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À droite et à gauche encore s’entrouvrent les vallées secondaires, — à gauche du
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[[Thouet]], du [[Layon]], de l’[[Èvre|Evre]], de la Divatte, — à droite de l’Authion et de la Maine,
où vient se confondre la quadruple vallée de la Sarthe, du Loir, de la Mayenne et
où vient se confondre la quadruple vallée de la [[Sarthe]], du [[Loir]], de la [[Mayenne]] et
de l’Oudon<ref>Le tableau, qui plafonne la grande salle des fêtes de la Préfecture, représente le ''Maine-et-Loire''
de l’[[Oudon]]<ref>Le tableau, qui plafonne la grande salle des fêtes de la [[Préfecture]], représente le ''Maine-et-Loire''
sous les traits d’au homme robuste, appuyé sur l’Abondance ; à ses pieds se jouent la Loire, la Sarthe,
sous les traits d’au homme robuste, appuyé sur l’Abondance ; à ses pieds se jouent la [[Loire]], la Sarthe,
la Mayenne et le Loir, ces deux dernières sous les traits des deux enfants du préfet Vallon. Sur la
la Mayenne et le Loir, ces deux dernières sous les traits des deux enfants du préfet Vallon. Sur la
gauche un Vendéen fraternise avec un Bleu. Autour du cadre six médaillons armoriés symbolisent les
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beaux bois domaniaux du Baugeois, plus triste et comme assombrie aux abords de la
beaux bois domaniaux du [[Baugeois]], plus triste et comme assombrie aux abords de la
Bretagne, où des haies basses bordent les champs et les routes, et dans les Mauges,
Bretagne, où des haies basses bordent les champs et les routes, et dans les [[Mauges]],
où les tuiles rouges ou noirâtres chargent la pente des toits ; — mais là même, au
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de la Renaissance, qui comptent au premier rang dans le trésor d’art de la France,
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Montreuil-Bellay, Cunaud, Fontevraud, Montsoreau, Durtal, Serrant, Brissac, —
[[Château de Montreuil-Bellay|Montreuil-Bellay]], [[Église Notre-Dame de Cunault|Cunaud]], [[Abbaye de Fontevraud|Fontevraud]], [[Château de Montsoreau|Montsoreau]], [[Château de Durtal|Durtal]], [[Château de Serrant|Serrant]], [[Château de Brissac|Brissac]], —
tant de vieux manoirs de guerre à demi-écroulés, tant de coquettes gentilhommières,
tant de vieux manoirs de guerre à demi-écroulés, tant de coquettes gentilhommières,
tant d’églises rustiques<ref>Sans parler des nombreuses chapelles publiques ou privées, qui vaudraient une visite comme celles
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appareil ou dans leur ornementation quelques restes de l’édifice primitif, pour un grand nombre encore
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du XI{{e}} ou du XII{{s}}, — et pour ne parler que des œuvres d’art et du mobilier, on peut trouver en
dehors même d’Angers et de Saumur, de curieuses ''fresques'' du XI{{e}} s. à St-Rémy-la-Varenne, — du XII{{e}} s.
dehors même d’Angers et de Saumur, de curieuses ''fresques'' du XI{{e}} s. à [[Saint-Rémy-la-Varenne|St-Rémy-la-Varenne]], — du XII{{e}} s.
à Pontigné, à Cunaud, — du XIII{{e}} s. à Cizay, St-Pierre de Chemillé, — du XIV{{e}} à la Blouère, à Miré, — du XV{{e}} au
à [[Pontigné]], à [[Cunault|Cunaud]], — du XIII{{e}} s. à [[Cizay-la-Madeleine|Cizay]], [[Chemillé|St-Pierre de Chemillé]], — du XIV{{e}} à la [[Villedieu-la-Blouère|Blouère]], à [[Miré]], — du XV{{e}} au
Lion-d’Angers, à Fontaine-Guérin, à Fougeré, — du XVI{{e}} à Fontevraud, St-Melaine, les Ponts-de-Cé, Notre-Dame
[[Le Lion-d'Angers (ancienne)|Lion-d’Angers]], à [[Fontaine-Guérin]], à [[Fougeré]], — du XVI{{e}} à [[Fontevraud-l'Abbaye|Fontevraud]], [[Saint-Melaine-sur-Aubance|St-Melaine]], [[les Ponts-de-Cé]], Notre-Dame
de Chemillé, Chanteussé, Beaulieu, Savennières, Beaufort, — du XVII{{e}} à Fontevraud, — du XVIII{{e}}
de Chemillé, [[Champteussé-sur-Baconne|Chanteussé]], [[Beaulieu-sur-Layon|Beaulieu]], [[Savennières]], [[Beaufort-en-Vallée|Beaufort]], — du XVII{{e}} à Fontevraud, — du XVIII{{e}}
à Cheffes ; — de précieux ou intéressants ''tableaux'' du XV{{e}} s. à Béhuard, à Chantoceaux, — du XVI{{e}} à
