Saint-Aubin-de-Luigné
| Saint-Aubin-de-Luigné (commune déléguée) | |
|---|---|
| Département | Maine-et-Loire |
| Territoire | Mauges |
| Commune | Val-du-Layon |
| Note(s) | Regroupement du 31 décembre 2015 |
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Saint Aubin de Luigné est une ancienne commune de l'ouest de la France qui se situe dans le département de Maine-et-Loire (49), à 18 km au sud-ouest d'Angers[1],[2]. Son territoire se trouve dans la région des coteaux du Layon et dans la zone du Val de Loire inscrite au patrimoine mondial. Elle est parfois surnommée « la perle du Layon »[3],[4].
Ses habitants se nomment les Saint-Aubinois(es).
Situation administrative
La commune de Saint-Aubin-de-Luignée est créée à la Révolution, en 1789[5].
Un regroupement intervient le 31 décembre 2015 entre les communes de Saint-Aubin-de-Luigné et Saint-Lambert-du-Lattay, donnant naissance à la commune nouvelle de Val-du-Layon. Saint-Aubin-de-Luigné devient une commune déléguée[6].
Jusqu'alors la commune angevine de Saint-Aubin-de-Luigné est intégrée à la communauté de communes Loire-Layon, et se trouve dans le canton de Chalonnes-sur-Loire (Rochefort en 1793, Chalonnes en 1801[7]) et l'arrondissement d'Angers.
Son code commune (Insee) est 49265 et son code postal 49190. Ses habitants sont appelés Saint-Aubinois, Saint-Aubinoises. Sa population est de 857 habitants en 1999, de 1 045 en 2006 et de 1 295 en 2015[8].
Un autre village du département comporte le nom de « Luigné », celui de Luigné près de Thouarcé.
Histoire et patrimoine
Son occupation remonte sans doute au Néolithique, avec l'implantation de petits groupes d'hommes. Deux voies antiques traversent son territoire, l'une en rive gauche de la Loire et l'autre de Chalonnes à Vihiers. Une villa s'y installe à l'époque gallo-romaine (domaine de Lucinius). Une église existe ensuite dès le début du XIe siècle, dédiée à saint Aubin, Aubin d'Angers évêque en 529. Deux zones de peuplement émergent, l'un à Girouard et l'autre autour de l'église. La seigneurie de Saint-Aubin (ou de la Mottre-des-Marchais) devient assez puissante, dont relève plusieurs seigneuries voisines. Elle est ensuite abandonnée au profit de celle de la Haute-Guerche, qui réunie alors les deux fiefs. À la fin du XVe siècle, du charbon de terre est extrait à la Haie-Longue ; extractions minières qui se développèrent au XVIIe. Le bourg s'étend le long de la rive droite du Layon. Des vignes sont cultivées à flanc de coteau et des propriétaires d'Angers y installent au XVIe siècle de jolies demeures. Jusqu'à la Révolution, la seigneurie de Saint-Aubin reste unie à celle de la Haute-Guerche. Au XVIIIe, Saint-Aubin-de-Luigné dépend de l'élection et du grenier à sel d'Angers[9],[10].
Son territoire compte plusieurs monuments historiques, dont l'actuelle mairie située dans l'ancien presbytère, un bâtiment construit au XVIe siècle par Jean de Pontoise[11] :
- les vestiges du château de la Haute-Guerche (inscrit MH), des XIIIe, XIVe, XVe et XVIe siècles[12] ;
- l'église Saint-Aubin, remaniée à la fin du XIXe siècle, avec porte sud de la nef style Renaissance[9] ;
- le four à chaux de La Petite-Brosse ;
- le manoir de la Fresnaye (inscrit MH), du XVIe siècle, avec ancienne tour de l'enceinte servant de pigeonnier[12],[13] ;
- l'ancien presbytère (classé MH), des XVIe et XVIIIe siècles, avec tourelle d'angle et cheminée monumentale[12],[13], exemple de ce que fut la Renaissance en Anjou[11].
Le village compte plusieurs vieilles demeures des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, dont un circuit permet d'en découvrir quelques-unes[14],[15].
Situé sur le coteau surplombant le petit bourg, le moulin Guérin est un ancien moulin à vent en activité jusqu'au XIXe siècle, transformé en belvédère avec table d'orientation[16],[17].
Des sites de production de chaux sont présents au XIXe siècle dans plusieurs endroits du département, dont à Montjean (Châteaupanne), Rochefort, Chalonnes, Saint-Aubin[18] (la Petite-Brosse) et Chaudefonds[19]. On trouve également à Saint-Aubin une carrière de calcaire[20].
Un train y passait autrefois, remplacé aujourd'hui par une petite route. La ligne, qui n'était pas celle du Petit-Anjou, allait de Chalonnes jusqu'à peu avant Thouarcé. Elle restera en service jusqu'en 1954[21].
