Les Ponts-de-Cé
Les Ponts-de-Cé | |
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Département | Maine-et-Loire |
Territoire | Région d'Angers |
Arrondissement | arr. d'Angers |
Canton | cant. des Ponts-de-Cé |
Intercommunalité | cu Angers Loire Métropole |
Code Insee, postal | 49246, 49130 |
Habitants | Les Ponts-de-Céais(es) |
Données locales | altitudes, coordonnées, populations, superficies |
Site web | site officiel |
Les Ponts-de-Cé est une commune ligérienne de l'ouest de la France qui se situe dans le département de Maine-et-Loire (49), au sud de l'agglomération d'Angers, et dans la zone du Val de Loire inscrite au patrimoine mondial.
Situation administrative
En 1791, Les Ponts-de-Cé a absorbé la commune de Sorges.
La commune est membre de la communauté urbaine Angers-Loire-Métropole, et se trouve dans le canton des Ponts-de-Cé (Ponts-de-Cé en 1793 et 1801[1]), dont elle est bureau centralisateur, et l'arrondissement d'Angers[2].
Son code commune (Insee) est 49246 et son code postal est 49130. Les habitants se nomment les Ponts-de-céais et les Ponts-de-céaises. Sa population est de 11 387 habitants en 1999, 11 975 en 2012 et 12 819 en 2019[3]. La commune des Ponts-de-Cé appartient à l'Unité urbaine d'Angers, à l'Aire d'attraction des villes d'Angers, à la Zone d'emploi d'Angers et au bassin de vie d'Angers[2].
Mairie : 7 rue Charles de Gaulle, 49130 Les Ponts-de-Cé (tél. 02 41 79 75 75, courriel lespontsdece).
Services publics : Les Ponts-de-Cé étaient autrefois desservis par le tramway électrique d'Angers, inauguré en mai 1896 et supprimé en octobre 1948[4].
Le 11 janvier 2011, des élèves du collège François Villon ont participé à une journée de sensibilisation sur le thème « Comment dire l'enfance en danger ? ».
Histoire et patrimoine
La présence humaine y est attestée dès la Préhistoire. Traversée par trois cours d'eau (la Loire, l'Authion et le Louet), les premiers ponts remontent à l'époque romaine, prolongés par des voies. La chaussée parcourant les villages de Saint-Aubin, l'Île-Forte (ou Île du Bourg) et Saint-Maurille, est longtemps une des seules voies entre Nantes et Saumur. Elle donne naissance à la ville. Pour défendre ce passage de la Loire, un château en bois est édifié au IXe siècle pour barrer la route aux Vikings. Plus tard, au XIIe, un château fort en pierres est édifié[4],[5].
Patrimoine architectural[6],[7] :
- Le château de Belle-Poule, du XIXe siècle ;
- Le château des Ponts-de-Cé (classé MH), donjon du XVe siècle[8], vestige de l'une des résidences de rené d'Anjou, devenu musée municipal en 1974 ;
- Le château Rivet (Le Grand Rivet), des XVe et XVIe siècles, avec chapelle inscrite MH ;
- Le couvent des Cordelières ;
- L'église Saint-Aubin (classée MH), des XVe, XVIe et XIXe siècles ;
- L'église Saint-Maurice (Sorges), des XVIe, XIXe et XXe siècles ;
- L'église Saint-Maurille ;
- La ferme de Montplaisir (levée de Belle-Poule) du XVIIe siècle ;
- L'hôtel de voyageurs dit Relais de l'Écu de France, du XVIIIe siècle ;