à [[Cheffes]] ; — de précieux ou intéressants ''tableaux'' du XV{{e}} s. à [[Béhuard]], à [[Champtoceaux|Chantoceaux]], — du XVI{{e}} à
Fontevraud, Gené, Epieds, Savennières, — du XVII{{e}} s. à Antoigné, Auverse, Bauné, Beaucouzé, Beaufort,
Fontevraud, [[Gené]], [[Épieds|Epieds]], Savennières, — du XVII{{e}} s. à [[Antoigné]], [[Auverse]], [[Bauné]], [[Beaucouzé]], Beaufort,
Blou, Bocé, Bouillé-Ménard, la Lande-Chasle, l’Hôpital, Gennes, Fougeré, Gené, Dampierre, Corzé,
[[Blou]], [[Bocé]], [[Bouillé-Ménard]], [[La Lande-Chasles|la Lande-Chasle]], [[L'Hôpital-de-Bouillé|l’Hôpital]], [[Gennes]], [[Fougeré]], Gené, [[Dampierre-sur-Loire|Dampierre]], [[Corzé]],
Varennes-sous-Montsoreau, Corné, Cherré, Chenillé, Charcé, la Chapelle-Saint-Laud, Montguillon,
[[Varennes-sur-Loire|Varennes-sous-Montsoreau]], [[Corné]], [[Cherré]], [[Chenillé-Changé|Chenillé]], [[Charcé]], [[la Chapelle-Saint-Laud]], [[Montguillon]],
Montreuil-Bellay, Montsoreau, Pellouailles, Pontigné, le Puy-Notre-Dame, Rochefort, St-Barthélemy,
[[Montreuil-Bellay]], [[Montsoreau]], [[Pellouailles-les-Vignes|Pellouailles]], [[Pontigné]], [[le Puy-Notre-Dame]], [[Rochefort-sur-Loire|Rochefort]], [[Saint-Barthélemy-d'Anjou|St-Barthélemy]],
St-Quentin-en-M., St-Rémy-la-Varenne, Sermaise, Souzay, Tancoigné, Vaulandry, Villebernier, — du
[[Saint-Quentin-en-Mauges|St-Quentin-en-M.]], [[Saint-Rémy-la-Varenne|St-Rémy-la-Varenne]], [[Sermaise]], [[Souzay]], [[Tancoigné]], [[Vaulandry]], [[Villebernier]], — du
XVIII{{e}} s. à Beauvau, Blou, Bourg-l’Evêque, Broc, l’Hôtellerie, Allonnes, Fontevraud, Gené, Montfort,
XVIII{{e}} s. à [[Beauvau]], [[Blou]], [[Bourg-l'Évêque|Bourg-l’Evêque]], [[Broc]], l’Hôtellerie, [[Allonnes]], Fontevraud, Gené, [[Montfort]],
Durtal, Cleré, Cherré, Rochefort, St-Sulpice, Sceaux, Thorigné, Tilliers, etc. ; — des ''vitraux'' du XIV {{e}} s.
[[Durtal]], [[Cléré-sur-Layon|Cleré]], [[Cherré]], Rochefort, [[Saint-Sulpice|St-Sulpice]], [[Sceaux-d'Anjou|Sceaux]], [[Thorigné-d'Anjou|Thorigné]], [[Tillières|Tilliers]], etc. ; — des ''vitraux'' du XIV {{e}} s.
à Montreuil-sur-Loir, — du XV{{e}} à Linières-Bouton, Briolay, Soulaire, — du XVI{{e}} à Brissac, Béhuard, Candé,
à [[Montreuil-sur-Loir]], — du XV{{e}} à [[Linières-Bouton]], [[Briollay|Briolay]], [[Soulaire]], — du XVI{{e}} à [[Brissac]], [[Béhuard]], [[Candé]],
Epiré, Seiches, Grugé, l’Hôpital, Nueil, Parnay, les Ponts-de-Cé, Vernantes, — du XVII{{e}} à Savennières ; —
[[Épiré|Epiré]], [[Seiches-sur-le-Loir|Seiches]], [[Grugé]], l’Hôpital, [[Nueil-sur-Layon|Nueil]], [[Parnay]], [[les Ponts-de-Cé]], [[Vernantes]], — du XVII{{e}} à Savennières ; —
des ''statuts, groupes, bas-reliefs'' du XV{{e}} s. à Béhuard, — du XVI{{e}} à Fontaine-Guérin, Savennières,
des ''statuts, groupes, bas-reliefs'' du XV{{e}} s. à Béhuard, — du XVI{{e}} à Fontaine-Guérin, Savennières,
Nyoiseau, la Boissière, Candé ; — du XVII{{e}} à Aviré, Bauné, Chalonnes-sur-Loire, Chanteussé, la Daguenière,
[[Nyoiseau]], [[La Boissière-sur-Èvre|la Boissière]], Candé ; — du XVII{{e}} à [[Aviré]], [[Bauné]], [[Chalonnes-sur-Loire]], [[Champteussé|Chanteussé]], [[la Daguenière]],
Fontaine-Guérin, Parnay, Sermaise, Vaulandry, Vernantes, Villedieu, — du XVIII{{e}} à la Boissière,
Fontaine-Guérin, Parnay, Sermaise, Vaulandry, Vernantes, Villedieu, — du XVIII{{e}} à la Boissière,
Chantocé, la Chapelle-Rousselin, Chaumont, Cherré, Meigné-sous-Doué, Chantocé, la Chapelle-s.-Oudon,
[[Champtocé-sur-Loire|Chantocé]], [[la Chapelle-Rousselin]], [[Chaumont-d'Anjou|Chaumont]], [[Cherré]], [[Meigné|Meigné-sous-Doué]], Chantocé, [[La Chapelle-sur-Oudon|la Chapelle-s.-Oudon]],
Cheffes, Clefs, Gené, le May, la Pélerine, Turquant ; — des ''stalles, boiseries ou chaires'' sculptées du
Cheffes, [[Clefs]], Gené, le May, [[La Pellerine|la Pélerine]], [[Turquant]] ; — des ''stalles, boiseries ou chaires'' sculptées du
XV{{e}} à Béhuard, — du XVI{{e}} aux Ponts-de-Cé (St-Maurille) et à Beaulieu ; — du XVII{{e}} à Sceaux, Etriché, </ref>, qui gardent pour le curieux leur enseignement inattendu.
XV{{e}} à Béhuard, — du XVI{{e}} aux Ponts-de-Cé (St-Maurille) et à [[Beaulieu-sur-Layon|Beaulieu]] ; — du XVII{{e}} à Sceaux, [[Étriché|Etriché]], </ref>, qui gardent pour le curieux leur enseignement inattendu.