Le village se trouve dans la zone du Val de Loire, entre Sully-sur-Loire et Chalonnes, inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO[22],[23].
Culture et loisirs
Diverses manifestations se déroulent dans l'année, notamment tous les ans en juillet et août le Salon estival de peinture de Saint-Aubin-de-Luigné. La 20e édition s'est déroulée en juillet et août 2021 à la salle Jean-de-Pontoise avec onze des dix-neuf invités d'honneur des années précédentes[24]. Autrefois se déroulait sur la commune en juillet, à partir de 1972, la Fête des vins millésimés et de l'anguille[9],[25].
S'y déroule également La perle du Layon, une course à pieds avec circuits de 10 et 18 km au milieu des vignes et des coteaux, randonnées avec boucles de 4,5 et 10 km, et courses pour enfants et jeunes. Une restauration le midi avec animation musicale complète la manifestation sportive[26].
Présence de plusieurs équipements : un espace culturel (bibliothèque), des équipements sportifs (terrain de football, société de boule de fort) et un camping situé en bord de Layon[16].
Une nouvelle bibliothèque, intégrée aux bâtiments de la mairie, a été réalisée en septembre 2018. Elle appartient au réseau des médiathèques Aux mille et une pages, qui comprend également celles de Chaudefonds, Rochefort et Denée[27].
Quelques associations présentes sur la commune en 2011[28] :
- L'Acompil, dont l'objet est de promouvoir les projets artistiques et culturels de ses membres ;
- Initiatives Aubinoises, dont l'objet est d'organiser des évènements et des activités ;
- K'Danse Aubinoise, dont l'objet est de développer la danse sur la commune ;
- Internet et savoir vivre, dont l'objet est de promouvoir et faciliter l'usage des technologies de l'information et de la communication ;
- Sauvegarde du cadre de vie, dont l'objet est la défense du patrimoine, et la mise en valeur de l'environnement.
Village viticole
Le village se trouve au sud de la Loire, dans la vallée du Layon, qui bénéficie de la douceur du climat angevin favorable à la culture, notamment à la viticulture[16]. De plus, le relief de Saint-Aubin-de-Luigné permet un climat spécifique favorable à l'existance d'un vignoble de qualité[4]. La commune est située dans l'appellation des Coteaux-du-Layon (AOC)[29], appelation dont l'aire géographique s'étend sur les communes de Aubigné-sur-Layon, Beaulieu-sur-Layon, Bellevigne-en-Layon, Brigné, Chalonnes-sur-Loire, Champ-sur-Layon, Chanzeaux, Chaudefonds-sur-Layon, Cléré-sur-Layon, Concourson-sur-Layon, Faveraye-Mâchelles, Faye-d'Anjou, La Fosse-de-Tigné, La Jumellière, Martigné-Briand, Nueil-sur-Layon, Passavant-sur-Layon, Rablay-sur-Layon, Rochefort-sur-Loire, Saint-Aubin-de-Luigné, Saint-Georges-sur-Layon, Tancoigné, Terranjou, Tigné, Trémont, Val-du-Layon, Les Verchers-sur-Layon. Ce vignoble angevin de vin blanc liquoreux est implanté sur des coteaux dont l'exposition permet l'obtention de vendanges surmûries[30].
Commune du Layon
Venant du village voisin de Saint-Lambert-du-Lattay, la rivière le Layon traverse son territoire.
Une partie de l'histoire du village a subi l'influence de cette rivière. Au milieu du XVIIIe siècle un projet concernant l'aménagement du Layon voit le jour, qui est canalisé quelques temps plus tard. Il est alors utilisé pour le transport de vins, minerais et autres produits de la région[31]. La rue principale de la commune, dénommée « rue du canal de Monsieur », marque l'empreinte de cette histoire.
Espace et territoire
Saint-Aubin-de-Luigné s'étend sur 15,19 km2 (1 519 hectares) sur une partie basse (vallée du Layon, alt. mini 12 mètres) et une partie haute (coteaux du Layon, alt. maxi 104 mètres)[32], et se situe sur les unités paysagères du plateau des Mauges, du couloir du Layon et de la Loire des promontoires[33]. C'est un territoire de transition entre la vallée de la Loire, les coteaux du Layon et le plateau des Mauges[4].
La commune est dans la zone Natura 2000 de la vallée de la Loire entre Nantes et Les Ponts-de-Cé, zone de 90 kilomètres le long de la vallée pour la préservation de la diversité biologique s'intégrant dans l'entité écologique du bassin de la Loire[34], et dans la zone de la Vallée du Layon classée espace naturel sensible (ENS)[35].