- Les maisons 2 rue du Commandant-Bourgeois à Saint-Maurille (XVIe), 6 rue du Commandant-Bourgeois (XVIIIe-XIXe), 22 rue du Commandant-Bourgeois (XVIe), 72 rue Commandant-Bourgeois (XVIIIe), 75 rue Commandant-Bourgeois (XVIIIe), 2 rue Rouget-de-Lisle à l'Ile (XVIIe), 4 rue Rouget-de-Lisle (XVe), 6 rue Rouget-de-Lisle (XVIIIe), 8 rue Rouget-de-Lisle (XVIIIe), 12 rue Rouget-de-Lisle (XVIIIe), 23 rue Rouget-de-Lisle (XVIIIe), 24 rue Rouget-de-Lisle (XVIe), 36 bis rue Rouget-de-Lisle (XVIe-XVIIIe), 10 rue des Dames à l'Île (XVIe-XVIIe), 2 rue Victor-Hugo à Saint-Aubin (XVIIIe-XIXe), 25 rue Victor-Hugo (XVIIIe-XIXe), 30 rue Victor-Hugo (XVIIIe-XIXe), 1 rue de l'Église à Sorges (XVIIIe), 4 rue de l'Église (XVIIIe), 1 rue des Volontaires à Saint-Aubin (XVIIIe), 3 rue des Volontaires (XVIIIe), 8 rue des Volontaires (XVIe-XVIIe), 10 rue des Volontaires (XVIe), 13 rue Lamartine à Sorges (XVIIIe), 3 rue du Chevet à Sorges (XVIIIe), 1 port du Grand-Large à Saint-Maurille (XVIe-XIXe), 3 bis rue Boutreux à l'Île (XVIIIe), 8 rue Boutreux (XVe-XIXe), 12 rue Boutreux (XVe), 3 rue Joachim-du-Bellay à Saint-Maurille (XVIIIe-XIXe), 5 rue Joachim-du-Bellay (XVIIIe), 29 port du Grand-Large (XVIIIe-XIXe), 21 rue Édouard-Guinet au Fauconneries (XVIIe), impasse Joachim-du-Bellay à l'Île (XVIIIe), 3 rue Jean-Bodin à l'Île (XVIe-XVIIIe), 4 rue Pasteur à Saint-Maurille (XVIIIe), 26 chemin du Portu au Maupertuis (XVIIIe), 10 rue des Lauriers à l'Île (XVIIIe-XIXe), des Copardières (XVIIIe-XIXe), de la Nouzillerie (XVIIe), de la Closerie-des-Airaux à Saint-Maurille (XVIIIe), maison dite la Chapellenie aux Grandes-Plaines (XVIIIe-XIXe) ;
- Moulin à vent dit le moulin Marcille, du XVIIIe siècle ;
- Le portail de l'abbaye aux Dames (l'Île), des XVIe et XVIIe siècles ;
- Le presbytère (Saint-Maurille), du XVIIIe siècle ;
- Le puits de la ferme du château de Belle-Poule, du XVIIIe siècle ;
- La statue de Dumnacus, sur le pont de la Loire, du XIXe siècle.
Mention du camp de César au XIXe siècle dans la carte de Victor Levasseur (1852).
On trouvait des carrières d'ardoise sur la commune, à La Glardière et à Belle-Poule[9]. Jusqu'à la création du canal de l'Authion au XVIIIe, les ports de la Guilbotte et des Epinettes étaient les principaux points d'embarquement des ardoises de Trélazé, et jusqu'à la canalisation du Layon à la même époque, les bateaux hollandais de commerce remontaient jusqu'aux Ponts-de-Cé[4].
Le territoire des Ponts-de-Cé se trouve sur la zone du Val de Loire, entre Sully-sur-Loire et Chalonnes, inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO[10].
Loisirs et culture
Présence de plusieurs équipements sportifs et pratique de plusieurs activités sportives comme le football, le basket-ball, le tennis[11], le badminton, la pétanque, la gymnastique, le judo, le cyclisme, le canoë, etc[12]. À Sorges, on pratique la boule de fort à la société la Bienvenue[13]. Le cercle Saint-Aubin accueille des activités de boules, de billard et de cartes[14]. En juin 2021 s'est déroulé les championnats de France élite de gymnastique acrobatique et d'aérobic au complexe Athlétis, sous l'égide de l'AS Ponts-de-Cé Gym'sport[15].