Dernière version du 18 septembre 2023 à 17:23

Langue et littérature angevine
Document   Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire
Auteur   Célestin Port (1828-1901)
Année d'édition   1874
Éditeur   P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau (Angers)
Note(s)   Tome premier, page XLVII


Dictionnaire Célestin Port de 1874, page XLVII.

XLVII

INTRODUCTION.


A droite et à gauche encore s’entrouvrent les vallées secondaires, — à gauche du Thouet, du Layon, de l’Evre, de la Divatte, — à droite de l’Authion et de la Maine, où vient se confondre la quadruple vallée de la Sarthe, du Loir, de la Mayenne et de l’Oudon[1] ; — à distance, vingt rivières, trois cents ruisseaux on ruisselets, qui découpent le terrain de coteaux sans nombre[2] ; mais la variété même s’y présente sans contrastes puissants, sans horizons tourmentés ou grandioses. Presque partout s’offre une nature douce et souriante, qui éclate en ses plus vives élégances dans les beaux bois domaniaux du Baugeois, plus triste et comme assombrie aux abords de la Bretagne, où des haies basses bordent les champs et les routes, et dans les Mauges, où les tuiles rouges ou noirâtres chargent la pente des toits ; — mais là même, au détour de quelque chemin, un frais vallon se rencontre tout boisé de vieux chênes, une clairière de hautes herbes peuplée de grands bœufs, — et sans aller bien loin, quelque cascatelle sourd dans le fossé verdoyant et va prolongeant son sillon à travers des ravines déchiquetées. Le touriste, en quête d’émotions vives, passe indifférent mais plus d’une fois y est revenu s’y faire un gîte à demeure. L’artiste et l’homme d’étude n’ont qu’à marcher pour trouver à chaque pas les traces antiques et les souvenirs et debout encore, — à côté des grands monuments du Moyen Age ou de la Renaissance, qui comptent au premier rang dans le trésor d’art de la France, Montreuil-Bellay, Cunaud, Fontevraud, Montsoreau, Durtal, Serrant, Brissac, — tant de vieux manoirs de guerre à demi-écroulés, tant de coquettes gentilhommières, tant d’églises rustiques[3], qui gardent pour le curieux leur enseignement inattendu.


