, 17 novembre 1815. — Nic. Nouzilleau, 4 décembre 1815. — Charles Héard de Boissimon, 14 mai 1822, démissionnaire en décembre 1835. — Mich. Despeignes, 1836. — Jacq. Choyer, 10 janvier 1839, installé le 18, démissionnaire. — Louis Cornilleau, 9 octobre 1840, installé le 28, mort en 1843. — Michel Despeignes, 24 février 1843. — Nic. Nouzilleau, 25 septembre 1843, installé le 5 novembre. — René Despeignes, 2 septembre 1848, démissionnaire en 1860. — Clément Choyer, nommé le 24 mars, installé le 10 avril 1860. — Charles Haran, 1870, en fonctions, 1877.

Arch. de M.-et-L. Série L et G 826, f. 99-100. — Arch. commun. de Trèves et de St-Clément, Et.-C. — Note Mss. Raimbault. — Pour les localités, voir Combres, le Petit-Cunaud, Mallay, la Grange-de-Cunaud, les Granges-Démion, etc. »

Notes

Bibliographie

• Bénédicte Dezanneau, Les Hommes et la Loire à Saint-Clément-des-Levées : 1750-1789 : étude économique, sociale et démographique, Impr. A.-H. Hérault (Maulévrier), 1990
St-Clément-des-Levées : le lit de la Loire en 1999, Direction régionale de l'environnement Centre, Service de bassin Loire-Bretagne (Orléans), Division Études et système d'information, 2003
• Pierre-Yves Toullelan, Saint-Clément-des-Levées Histoire de la Laiterie (1908-1988), 2022[23]

Sources et annotations

  1. École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Saint-Clément-des-Levées, 2007
  2. a et b Insee, Géographie administrative et d'étude - Commune de Saint-Clément-des-Levées (49272), 2020
  3. a et b Office de tourisme Saumur Val de Loire, Longué-Jumelles, 2011
  4. Population de Maine-et-Loire (1793, 1800, 1999, 2012, 2019)
  5. a et b Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. IV (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996, 2e éd. (1re éd. 1878), p. 44-46
  6. a et b Ministère de la Culture (Christian Cussonneau), Base Mérimée (Saint-Clément-des-Levées, village, IA49000527), 29 mars 2001
  7. Ministère de la Culture, Base Mérimée (Saint-Clément-des-Levées), 2012
  8. DREAL Pays de la Loire (Ministère de l'Écologie), Données communales - 933 Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes, juin 2017
  9. Philippe et Catherine Nédélec, L'Anjou entre Loire et tuffeau, Éditions Ouest-France (Rennes), 2010, p. 78 (Le val d'Authion)
  10. Mission Val de Loire (syndicat mixte interrégional des régions Centre-Val de Loire et Pays de la Loire), La grande levée d'Anjou, avril 2017
  11. Musée Loire et métiers de Saint-Clément-des-Levées, Saison 2020 - Le musée est ouvert, 15 juin 2020
  12. Le Courrier de l'Ouest (Benoît Rochard), Saint-Clément-des-Levées. Quand les mariniers de Loire combattaient Outre-Atlantique, 19 septembre 2020
  13. Le Courrier de l'Ouest, Saint-Clément-des-Levées. Bibliothèque : une permanence pour le retour des livres avant l'été, 2 juin 2020
  14. Le Courrier de l'Ouest, Saint-Clément-des-Levées. 450 nouveautés à la bibliothèque pour ces vacances, 24 octobre 2020
  15. Mairie de Saint-Clément-des-Levées, Associations locales, 2020
  16. IGN, Répertoire géographique des communes (RGC), données 2014 (altitude, superficie)
  17. Atlas des paysages de Maine et Loire, voir unités paysagères.
  18. Parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine, novembre 2009
  19. Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire, 2018
  20. Lion1906 (Lionel Delvarre), Distances à partir de Saint-Clément-des-Levées (49), juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  21. Pierre-Aimé Millet de La Turtaudière, Indicateur de Maine et Loire, tome second, Librairie de Cosnier et Lachèse (Angers), 1865, pages 265-266
  22. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, tome troisième (N-Z), Lachèse & Dolbeau libraires (Angers), 1878, pages 343-344
  23. Le Courrier de l'Ouest, Saint-Clément-des-Levées. La laiterie… près d’un siècle d’histoire évoqué dans un livre, 19 février 2022
Les formes anciennes du nom.