Une chanson sur le jeu de boules de fort a été écrite au début du XXe siècle par Anatole-Joseph Verrier, dédiée aux joueurs du Cercle de la Paix[16].
La maison des associations, lieu d'information et de services, permet les échanges inter associatifs[17].
L'école de musique intercommunale Henri-Dutilleux regroupe les communes des Ponts-de-Cé, de Trélazé et de Bouchemaine[18]. On pratique aussi le théâtre, notamment sur la scène du théâtre des Dames[19]. La médiathèque des Ponts-de-Cé organise des manifestations comme en juin 2021 l'accueille de l'exposition Aux horizons de l'illustratrice Charlotte Des Ligneris[20]. Un cinéma, le Cinéville Ponts-de-Céais, est également présent sur la commune[21].
Le musée des coiffes et des traditions, situé dans le donjon du château des Ponts-de-Cé, présente des coiffes et bonnets d'Anjou, des costumes traditionnels du XIXe siècle, et une collection de poupées folkloriques. L'établissement comprend sept salles consacrées aux collections permanentes[22],[8].
Tous les ans a lieu la Baillée des filles, l'une des plus anciennes fête médiévale de la région, dont 2017 est annoncée comme étant la 547e édition. Au programme un marché médiéval, le jeu de la Soule, un spectacle de fauconnerie, le grand tournoi des chevaliers, etc[23].
Agriculture
Les Ponts-de-Cé se trouve dans le Val d'Authion, vaste zone agricole irriguée par la rivière de l'Authion. On y trouve à l'est de son territoire une zone agricole notamment dédiée à l'horticulture et au maraîchage, qui s'étend également sur la commune voisine de Sainte-Gemmes. Au début du XXe siècle, les principales pépinières se situent à Angers, Les Ponts-de-Cé, Doué-la-Fontaine, Saulgé-l'Hôpital et les Alleuds. À cette même époque, la culture légumière en plein champ est fortement implantée aux Ponts-de-Cé et à Saint-Gemmes. L'activité se transforme ensuite en terres maraîchères[24],[25],[26].
Aujourd'hui on y trouve par exemple le centre horticole régional Floriloire, regroupement de professionnels de la production horticole, et Bioplants, un producteur bio de plantes aromatiques[27],[28].
Le comice agricole et viticole du canton des Ponts-de-Cé s'est déroulé en 2013 à Sainte-Gemmes-sur-Loire, et en 2014 à Juigné-sur-Loire[29].
Espace et territoire
La commune urbaine des Ponts-de-Cé, située au sud-est d'Angers, s'étend sur 19,55 km2 (1 955 hectares) et son altitude varie de 15 à 36 mètres[30]. Son territoire se trouve sur les unités paysagères de la confluence angevine, du val d'Anjou, des plateaux de l'Aubance et de la Loire des promontoires[31].
La ville se compose de plusieurs quartiers : Outre l'ancienne commune de Sorges, on trouve plusieurs quartiers sur la commune : La Chesnaie, La Guillebotte, L'Ile, Saint-Aubin et Saint-Maurille.
Hydrographie : Les Ponts-de-Cé est traversée par trois cours d'eau, la Loire, l'Authion et le Louet. La Loire la traverse d'est en ouest. Les ponts de Dumnacus et de l'A87 y enjambent le fleuve. Venant de la commune voisine de Trélazé, la rivière de l'Authion, canalisée, traverse également son territoire. Le Louet, bras de la Loire, marque le limite sud-ouest de la commune[32]. Cette commune ligérienne est soumise aux crues et inondations, la ville étant inondable à 75 %[33].
Sur la rive droite de la Loire se trouve la levée de Belle-Poule, qui s'étend des Ponts-de-Cé à La Daguenière[34]. La digue en rive droite de la Loire, dite la Grande Levée, et dont l'origine remonte au Moyen Âge, s'étend en Anjou de Varennes-sur-Loire aux Ponts-de-Cé[35].