Plusieurs points de vue sont présents sur son territoire, dont un panorama sur la vallée du Layon au moulin Guérin et un panorama sur la vallée de la Loire à la Corniche Angevine (site protégé), où se trouve la chapelle Notre-Dame de Lorette. Des balades ou des randonnées sont possibles à partir de Saint-Aubin : la Corniche Angevine[36] et la Haie-Longue (table d'orientation), le moulin Guérin (belvédère et table d'orientation), les coteaux du Layon notamment au hameau Les Barres, la vallée du Layon, le circuit des vieilles demeures, de la Loire au Layon. Le sentier GR 3d passe par la commune. Autrefois, l'été il était possible de faire des promenades en barques sur le Layon[37].
Dans le bourg, non loin du Layon, on trouve une aire couverte de pique-nique, ainsi qu'à la Haie-Longue au bord du Louet, au port du Paty.
L'office de tourisme se trouve à Chalonnes-sur-Loire[37].
Coordonnées géographiques : 47° 19′ 43″ Nord - 0° 39′ 58″ Ouest[38].
Les communes les plus proches sont Chaudefonds-sur-Layon (3,0 km), Rochefort-sur-Loire (3,2 km), Saint-Lambert-du-Lattay (3,9 km), La Possonnière (5,4 km), Béhuard (5,9 km), Savennières (6,2 km), Beaulieu-sur-Layon (6,3 km), La Jumellière (7,0 km), Denée (7,2 km) et Chanzeaux (7,4 km)[2],[1]. Le Layon marque la limite entre Saint-Aubin et Rochefort au niveau de Chaume[21].
Ancien presbytère (MH)
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Pont sur le Layon
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Vignes
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Notes
Bibliographie
- • Yves Namur (illustr. Marcel Hasquin), Saint-Aubin-de-Luigné : un village en Anjou, ses vins, ses vieilles demeures, Académie du goût et de l'esprit culinaire (Tournai), 1986
- • Jean-Jacques Chiron, La mairie de Saint-Aubin-de-Luigné : les Borgia en Anjou, Hérault (Maulévrier), 1992, 100 pages (notice BnF no FRBNF35549482)
Jean-Jacques Chiron (1947-2012), professeur de lettres et d'histoire-géographie, maire de la commune de 1995 à 2008, fondateur du Syndicat d'initiative, organisateur de la Fête des vins millésimés. (À ne pas confondre avec l'homonyme, poète lorrain et ancien comptable, né en 1949, auteur de Confluences.)
- • Jean-Jacques Chiron et Louis-Adrien Brosseau, Les vieilles demeures de Saint-Aubin-de-Luigné, Atelier du Père Nectar (Chalonnes-sur-Loire), 2021, 128 pages (ISBN 978-2-9567086-1-2)[3]
- • Jean-Jacques Chiron (avec Raymond Bois, Jean-Louis Fardeau et Gérard Tremblay), Saint-Aubin de Luigné au fil du temps : Histoires et paysages de la « perle du Layon », Éditions du Petit Pavé (Brissac-Loire-Aubance), 2023, 280 pages (ISBN 978-2-84712-778-2)[39]
Sur le même sujet
- • Saint-Aubin-de-Luigné en photos
- • Saint-Aubin-de-Luigné cartes postales anciennes
- • Corniche Angevine
- • La Haie-Longue (Saint-Aubin)
- • Les Barres (Saint-Aubin)
- • La Petite Brosse (Saint-Aubin)
- • Les carnets de tonton Louis
- • Monument aux morts de Saint-Aubin-de-Luigné
Sources et annotations
- ↑ a et b IGN et BRGM, Géoportail (Saint-Aubin-de-Luigné 49), mai 2012
- ↑ a et b Lion1906 (Lionel Delvarre), Distances à partir de Saint-Aubin-de-Luigné (49), juin 2010 (distances orthodromiques)
- ↑ a et b Le Courrier de l'Ouest (Pierre-Louis Augereau), Un village de pierre et de papier, édition du 18 novembre 2022, p. 8
- ↑ a b et c Saint-Aubin de Luigné au fil du temps : Histoires et paysages de la « perle du Layon », 2023, op. cit., p. 17
- ↑ Saint-Aubin de Luigné au fil du temps : Histoires et paysages de la « perle du Layon », 2023, op. cit., p. 8
- ↑ Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté préfectoral Arrêté préfectoral n° DRCL-BCL-2015-74 du 16 novembre 2015, portant création de la commune nouvelle de Val-du-Layon — Voir création de la nouvelle commune de Val-du-Layon (2015).