  1. Le tableau, qui plafonne la grande salle des fêtes de la Préfecture, représente le Maine-et-Loire sous les traits d’au homme robuste, appuyé sur l’Abondance ; à ses pieds se jouent la Loire, la Sarthe, la Mayenne et le Loir, ces deux dernières sous les traits des deux enfants du préfet Vallon. Sur la gauche un Vendéen fraternise avec un Bleu. Autour du cadre six médaillons armoriés symbolisent les six principales villes. — Œuvre de M. Dauban, directeur du Musée d’Angers (1855).
  2. Les chroniqueurs et les savants jusqu’au XVIIIe s. prétendent que le nom antique de l’Anjou est Egada, mot imaginaire, qu’ils dérivent d’aquæ, « à cause des eaux qui y sont » .
  3. Sans parler des nombreuses chapelles publiques ou privées, qui vaudraient une visite comme celles du Fresne, d’Avrillé, de la Blanchaie, de la Blinière, du Boumois, de la Bourgonnière, de Ste-Emérance, de Launay-de-Gennes, de Montplacé, etc., etc. — Malgré la grande impulsion donnée depuis vingt ans à la reconstruction et à la restauration des églises, plus des deux tiers encore gardent ou dans leur appareil ou dans leur ornementation quelques restes de l’édifice primitif, pour un grand nombre encore du XIe ou du XIIe siècle, — et pour ne parler que des œuvres d’art et du mobilier, on peut trouver en dehors même d’Angers et de Saumur, de curieuses fresques du XIe s. à St-Rémy-la-Varenne, — du XIIe s. à Pontigné, à Cunaud, — du XIIIe s. à Cizay, St-Pierre de Chemillé, — du XIVe à la Blouère, à Miré, — du XVe au Lion-d’Angers, à Fontaine-Guérin, à Fougeré, — du XVIe à Fontevraud, St-Melaine, les Ponts-de-Cé, Notre-Dame de Chemillé, Chanteussé, Beaulieu, Savennières, Beaufort, — du XVIIe à Fontevraud, — du XVIIIe à Cheffes ; — de précieux ou intéressants tableaux du XVe s. à Béhuard, à Chantoceaux, — du XVIe à Fontevraud, Gené, Epieds, Savennières, — du XVIIe s. à Antoigné, Auverse, Bauné, Beaucouzé, Beaufort, Blou, Bocé, Bouillé-Ménard, la Lande-Chasle, l’Hôpital, Gennes, Fougeré, Gené, Dampierre, Corzé, Varennes-sous-Montsoreau, Corné, Cherré, Chenillé, Charcé, la Chapelle-Saint-Laud, Montguillon, Montreuil-Bellay, Montsoreau, Pellouailles, Pontigné, le Puy-Notre-Dame, Rochefort, St-Barthélemy, St-Quentin-en-M., St-Rémy-la-Varenne, Sermaise, Souzay, Tancoigné, Vaulandry, Villebernier, — du XVIIIe s. à Beauvau, Blou, Bourg-l’Evêque, Broc, l’Hôtellerie, Allonnes, Fontevraud, Gené, Montfort, Durtal, Cleré, Cherré, Rochefort, St-Sulpice, Sceaux, Thorigné, Tilliers, etc. ; — des vitraux du XIV e s. à Montreuil-sur-Loir, — du XVe à Linières-Bouton, Briolay, Soulaire, — du XVIe à Brissac, Béhuard, Candé, Epiré, Seiches, Grugé, l’Hôpital, Nueil, Parnay, les Ponts-de-Cé, Vernantes, — du XVIIe à Savennières ; — des statuts, groupes, bas-reliefs du XVe s. à Béhuard, — du XVIe à Fontaine-Guérin, Savennières, Nyoiseau, la Boissière, Candé ; — du XVIIe à Aviré, Bauné, Chalonnes-sur-Loire, Chanteussé, la Daguenière, Fontaine-Guérin, Parnay, Sermaise, Vaulandry, Vernantes, Villedieu, — du XVIIIe à la Boissière, Chantocé, la Chapelle-Rousselin, Chaumont, Cherré, Meigné-sous-Doué, Chantocé, la Chapelle-s.-Oudon, Cheffes, Clefs, Gené, le May, la Pélerine, Turquant ; — des stalles, boiseries ou chaires sculptées du XVe à Béhuard, — du XVIe aux Ponts-de-Cé (St-Maurille) et à Beaulieu ; — du XVIIe à Sceaux, Etriché,


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