Protections : La commune est dans la zone Natura 2000 de la vallée de la Loire entre Nantes et Les Ponts-de-Cé, zone de 90 kilomètres le long de la vallée pour la préservation de la diversité biologique s'intégrant dans l'entité écologique du bassin de la Loire[36]. Les zones de la Vallée de la Loire amont, de Montsoreau aux Ponts-de-Cé, et aval, des Ponts-de-Cé à Ingrandes et La Varenne, sont classées espace naturel sensible (ENS)[37].
Balades et randonnées : Le sentier GR 3 (Montsoreau, Champtoceaux) passe par la commune.
L'un des circuits de La Loire à vélo passe par la commune.
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Localités aux alentours : Sainte-Gemmes-sur-Loire (2,8 km), Mûrs-Erigné (3,3 km), Juigné-sur-Loire (3,5 km), Saint-Jean-de-la-Croix (5,3 km), Trélazé (5,3 km), Saint-Melaine-sur-Aubance (5,6 km), Saint-Jean-des-Mauvrets (5,9 km), Soulaines-sur-Aubance (5,9 km), Saint-Barthélemy-d'Anjou (6,2 km) et Bouchemaine (6,4 km)[38].
Notes
Bibliographie
- • Lucien Guilbault, Un bouquet d'îles devenu ville : Les Ponts-de-Cé, son histoire, Hérault (Maulévrier), 1990 (ISBN 2-7407-0004-0)
- • François L'Hostis, Les Ponts-de-Cé : une ville à feu et à sang (1793-1796), Éd. du Choletais (Cholet), 1995 (ISBN 2-902052-77-4)
- • Archives départementales de Maine-et-Loire, Les rues de Trélazé, petit dictionnaire historique, Les Métiers Graphiques (Les Ponts-de-Cé), 1996
- • Patrick Amara, Les Ponts-de-Cé : fille de la Loire, Ville des Ponts-de-Cé, 2007 (ISBN 978-2-9530452-0-8)
- • Pierre Davy, Les Ponts-de-Cé, coll. Mémoire en images, Alan Sutton (Saint-Avertin), 2008 (ISBN 978-2-84910-839-0)
- • Madeleine Chanteux, Août 1944 - Combats et libération des Ponts-de-Cé et de Mûrs-Erigné, Éditions du Petit Pavé (Saint-Jean-des-Mauvrets), 2014 (ISBN 978-2-84712-422-4)
- • Fabrice Rabarin, La Catastrophe des Ponts-de-Cé, Éditions du Petit Pavé (Saint-Jean-des-Mauvrets), 2011 (ISBN 978-2-84712-319-7)
Sources et annotations
- ↑ École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Les Ponts-de-Cé, 2007
- ↑ a et b Insee, Géographie administrative et d'étude - Commune de Les Ponts-de-Cé (49246), 2020
- ↑ Population de Maine-et-Loire (1999, 2012, 2019)
- ↑ a b et c Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. III (N-R), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1989, 2e éd. (1re éd. 1878), p. 263-276
- ↑ Mairie des Ponts-de-Cé, L'histoire, juin 2017
- ↑ Ministère de la Culture, Base Mérimée (Les Ponts-de-Cé), mai 2012
- ↑ Mairie des Ponts-de-Cé, Patrimoine, septembre 2014
- ↑ a et b Ouest-France, Les Ponts-de-Cé. Cinq bonnes raisons de visiter le château-musée des Coiffes et des traditions, 31 août 2019
- ↑ CEREMA – DTer Ouest – DLRC d'Angers, Atlas des cavités souterraines – Région nord de la Loire – Les Ponts de Cé, décembre 2015
- ↑ DREAL Pays de la Loire (Ministère de l'Écologie), Données communales - 933 Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes, juin 2017
- ↑ AS Ponts-de-Cé Tennis, Plus de 50 ans d'histoire, novembre 2022 — Sur ce sujet voir Alice Soulié.