- ↑ École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Saint-Aubin-de-Luigné, 2007
- ↑ Population de Maine-et-Loire (1793, 1800, 1999, 2006, 2015)
- ↑ a b et c Célestin Port (révisé par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. IV (S-Z), H. Siraudeau & Cie (Angers), 1996, 2e éd. (1re éd. 1878), p. 14-19
- ↑ Saint-Aubin de Luigné au fil du temps : Histoires et paysages de la « perle du Layon », 2023, op. cit., p. 18-33
- ↑ a et b Saint-Aubin de Luigné au fil du temps : Histoires et paysages de la « perle du Layon », 2023, op. cit., p. 45-50
- ↑ a b et c Ministère de la Culture, Architecture et patrimoine (base Mérimée) - Saint-Aubin-de-Luigné, janvier 2010
- ↑ a et b Ministère de la culture, Photographies (base mémoire) - Saint-Aubin-de-Luigné, 2022-2023
- ↑ Le circuit des vieilles demeures [archive], janvier 2010
- ↑ Jean-Jacques Chiron (et Louis-Adrien Brosseau), Les raisons de préserver un patrimoine et de créer un circuit, dans Les vieilles demeures de Saint-Aubin-de-Luigné, Atelier du Père Nectar (Chalonnes-sur-Loire), 2021, p. 117
- ↑ a b et c BDF49, La commune de St Aubin [archive], janvier 2010
- ↑ Mairie de Val-du-Layon, Moulin Guérin, 2019-2020
- ↑ DRAC Pays de la Loire, Fours à chaux de Montjean-sur-Loire, coll. Reflets du Conseil général de Maine-et-Loire, 24 septembre 2003
- ↑ Office de tourisme Loire-Layon, Monument & Petit patrimoine, mai 2015
- ↑ Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DIDD - 2014 n° 82, du 3 avril 2014
- ↑ a et b Le Courrier de l'Ouest, Rochefort-sur-Loire. Le Layon dans tous ses états au cœur d'une conférence, 17 février 2024 (selon Jean-Louis Robin, Association patrimoine environnement culture de Rochefort)
- ↑ DREAL Pays de la Loire (Ministère de l'Écologie), Données communales - 933 Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes, juin 2017
- ↑ Mission Val de Loire, Val de Loire patrimoine mondial, janvier 2017
- ↑ Le Courrier de l'Ouest, Val-du-Layon. Vingt ans de peinture à l'honneur, 5 août 2021
- ↑ Jean-Jacques Chiron (et Louis-Adrien Brosseau), Les vieilles demeures de Saint-Aubin-de-Luigné, Atelier du Père Nectar (Chalonnes-sur-Loire), 2021, p. 68-69
- ↑ Le Courrier de l'Ouest, Val-du-Layon. Nouveau parcours et nouveaux horaires pour la Perle du Layon, 27 juin 2023
- ↑ Ouest-France, L'inauguration de la bibliothèque, 20 septembre 2018
- ↑ Journal officiel, Associations, février 2011
- ↑ Institut national de l'origine et de la qualité (INAO), Fiche de Saint-Aubin-de-Luigné (49), septembre 2012 — Coteaux du Layon Saint-Aubin-de-Luigné ou Saint-Aubin et Coteaux du Layon Saint-Aubin-de-Luigné ou Saint-Aubin Sélection de grains nobles.
- ↑ Décret n° 0272 du 24 novembre 2011 relatif à l'appellation d'origine contrôlée « Coteaux du Layon », JORF n° 0272 du 24 novembre 2011 page 19757, texte n° 68.
Institut national de l'origine et de la qualité, Aire géographique - Fiche produit - Coteaux du Layon, 28 janvier 2019 (statut FR : AOC - statut CE : AOP) - ↑ La rivière du Layon [archive], janvier 2010
- ↑ IGN, Répertoire géographique des communes (RGC), données 2014 (altitude, superficie)
- ↑ Atlas des paysages de Maine et Loire, voir unités paysagères.
- ↑ DREAL Pays de la Loire (Ministère de l'Écologie), Données communales - FR5212002 Vallée de la Loire de Nantes aux Ponts-de-Cé et ses annexes, juin 2017 (Arrêté du préfet de la Loire-Atlantique en date du 2 décembre 2011 et du préfet de Maine-et-Loire en date du 24 novembre 2011, n° DREAL 2011-44/49-01)
- ↑ Espaces naturels sensibles de Maine-et-Loire, 2018
- ↑ Visite de la corniche angevine [archive], janvier 2010
- ↑ a et b Office de tourisme Loire Layon, Commune de Saint-Aubin-de-Luigné, octobre 2012
- ↑ Coordonnées géographiques, voir coordonnées géographiques des communes de Maine-et-Loire.
- ↑ Le Courrier de l'Ouest, Val-du-Layon. « Histoires et paysages de Saint-Aubin » sort enfin, 5 décembre 2023
- Les formes anciennes du nom.
Autres données
- • Liste des communes en 2015
- • Anciennes communes 2015
- • Populations 2012, en vigueur au 1er janvier 2015
- • Altitudes en 2014
- • Superficies en 2014
- • Divisions administratives et électorales en 2014