- ↑ Mairie des Ponts-de-Cé, Associations, octobre 2017
- ↑ Le Courrier de l'Ouest, Les Ponts-de-Cé. À Sorges, la réouverture de la société la Bienvenue fait des heureux, 27 juin 2021
- ↑ Le Courrier de l'Ouest, Les Ponts-de-Cé. Cercle Saint-Aubin : vivement mercredi !, 7 juin 2021
- ↑ Le Courrier de l'Ouest, Les Ponts-de-Cé. Avec l'élite de la gym acrobatique, 7 juin 2021
- ↑ Anatole-Joseph Verrier et René Onillon, Glossaire étymologique et historique des patois et des parlers de l'Anjou, Germain & Grassin (Angers), 1908, t. 2e, page 377
- ↑ Mairie des Ponts-de-Cé, Maison des associations, 2019-2021
- ↑ Le Courrier de l'Ouest (Anouk Bouteloup), Agglomération d'Angers. À l'école de musique Henri-Dutilleux, on compose pour sauver les meubles, 27 novembre 2020
- ↑ Ouest-France, Près d'Angers. Aux Ponts-de-Cé, les compagnies théâtrales dans l'incertitude, 18 novembre 2020
- ↑ Ouest-France, Près d'Angers. La médiathèque des Ponts-de-Cé reçoit Charlotte Des Ligneris, 7 juin 2021
- ↑ Le Courrier de l'Ouest, Les Ponts-de-Cé. Cinéville : la reprise des projections va faire des heureux, mercredi, 16 mai 2021
- ↑ Mairie des Ponts-de-Cé, Château-musée des coiffes et des traditions, mars 2012 et juin 2017
- ↑ Mairie des Ponts-de-Cé, La baillée des filles 547ème édition, mai 2017
- ↑ L'Anjou Agricole (Inf'agri49), L'avenir de la zone horticole et maraîchère au sud d'Angers, 13 juillet 2015
- ↑ I. Deguil, L'horticulture en Anjou, dans Annales de Géographie, t. 42, n° 240, 1933, p. 601-609
- ↑ Jean-Baptiste Humeau, L'horticulture maraîchère angevine, dans Norois, n° 167, juillet-septembre 1995, p. 559-567
- ↑ Mairie des Ponts-de-Cé, Horticulture, 2020
- ↑ Le Courrier de l'Ouest, Les Ponts-de-Cé. Herbes aromatiques : Bioplants se développe avec Carrefour, 7 octobre 2021
- ↑ Comice agricole et viticole du canton des Ponts-de-Cé, septembre 2014
- ↑ IGN, Répertoire géographique des communes (RGC), données 2014 (altitude, superficie)
- ↑ Atlas des paysages de Maine et Loire, voir unités paysagères.
- ↑ Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), Géoportail (Les Ponts-de-Cé), juin 2017
- ↑ Le Courrier de l'Ouest (Emmanuel Poupard), Sud-Loire. La ville des Ponts-de-Cé inondable à 75 %, 3 octobre 2020
- ↑ Institut national de l'information géographique et forestière (IGN), Géoportail (levée de Belle Poule), mars 2017 — Sur ce sujet, voir Val angevin.
- ↑ Mission Val de Loire (syndicat mixte interrégional des régions Centre-Val de Loire et Pays de la Loire), La grande levée d'Anjou, avril 2017
- ↑ DREAL Pays de la Loire (Ministère de l'Écologie), Données communales - FR5212002 Vallée de la Loire de Nantes aux Ponts-de-Cé et ses annexes, juin 2017 (Arrêté du préfet de la Loire-Atlantique en date du 2 décembre 2011 et du préfet de Maine-et-Loire en date du 24 novembre 2011, n° DREAL 2011-44/49-01)
- ↑ Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire, 2018
- ↑ Lion1906 (Lionel Delvarre), Distances à partir de Les Ponts-de-Cé (49), juin 2010 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- Les formes anciennes du nom.
- Les Ponts-de-Cé (citation).
- Mots angevins aux Ponts-de-Cé : bique, pas baisant, chocotte, etc.